Pologne : conservateurs catholiques au pouvoir
Publié : lun. 26 oct. 2015, 11:32
Les Polonais ont voté dimanche pour le changement en portant au pouvoir les conservateurs catholiques eurosceptiques qui ont surfé une vague de promesses populistes et la peur de l'arrivée massive de réfugiés du Proche-Orient, au risque de créer des tensions dans les relations avec l'UE, Berlin et Moscou.
Le parti Droit et Justice (PiS, opposition) de Jaroslaw Kaczynski a en effet obtenu la majorité absolue aux élections législatives, avec 39,1% des voix, soit 242 sièges sur 460, selon des projections de trois chaînes de télévision rendues publiques dimanche soir.
Ainsi, les mises en garde des adversaires de M. Kaczynski et de son parti, qui évoquaient le souvenir de la période 2005-2007, quand il était au pouvoir, marquée par des rapports difficiles avec Bruxelles, l'Allemagne et la Russie, au nom de la défense des intérêts nationaux, ainsi que par des tensions sociales et une "décommunisation" controversée, n'ont pas produit l'effet escompté.
D'autres critiques avaient dit craindre que, proche sur bien des questions de société de l'Eglise catholique, le PiS ne rende encore plus strictes les conditions d'accès à l'avortement en vigueur, plus difficile la fécondation in vitro et ne renforce la place du catéchisme dans l'éducation.
Les Polonais ont voté dimanche pour le changement en portant au pouvoir les conservateurs catholiques eurosceptiques qui ont surfé une vague de promesses populistes et la peur de l'arrivée massive de réfugiés du Proche-Orient, au risque de créer des tensions dans les relations avec l'UE, Berlin et Moscou.
Le parti Droit et Justice (PiS, opposition) de Jaroslaw Kaczynski a en effet obtenu la majorité absolue aux élections législatives, avec 39,1% des voix, soit 242 sièges sur 460, selon des projections de trois chaînes de télévision rendues publiques dimanche soir.
Ainsi, les mises en garde des adversaires de M. Kaczynski et de son parti, qui évoquaient le souvenir de la période 2005-2007, quand il était au pouvoir, marquée par des rapports difficiles avec Bruxelles, l'Allemagne et la Russie, au nom de la défense des intérêts nationaux, ainsi que par des tensions sociales et une "décommunisation" controversée, n'ont pas produit l'effet escompté.
D'autres critiques avaient dit craindre que, proche sur bien des questions de société de l'Eglise catholique, le PiS ne rende encore plus strictes les conditions d'accès à l'avortement en vigueur, plus difficile la fécondation in vitro et ne renforce la place du catéchisme dans l'éducation.
Les vainqueurs, qui ont prôné "le bon changement" et chauffé leurs troupes au cri "ça ira !" (remplacé dimanche soir par "on a réussi !"), ont fait nombre de promesses comme la baisse des impôts et de l'âge de la retraite et l'augmentation substantielle des allocations familiales.
Les pronostics des télévisions, fondés sur un sondage réalisé à la sortie des bureaux de vote, ne seront officiellement confirmés que mardi soir, la marge d'erreur étant de 2%, ce qui peut encore influer sur le résultat final, mais pas enlever la victoire au PiS.
http://www.lanouvellerepublique.fr/Fran ... au-pouvoir
Le parti Droit et Justice (PiS, opposition) de Jaroslaw Kaczynski a en effet obtenu la majorité absolue aux élections législatives, avec 39,1% des voix, soit 242 sièges sur 460, selon des projections de trois chaînes de télévision rendues publiques dimanche soir.
Ainsi, les mises en garde des adversaires de M. Kaczynski et de son parti, qui évoquaient le souvenir de la période 2005-2007, quand il était au pouvoir, marquée par des rapports difficiles avec Bruxelles, l'Allemagne et la Russie, au nom de la défense des intérêts nationaux, ainsi que par des tensions sociales et une "décommunisation" controversée, n'ont pas produit l'effet escompté.
D'autres critiques avaient dit craindre que, proche sur bien des questions de société de l'Eglise catholique, le PiS ne rende encore plus strictes les conditions d'accès à l'avortement en vigueur, plus difficile la fécondation in vitro et ne renforce la place du catéchisme dans l'éducation.
Les Polonais ont voté dimanche pour le changement en portant au pouvoir les conservateurs catholiques eurosceptiques qui ont surfé une vague de promesses populistes et la peur de l'arrivée massive de réfugiés du Proche-Orient, au risque de créer des tensions dans les relations avec l'UE, Berlin et Moscou.
Le parti Droit et Justice (PiS, opposition) de Jaroslaw Kaczynski a en effet obtenu la majorité absolue aux élections législatives, avec 39,1% des voix, soit 242 sièges sur 460, selon des projections de trois chaînes de télévision rendues publiques dimanche soir.
Ainsi, les mises en garde des adversaires de M. Kaczynski et de son parti, qui évoquaient le souvenir de la période 2005-2007, quand il était au pouvoir, marquée par des rapports difficiles avec Bruxelles, l'Allemagne et la Russie, au nom de la défense des intérêts nationaux, ainsi que par des tensions sociales et une "décommunisation" controversée, n'ont pas produit l'effet escompté.
D'autres critiques avaient dit craindre que, proche sur bien des questions de société de l'Eglise catholique, le PiS ne rende encore plus strictes les conditions d'accès à l'avortement en vigueur, plus difficile la fécondation in vitro et ne renforce la place du catéchisme dans l'éducation.
Les vainqueurs, qui ont prôné "le bon changement" et chauffé leurs troupes au cri "ça ira !" (remplacé dimanche soir par "on a réussi !"), ont fait nombre de promesses comme la baisse des impôts et de l'âge de la retraite et l'augmentation substantielle des allocations familiales.
Les pronostics des télévisions, fondés sur un sondage réalisé à la sortie des bureaux de vote, ne seront officiellement confirmés que mardi soir, la marge d'erreur étant de 2%, ce qui peut encore influer sur le résultat final, mais pas enlever la victoire au PiS.
http://www.lanouvellerepublique.fr/Fran ... au-pouvoir