Le problème, voyez c'est que la vérité historique et la réalité des faits, sont un peu plus complexes que vous ne semblez le penser.michel tal a écrit :Bonjour Archi,
Ce que j'appelle extreme? Les différentes formes de communisme :100million de morts
:ce que Lepen appelle un détail :6million de morts
Ce que je dénonce dans le glissement des masses de la gauche vers la droite c'est la meme recherche du bouc émissaire:pour les communiste ce sont les curés et les patrons
pour les 'frontistes" ce sont les étrangers
les deux idéologie véhiculent la haine et le rejet de l'autre et le fait qu'a vingt ans d'intervalle les masses votent pour ces différents courants en tant que chrétien dont certains sont mort au goulag et d'autres dans les camps de concentration nazi cela m'inquiete un petit peu.
Amicalement
Vous connaissez le point de Godwin ? Et bien, vous y arrivez en seulement deux posts.
Vous nous faites la leçon sur l'extrémisme, mais votre seule grille de lecture de la réalité sociale de ce pays se résume à une lutte contre la bête immonde, dont le ventre fécond serait, en définitive, le peuple et les classes populaires ; dont une caste de démocrates autoproclamés serait le garde-chiourne des excès inhérents à sa faible condition sociale.
En attendant, ce dernier doit supporter sans sourciller le chômage, la précarité, la délinquance, et la dégradation généralisée de son cadre et mode de vie ; dont les seules responsables sont, pourtant, ceux que vous défendez et que vous nous présentez comme des remparts contre la barbarie qui sommeille dans le peuple.
Vous voulez mon avis, et bien c'est de la pure escroquerie intellectuelle. S'il y a du racisme, du rejet de l'autre comme vous dites, les responsables ne sont pas les soi-disant extrêmes que vous vilipendez, mais bel et bien ceux qui ont le pouvoir depuis des décennies, et qui ont mis en place les conditions pour que se développent naturellement le racisme et le rejet de l'autre.
Parce qu'il arrive un moment où un peuple placide comme le nôtre ne peut plus supporter l'insupportable. Alors, il réagit. Et connaissant notre histoire, cette réaction peut, en effet, faire peur.
Mais interrogez-vous ! A qui la faute ?