Situation politique en Hongrie
Publié : jeu. 11 oct. 2012, 19:03
La Hongrie pas pressée d'entrer dans la zone Euro ?
Ben oui, je les comprends un peu les Hongrois !
La chancelière allemande Angela Merkel rencontre à Berlin, ce jeudi 11 octobre, le Premier ministre hongrois Victor Orban. Le chef du gouvernement a donné le ton dans une interview en prenant ses distances avec une zone euro en grande difficulté.
Viktor Orban n'a plus envie d'adopter la monnaie unique. « Lorsque nous avons adhéré à l'Union européenne, la zone euro avait un tout autre visage », dit-il dans un entretien paru dans le quotidien allemand Handelsblatt.
Le Premier ministre trouverait même « irresponsable » de rejoindre le club des 17 à l'heure actuelle. « Nous ne ferons pas la même erreur que les pays du sud », dit-il. Ces pays comme la Grèce qui, selon lui, ont adopté la monnaie unique trop tôt.
Mais même en restant hors de la zone euro, Victor Orban ne se prive pas de critiquer les choix de ses partenaires européens. Il dit vouloir faire comprendre à la chancelière Angela Merkel que la mise en place d'une union bancaire va trop vite à son goût et que l'idée d'harmoniser les impôts ne lui convient pas.
Pas sûr que la chancelière soit prête à entendre ces critiques. Les relations entre l'Allemagne et la Hongrie ne sont plus au beau fixe depuis que le nationaliste Victor Orban a pris le pouvoir en 2010, mettant en oeuvre des réformes jugées anti-démocratiques par l'ensemble de ses partenaires européens.
La question se pose : qu'est-ce qui est démocratique selon la Troïka ?
Ben oui, je les comprends un peu les Hongrois !
La chancelière allemande Angela Merkel rencontre à Berlin, ce jeudi 11 octobre, le Premier ministre hongrois Victor Orban. Le chef du gouvernement a donné le ton dans une interview en prenant ses distances avec une zone euro en grande difficulté.
Viktor Orban n'a plus envie d'adopter la monnaie unique. « Lorsque nous avons adhéré à l'Union européenne, la zone euro avait un tout autre visage », dit-il dans un entretien paru dans le quotidien allemand Handelsblatt.
Le Premier ministre trouverait même « irresponsable » de rejoindre le club des 17 à l'heure actuelle. « Nous ne ferons pas la même erreur que les pays du sud », dit-il. Ces pays comme la Grèce qui, selon lui, ont adopté la monnaie unique trop tôt.
Mais même en restant hors de la zone euro, Victor Orban ne se prive pas de critiquer les choix de ses partenaires européens. Il dit vouloir faire comprendre à la chancelière Angela Merkel que la mise en place d'une union bancaire va trop vite à son goût et que l'idée d'harmoniser les impôts ne lui convient pas.
Pas sûr que la chancelière soit prête à entendre ces critiques. Les relations entre l'Allemagne et la Hongrie ne sont plus au beau fixe depuis que le nationaliste Victor Orban a pris le pouvoir en 2010, mettant en oeuvre des réformes jugées anti-démocratiques par l'ensemble de ses partenaires européens.
La question se pose : qu'est-ce qui est démocratique selon la Troïka ?