Faillites bancaires en Europe
Publié : ven. 30 sept. 2016, 1:34
Bonjour,
Les banques principales allemandes, déjà fragilisées par la crise de 2008, pourraient ne pas survivre à la suivante.
Le dernier crash tests de cet été les pointaient du doigt:
http://www.lesechos.fr/finance-marches/ ... 017924.php
Comme le dernier rapport du FMI http://www.lesechos.fr/30/06/2016/lesec ... emique.htm
Commerzbank va supprimer presque 10,000 emplois en disant se concentrer sur le numérique.
http://www.lesechos.fr/finance-marches/ ... 031221.php
La Deutsche Bank dévisse après que Merkel a déclaré ne pas vouloir renflouer cette banque suite à sa condamnation aux États-Unis (amende de 14 milliards de dollars pour sa responsabilité dans la crise des subprime!)
http://www.latribune.fr/economie/union- ... 02687.html
Dans le même ordre d'idée les rats quittent le navire : les fonds spéculatifs en premier diminuent leur exposition à cette banque (ce qui paraît logique)
http://www.lesechos.fr/finance-marches/ ... 031296.php
( en parallèle il est demandé au citoyen de base et de laisser ses économies dans cette banque.)
Mais, étant donné la taille de ces établissements, leur importance dans l'économie ( le fameux " too big to fail"), est-il vraiment possible de faire autrement que de mettre ces banques sous perfusion d'État?
Comme souvent, on nationalisera les pertes après avoir privatisés les bénéfices.
Après la faillite de Lehman Brother, les États-Unis avaient procédé à certains sauvetages comme celui de City-group (http://www.economist.com/node/12670165 ) ou AIG pour citer quelques exemples.
La taille du portefeuille de produits dérivés de la DB est paraît-il de 42,000 milliards d'euros. Ces chiffres astronomiques qui donnent le tournis donnent une idée du cataclysme que constituerai une faillite bancaire de cette ampleur. Les effets de domino ne sont pas à exclure.
Dans ces conditions, il n'est pas étonnant qu'un plan de sauvegarde soit à l'étude, même si ligne officielle dément.
http://www.zeit.de/wirtschaft/2016-09/d ... tsbehoerde
Les banques principales allemandes, déjà fragilisées par la crise de 2008, pourraient ne pas survivre à la suivante.
Le dernier crash tests de cet été les pointaient du doigt:
http://www.lesechos.fr/finance-marches/ ... 017924.php
Comme le dernier rapport du FMI http://www.lesechos.fr/30/06/2016/lesec ... emique.htm
Commerzbank va supprimer presque 10,000 emplois en disant se concentrer sur le numérique.
http://www.lesechos.fr/finance-marches/ ... 031221.php
La Deutsche Bank dévisse après que Merkel a déclaré ne pas vouloir renflouer cette banque suite à sa condamnation aux États-Unis (amende de 14 milliards de dollars pour sa responsabilité dans la crise des subprime!)
http://www.latribune.fr/economie/union- ... 02687.html
Dans le même ordre d'idée les rats quittent le navire : les fonds spéculatifs en premier diminuent leur exposition à cette banque (ce qui paraît logique)
http://www.lesechos.fr/finance-marches/ ... 031296.php
( en parallèle il est demandé au citoyen de base et de laisser ses économies dans cette banque.)
Mais, étant donné la taille de ces établissements, leur importance dans l'économie ( le fameux " too big to fail"), est-il vraiment possible de faire autrement que de mettre ces banques sous perfusion d'État?
Comme souvent, on nationalisera les pertes après avoir privatisés les bénéfices.
Après la faillite de Lehman Brother, les États-Unis avaient procédé à certains sauvetages comme celui de City-group (http://www.economist.com/node/12670165 ) ou AIG pour citer quelques exemples.
La taille du portefeuille de produits dérivés de la DB est paraît-il de 42,000 milliards d'euros. Ces chiffres astronomiques qui donnent le tournis donnent une idée du cataclysme que constituerai une faillite bancaire de cette ampleur. Les effets de domino ne sont pas à exclure.
Dans ces conditions, il n'est pas étonnant qu'un plan de sauvegarde soit à l'étude, même si ligne officielle dément.
http://www.zeit.de/wirtschaft/2016-09/d ... tsbehoerde