Cela s'appelle du relativisme et n'est pas admis par le Christ (même s'il n'utilise pas lui même ce mot)françois de Québec a écrit :Je pense qu'il faut laisser à chacun, selon sa sensibilité, le choix de "s'afficher" selon ce qui lui convient le mieux et dans ce qu'il se sentira bien.
Effectivement, mais rien ne l'empêche d'aller à la Messe ailleurs et de suivre la vie d'une autre paroisse.françois de Québec a écrit :Je pense que dans l'Eglise catholique le paroissien n'a pas le choix de sa paroisse, qu'il dépend automatiquement de la paroisse de sa résidence.
Il faut juste qu'il demande l'autorisation au curé de sa paroisse territoriale pour recevoir certains sacrement.
La question des sacrements n'existant pas dans les communautés protestantes, il y a donc plus de souplesse.
Mais la sensibilité n'a pas sa place dans l'expression la Foi !françois de Québec a écrit :Nous sommes tous différents avec notre sensibilité propre. Chacun devrait peut-être avoir le choix de fréquenter une paroisse dirigée par un pasteur plus proche de cette sensibilité.
Est-ce que la Foi dépend de ce que l'on ressent ? Non !
Il y a la Révélation Divine et c'est tout.
Concernant l'habit, il s'agit certes d'une question disciplinaire. Mais Jésus a dit plusieurs fois en parabole qu'à celui qui a été fidèle en peut de chose se verra confier de plus grande (parabole des talents d'or par exemple).
De plus il nous a montré l'exemple de l'obéissance. C'est St Paul qui le montre le mieux dans son texte "Le Christ c'est fait pour nous obéissant jusqu'à la mort et la mort sur la croix" (la dernière partie signifie l'humiliation la plus forte).
Alors, un prêtre qui est le christ "in personna capita" dans les sacrements, s'il refuse d'obéir (contrairement au Christ) sur de petites choses, comment obéira-t-il sur de grandes choses ?
D'ailleurs, généralement, ce sont le mêmes prêtres qui refusent les vêtements ecclésiastiques (col romain ou soutane) et qui refusent de recevoir la Liturgie Divine mais préfère la transformer à leur goût, refusant par là l'origine divine et détruisant le coté Liturgique, c'est à dire Universel.