Je n'ai jamais dit le contraire. Lorsque je dis que je ne sacrifierai pas le panache à la vérité c'est par rapport à votre intervention précise sur ce sujet. Ma phrase n'a de sens que dans ce contexte bien précis.St. François d’Assise avait du panache… Le Christ avait du panache… St. Paul, St. Jean-Baptiste, etc… Oui, quand on croit à la vérité, on témoigne de la vérité. Le panache va avec.
Non, car il s'agissait pour moi de montrer l'inanité de votre raisonnement, pas autre chose.Foi… Liturgie… vous n’auriez pas tendance à tout confondre ?
Vous surinterprétez. Vous n'avez pas compris que je m'en prenais à votre raisonnement, je n'ai jamais prétendu ou sous-entendu que vous étiez hérétique.Une habitude, apparemment, dès que le débat frôle le concile Vatican II. Les sceptiques sont vite suspects d’hérésie !
Je ne le nie pas. Ce que je nie depuis le début c'est l'idée selon laquelle les "nouveautés" sont intrinsèques au missel de Paul VI. Nous tournons en rond.Mais vous ne devez pas ignorer les nombreux témoignages de gens qui disent avoir cessé complètement la pratique à cause des nouveautés.
Premièrement, je suis d'accord avec vous. Deuxièmement je n'apprécie guère l'emphase mise sur le terme de panache qui semble pour le coups sous-entendre des choses peu appréciable me concernant fondée sur une incompréhension totale de mes propos.Et laissez-moi vous dire que si on n’avait pas habitué les gens à l’idée d’une Eglise où on fait ce qu’on veut comme on veut, et qui n’affirme plus son enseignement avec PANACHE, ils n’en seraient sûrement pas à dire de telles fantaisies.
Mais je vous en prie, arrêtons-nous là, nous sommes d'accord sur l'essentiel, vraiment. Il ne reste que cette histoire de missel.