Je suis complètement d'accord avec vous. Je pense qu'il n'y a rien de pire que ces adaptationsOlivier JC a écrit : Mais...
1) Il était tout aussi bon de conserver la communion à genoux sur la langue. On voit le résultat.
2) Vu que les adaptations sont toujours à l'état de projet, cela pose des pb. Je pense par exemple au rite de paix.
3) Ce qu'il est bon de conserver, il n'est pas nécessairement mauvais de ne pas le conserver.
La seule chose que je voulais dire, c'est que la rédaction des rubriques est trop souple. Elle permet à la mauvaise foi de s'insinuer dans leur interprétation. N'eut-il pas été plus simple de dire : les fidèles seront à genoux de tel moment à tel moment, point, sauf adaptation approuvée et mentionnée en appendice de la présente PGMR.
Au moins, ce serait clair. Pas ambigu.
laissées à la liberté de la CEF. Ceci part de l'idéologie selon laquelle la célébration de
la sainte Messe doit s'adaptater à chaque culture et donc finalement la messe devrait
pouvoir être vécue comme un événement de la vie quotidienne.
Or, une fois passée la porte de l'église, nous quittons la vie quotidienne, nous sommes
en unité avec l'Eglise Universelle et il est légitime de penser qu'il puisse y avoir une
unité de la manière de vivre la célébration.
Ces adaptations sont un frein à l'unité du rite romain (tout comme l'adoption du vernaculaire).
Encore une fois, c'est la forme extraordinaire qui a raison.