TREBLA a écrit : ↑sam. 13 mai 2017, 14:41Cher Etienne,
Merci de partager votre sollicitation de prière avec nous :Je prie que le Seigneur aplanisse votre chemin.Mais aujourd'hui, je veux profiter de ce témoignage pour solliciter votre prière : cette année, le propriétaire de ma boutique est venu m'annoncer qu'il liquidait toutes ses affaires et qu'il remettrait en vente le local que j'occupe depuis ... plus de vingt-cinq ans. Il ne m'a même pas remis un document, tant il est sûr de lui. Mais pour ma part, je suis bien obligé de lui tenir tête - à cinq ans de la retraite, je risque de me retrouver sans statut reconnu et obligé de vivre sur mes économies durant cinq années avant ma pension. Puisse le Seigneur aplanir mon chemin !
Il est capable de le faire.
Il l'a fait pour les enfants d'Israël :
Je suis Yahweh, votre Saint, le Créateur d'Israël, votre roi!
Ainsi parle Yahweh, qui ouvrit un chemin dans la mer, un sentier dans les eaux puissantes;
qui mit en campagne chars et chevaux, armée et vaillants guerriers, -- tous ensemble ils sont couchés pour ne plus se relever; ils ont été étouffés, ils se sont éteints comme une mèche: --
Ne vous souvenez plus des événements passés, et ne considérez plus les choses d'autrefois!
Voici que je vais faire une merveille nouvelle; elle est près d'éclore; ne la reconnaîtrez-vous pas? Je mettrai un chemin dans le désert, des fleuves dans la terre aride. (Isaïe 43, 14-19)
Que le Seigneur vous bénisse.
En dépit de leur pratique religieuse impeccable, les propriétaires de ma boutique, propriétaires aussi de tous les fermages d'une commune proche, ainsi que de terrains occupés par des magasins de "grande surface" ... se retrouvent, ayant dépassé chacun 80 ans, se retrouvent embarrassés: ils voudraient tout liquider pour ne plus devoir intervenir en temps que propriétaires (par exemple en cas de sinistres). Je suis lié d'amitié avec leur fille depuis une vingtaine d'années. Mais bien qu'ayant étudié la philosophie à l'université, je n'ai jamais été admis dans le cercle des "très proches" - lesquels avaient suivi des cours de littérature... Bah !
Toujours est-il que je l'ai conduite à Lourdes du fait d'étranges phénomènes de "Ces voix qui répètent ma pensée" et dont elle a guéri quelques moi plus tard.
Je ne dispose pas d'un bail écrit, mais à défaut, il existe un "bail légal" - et je suis pratiquement certain d'obtenir gain de cause assez facilement après avoir consulté un notaire quelconque. Néanmoins, du point de vue humain, le gâchis sera définitif... Je n'aurais jamais cru que la richesse puisse à ce point empoisonner une amitié de plus de vingt années.
Néanmoins, je ne suis pas du genre à baisser les bras en gémissant sur mon sort - je ferai valoir mon droit.
Merci de m'avoir lu... Etienne