Aussi tu dois devenir un "Chapelet!"

« J'enlèverai votre cœur de pierre, et je vous donnerai un cœur de chair. » (Ez 36.26)
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Aussi tu dois devenir un "Chapelet!"

Message non lu par Cogitor » mer. 31 mai 2006, 20:31

Aussi tu dois devenir un "Chapelet!"

Le Chapelet est une prière contemplative et le sujet principal de cette contemplation c'est le Visage de Christ. En l'il récite du Chapelet telle action contemplative il trouve en Maria un point irremplaçable de référence. Elle est, en effet, la créature qui a plus que tous fixé son regard sur Christ en le tempérant de tout de suite dans son même corps.

Mais comme il se fait à réciter le Chapelet sans risquer dans le risque de la distraction?

Tout ce que concerne le mystère de notre foi il ne se l'entend pas depuis l'aujourd'hui à l'avenir. Et' nécessaire parcourir un chemin, apprendre jour après jour et avec patience comme il se fait à s'éprendre de Dieu. Notre existence peut devenir prière s'il se trouve disponible nous à apprendre et s'il se quitte garder d'une "Règle"! Chaque monastère a sa Règle par exemple, un instrument qu'il ne limite pas la vie du consacré mais il l'éduque à la la plus grande liberté. Tous les grands Saints fondateur d'un Ordre construisaient leur charisme spécial à partir d'une Règle, une règle de vie qu'il aidât la communauté monastique à vivre le temps comme temps de Dieu. La prière est le coeur de chaque Règle et non seulement pour les moines! Nous aussi laïques nous avons besoin de régler notre vie! Réciter le Chapelet, dédier un quatrième c'est-à-dire de maintenant de notre temps à la contemplation du Visage Saint de Dieu peut devenir avant une et règle fondamentale qu'il nous permettra d'avancer en celle-là qui définit "l'art de la prière."

Pardonnez-moi si mon Français n'est pas parfait.

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laiglejo
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Message non lu par laiglejo » mer. 31 mai 2006, 20:48

Bonjour COGITOR !

Bienvenu sur le forum ! :) et au soleil de Palerme ! :sombrero:


Paul Claudel : "La Vierge à Midi"


Il est midi. Je vois l'église ouverte. Il faut entrer.
Mère de Jésus-Christ, je ne viens pas prier.
Je n'ai rien à offrir et rien à demander.
Je viens seulement, Mère, pour vous regarder.
Vous regarder, pleurer de bonheur, savoir cela
Que je suis votre fils (fille) et que vous êtes là.
Rien que pour un moment pendant que tout s'arrête.
Midi !
Etre avec vous, Marie, en ce lieu où vous êtes.
Ne rien dire, mais seulement chanter
Parce qu'on a le coeur trop plein,
Comme le merle qui suit son idée
En ces espèces de couplets soudains.
Parce que vous êtes belle, parce que vous êtes immaculée,
La femme dans la Grâce enfin restituée,
La créature dans son honneur premier
Et dans son épanouissement final,
Telle qu'elle est sortie de Dieu au matin
De sa splendeur originale.
Intacte ineffablement parce que vous êtes
La Mère de Jésus-Christ,
Qui est la vérité entre vos bras, et la seule espérance
Et le seul fruit.
Parce que vous êtes la femme,
L'Eden de l'ancienne tendresse oubliée,
Dont le regard trouve le coeur tout à coup et fait jaillir
Les larmes accumulées,
Parce qu'il est midi,
Parce que nous sommes en ce jour d'aujourd'hui,
Parce que vous êtes là pour toujours,
Simplement parce que vous êtes Marie,
Simplement parce que vous existez,
Mère de Jésus-Christ, soyez remerciée !

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merci

Message non lu par Cogitor » mer. 31 mai 2006, 21:04

Merci pour l'accueil et merci aussi pour la prière splendide de P. Claudel, un des miens préférés avec C. Péguy. À bientôt.

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Message non lu par laiglejo » mer. 31 mai 2006, 21:16

...À celle qui intercède.
La seule qui puisse parler de l'autorité d'une mère.
S'adresser hardiment à celle qui est infiniment pure.
Parce qu'aussi elle est infiniment douce...
À celle qui est infiniment riche.
Parce qu'aussi elle est infiniment pauvre.
À celle qui est infiniment haute.
Parce qu'aussi elle est infiniment descendante.
À celle qui est infiniment grande.
Parce qu'aussi elle est infiniment petite.
Infiniment humble.
Une jeune mère.
À celle qui est infiniment jeune.
Parce qu'aussi elle est infiniment mère...
À celle qui est infiniment joyeuse.
Parce qu'aussi elle est infiniment douloureuse...
À celle qui est infiniment touchante.
Parce qu'aussi elle est infiniment touchée.
À celle qui est toute Grandeur et toute Foi.
Parce qu'aussi elle est toute Charité...
À celle qui est Marie.
Parce qu'elle est pleine de grâce.
À celle qui est pleine de grâce.
Parce qu'elle est avec nous.
À celle qui est avec nous.
Parce que le Seigneur est avec elle.

Charles Péguy

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Message non lu par laiglejo » mer. 31 mai 2006, 21:18

J'suis là, saint'Vierge, à mon coin d'rue

où d'pis l'apéro, j'bats la semelle;

j'suis qu'eune ordur, qu'eun'fill' perdue,

c'est la Charlotte qu'on m'appelle.



Vierge Marie... pleine de grâce...

j'suis fauchée à mort, vous savez;

mes pognets, c'est pus qu'eun'crevasse

et me v'là ce soir su'l pavé.



Si j'entrais m'chauffer à l'église,

on m'foutrait dehors, c'est couru;

ça s'voit trop que j'suis fill'soumise...

(oh! mand'pardon, j'viens d'dire "foutu").



su'la paill' de vot' écurie

v's'z'avez rien dû avoir frio,

Jésus et vous, Vierge Marie...



C'est vrai que j'ai plaqué l'turbin.

Mais l'ouvrièr' gagn' pas son pain;

quoi qu'a fasse, alle est mal payée,

a n'fait mêm' pas pour son loyer;...



Bref, je suis pus qu'eun salop'rie,

un vrai fumier, Vierge Marie!

Malgré comm' ça qu'j'aye fait la vie,

j'ai pensé à vous bien souvent...



Et ce soir encor ça m'rappelle

un temps, qui jamais n'arr'viendra,

ousque j'allais à vot chapelle

les mois que c'était votre fête.



Jarr'vois vot bell' rob' bleue, vot'voile,

(mêm' qu'il était piqué d'étoiles),

vot' bell' couronn'd'or su' la tête

et votre trésor su' les bras...



Jehan Rictus

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Message non lu par Cogitor » mer. 31 mai 2006, 21:26

Merci, tu es fantastique.

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Message non lu par laiglejo » mer. 31 mai 2006, 21:26

Récite ton chapelet...
Auteur : Charles Péguy
Récite ton chapelet, dit DIEU,
et ne te soucie pas de ce que raconte tel écervelé :
que c'est une dévotion passée et qu'on va abandonner.

Cette pière-là, je te le dis
est un rayon de l'Evangile :
on ne me le changera pas.

Ce que j'aime dans le chapelet, dit Dieu,
c'est qu'il est simple et qu'il est humble.
Comme fut mon Fils.
Comme fut ma Mère.

Récite ton chapelet : tu trouvera à tes côtés
toute la compagnie rassemblée en l'Evangile :
la pauvre veuve qui n'a pas fait d'études
et le publicain repentant qu ne sait plus son catéchisme,
la pécheresse effrayée qu'on voudrait accabler,
et tous les éclopés que leur foi a sauvés,
et les bons vieux bergers, comme ceux de Bethléem,
qui découvrent mon Fils et sa Mère...

Récite ton chapelet, dit Dieu,
il faut que votre prière tourne, tourne et retourne,
comme font entre vos doigts les grains du chapelet.

Alors, quand je voudrai, je vous l'assure,
vous recevrez la bonne nourriture,
qui affermit le coeur et rassure l'âme.

Allons, dit Dieu, récitez votre chapelet
et gardez l'esprit en paix.

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Message non lu par laiglejo » jeu. 01 juin 2006, 17:47

LE CHAPELET en préparation de la PENTECOTE

Lettre Apostolique
ROSARIUM VIRGINIS MARIAE
du Pape Jean-Paul II

A l'Episcopat, au clergé et aux fidèles sur le Rosaire

16 Octobre 2002
................
apprendre le Christ
14. Le Christ est le Maître par excellence, le révélateur et la révélation. Il ne s'agit pas seulement d'apprendre ce qu'il nous a enseigné, mais "d'apprendre à le connaître Lui". Et quel maître, en ce domaine, serait plus expert que Marie ? S'il est vrai que, du point de vue divin, l'Esprit est le Maître intérieur qui nous conduit à la vérité tout entière sur le Christ (cf Jn 14, 26; 15, 26; 16, 13), parmi les êtres humains, personne mieux qu'elle ne connaît le Christ; nul autre que sa Mère ne peut nous faire entrer dans une profonde connaissance de son mystère.
Le premier des "signes" accomplis par Jésus – la transformation de l'eau en vin aux noces de Cana – nous montre justement Marie en sa qualité de maître, alors qu'elle invite les servants à suivre les instructions du Christ (cf. Jn 2, 5). Et nous pouvons penser qu'elle a rempli cette fonction auprès des disciples après l'Ascension de Jésus, quand elle demeura avec eux dans l'attente de l'Esprit Saint et qu'elle leur apporta le réconfort dans leur première mission. Cheminer avec Marie à travers les scènes du Rosaire, c'est comme se mettre à "l'école" de Marie pour lire le Christ, pour en pénétrer les secrets, pour en comprendre le message.
L'école de Marie est une école tout particulièrement efficace si l'on considère que Marie l'accomplit en nous obtenant l'abondance des dons de l'Esprit Saint, en nous offrant aussi l'exemple du "pèlerinage dans la foi" (17) dont elle est un maître incomparable. Face à chaque mystère de son Fils, elle nous invite, comme elle le fit à l'Annonciation, à poser humblement les questions qui ouvrent sur la lumière, pour finir toujours par l'obéissance de la foi : "Je suis la servante du Seigneur; que tout se passe pour moi selon ta parole !" (Lc 1, 3Cool.
...........
Mystères glorieux
23. "La contemplation du visage du Christ ne peut s'arrêter à son image de crucifié. Il est le Ressuscité !" (29). Depuis toujours le Rosaire exprime cette conscience de la foi, invitant le croyant à aller au-delà de l'obscurité de la Passion, pour fixer son regard sur la gloire du Christ dans la Résurrection et dans l'Ascension. En contemplant le Ressuscité, le chrétien redécouvre les raisons de sa propre foi (cf. 1 Co 15, 14), et il revit la joie non seulement de ceux à qui le Christ s'est manifesté – les Apôtres, Marie-Madeleine, les disciples d'Emmaüs –, mais aussi la joie de Marie, qui a dû faire une expérience non moins intense de la vie nouvelle de son Fils glorifié. A cette gloire qui, par l'Ascension, place le Christ à la droite du Père, elle sera elle-même associée par l'Assomption, anticipant, par un privilège très spécial, la destinée réservée à tous les justes par la résurrection de la chair. Enfin, couronnée de gloire – comme on le voit dans le dernier mystère glorieux –, elle brille comme Reine des Anges et des Saints, anticipation et sommet de la condition eschatologique de l'Eglise.
Dans le troisième mystère glorieux, le Rosaire place au centre de ce parcours glorieux du Fils et de sa Mère la Pentecôte, qui montre le visage de l'Eglise comme famille unie à Marie, ravivée par l'effusion puissante de l'Esprit et prête pour la mission évangélisatrice. La contemplation de ce mystère, comme des autres mystères glorieux, doit inciter les croyants à prendre une conscience toujours plus vive de leur existence nouvelle dans le Christ, dans la réalité de l'Eglise, existence dont la scène de la Pentecôte constitue la grande "icône". Les mystères glorieux nourrissent ainsi chez les croyants l'espérance de la fin eschatologique vers laquelle ils sont en marche comme membres du peuple de Dieu qui chemine à travers l'histoire. Ceci ne peut pas ne pas les pousser à témoigner avec courage de cette "joyeuse annonce" qui donne sens à toute leur existence.
..............
Le chapelet
36. Le chapelet est l'instrument traditionnel pour la récitation du Rosaire. Une pratique par trop superficielle conduit à le considérer souvent comme un simple instrument servant à compter la succession des Je vous salue Marie. Mais il veut aussi exprimer un symbolisme qui peut donner un sens nouveau la contemplation.
A ce sujet, il faut avant tout noter que le chapelet converge vers le Crucifié, qui ouvre ainsi et conclut le chemin même de la prière. La vie et la prière des croyants sont centrées sur le Christ. Tout part de Lui; tout tend vers Lui; et par Lui, tout, dans l'Esprit Saint, parvient au Père.
En tant qu'instrument servant à compter, qui scande la progression de la prière, le chapelet évoque le chemin incessant de la contemplation et de la perfection chrétiennes. Le bienheureux Bartolo Longo voyait aussi le chapelet comme une "chaîne" qui nous relie à Dieu. Une chaîne, certes, mais une douce chaîne; car tel est toujours la relation avec Dieu qui est Père. Une chaîne "filiale", qui nous accorde à Marie, la "servante du Seigneur" (Lc 1, 3Cool et, en définitive, au Christ lui-même qui, tout en étant Dieu, s'est fait "serviteur" par amour pour nous (Ph 2, 7).
Il est beau également d'étendre la signification symbolique du chapelet à nos relations réciproques; par lui nous est rappelé le lien de communion et de fraternité qui nous unit tous dans le Christ.
..............
http://66.249.93.104/search?q=cache:dM7 ... =firefox-a


UNE PROPHETIE DE MARTHE ROBIN CONCERNANT LA FRANCE

Elle est la première à avoir annoncé la grande Pentecôte d'Amour que le Seigneur veut donner à son Eglise et dont nous avons déjà vu les premiers éléments. Elle porte la vision de foyers éclatants de Lumière, de Charité et d'Amour qui rayonnent au milieu du monde et dont tous les membres sont des saints. Elle annonce les Apôtres des derniers temps. A l'école de Saint Louis Marie Grignon de Montfort, elle sait que ces apôtres ne portent du fruit que dans une totale consécration à Marie.

Déchristianisation, pauvreté, avortements, divorces, violences urbaines… on sent bien que notre cher pays la France traverse actuellement une période très difficile de son histoire.
Dans ce contexte particulièrement douloureux, il est intéressant de lire (ou de relire) cette prophétie concernant la France que Marthe Robin avait confiée au Père Finet, le co-fondateur des Foyers de Charité : "La France tombera très bas, plus bas que les autres nations, à cause de son orgueil et des mauvais chefs qu'elle se sera choisis. Elle aura le nez dans la poussière. Alors elle criera vers Dieu, et c'est la Sainte Vierge qui viendra la sauver. Elle retrouvera sa mission de fille aînée de l'Eglise et enverra à nouveau des missionnaires dans le monde entier"


Marie au Cénacle et à la Pentecôte


Au cours de la prière au Cénacle, dans une attitude de profonde communion avec les Apôtres, quelques femmes et les « frères » de Jésus, la Mère du Seigneur invoque le don de l’Esprit pour elle-même et pour la communauté.

Il était bon que la première effusion de l’Esprit sur elle, qui avait eu lieu en vue de sa maternité divine, fût renouvelée et renforcée. En effet, au pied de la Croix, une nouvelle maternité avait été confiée à Marie, qui concernait les disciples de Jésus. Cette mission exigeait précisément un renouvellement du don de l’Esprit. La Vierge le désirait donc, en vue de la fécondité de sa maternité spirituelle. Alors qu’au moment de l’Incarnation l’Esprit était descendu sur elle en tant que personne appelée à participer dignement au grand mystère, maintenant tout s’accomplit en fonction de l’Église, dont Marie est appelée à être la figure, le modèle et la mère. Dans l’Église et pour l’Église, la Vierge, se souvenant de la promesse de Jésus, attend la Pentecôte et implore pour tous la multiplicité des dons, selon la personnalité et la mission de chacun.

Dans la communauté chrétienne, la prière de Marie revêt une signification particulière

Dans la communauté chrétienne, la prière de Marie revêt une signification particulière : elle favorise l’avènement de l’Esprit en sollicitant son action dans le cœur des disciples et dans le monde. Tout comme, lors de l’Incarnation, l’Esprit avait formé en son sein virginal le corps physique du Christ, de même, au Cénacle, le même Esprit descend pour animer son Corps mystique. La Pentecôte est donc aussi le fruit de l’incessante prière de la Vierge, que le Paraclet accepte avec une faveur toute particulière parce qu’elle est l’expression de son amour maternel à l’égard des disciples du Seigneur. En contemplant la puissante intercession de Marie qui attend l’Esprit Saint, les chrétiens de tous les temps, dans leur long et difficile cheminement vers le salut, recourent souvent à son intercession pour recevoir avec plus d’abondance les dons du Paraclet.

Répondant à la prière de Marie et de la communauté rassemblée au Cénacle le jour de la Pentecôte, l’Esprit Saint comble la Vierge et ceux qui sont présents de la plénitude de ses dons, opérant en eux une profonde transformation en vue de la diffusion de la Bonne Nouvelle. À la Mère du Christ et aux disciples, sont donnés une force nouvelle et un dynamisme apostolique nouveau, pour la croissance de l’Église.

Éclairée et conduite par l’Esprit, elle a exercé une influence profonde sur la communauté des disciples du Seigneur

En particulier, l’effusion de l’Esprit conduit Marie à exercer sa maternité spirituelle d’une manière singulière, par sa présence toute imprégnée de charité et par le témoignage de sa foi. Dans l’Église naissante, elle transmet aux disciples, comme un trésor inestimable, ses souvenirs sur l’Incarnation, l’enfance, la vie cachée et la mission de son divin Fils, contribuant à le faire connaître et à affermir la foi des croyants.

Nous ne disposons d’aucune information sur l’activité de Marie dans l’Église primitive, mais il est permis de supposer que, même après la Pentecôte, elle a continué à vivre une existence cachée et discrète, attentive et efficace. Éclairée et conduite par l’Esprit, elle a exercé une influence profonde sur la communauté des disciples du Seigneur.


(Extraits -§ 3, 4 et 5) de l’audience générale du 28 mai, Traduction de la Documentation catholique, 6 juillet 1997, N° 2163)

Sa sainteté le pape Jean-Paul II

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