Si je compare avec la seule confession que j'ai faite de ma vie, cette confession (générale) a été suivie d'un entretien avec le prêtre et de conseils qu'il m'a donné. Donc il aurait joué un rôle d'accompagnateur spirituel ou de père spirituel et en aurait fait plus que lors d'une confession normale ?En revanche, le père spirituel vous conseille, vous aide à approfondir votre foi, vous guide, vous aide à grandir, discute avec vous. C'est un peu une catéchèse rien que pour vous et donc plus "ciblée" que l'homélie générale que donne le prêtre à la messe.
Un confesseur m'aurait simplement écoutée, donné l'absolution et proposé la pénitence, mais rien de plus ?
A partir du moment où suite à une confession, on demande des conseils, l'accompagnement spirituel se fait automatiquement, de manière tacite ? Pas besoin de lui formuler la requête : "souhaitez-vous devenir mon père spirituel" ?
Autre question : cela se fait-il de poser certaines questions par e-mail au prêtre qui nous confesse ? Ou vaut-il mieux garder les questions et les poser lors de ces rencontres/confessions ? (A la fin de la messe, c'est toujours difficile car il est souvent fort accaparé par les fidèles).
Et excusez-moi si vous trouvez mes questions fort naïves, mais je pense de plus en plus que c'est peut-être nécessaire d'avoir cet accompagnement spirituel. Et comme bizarrement, les premières fois que j'ai rencontré ce prêtre, il y a des années, donc avant mon retour, j'ai eu un a priori négatif (il me semblait "trop" tradi), autant maintenant, il m'inspire vraiment confiance et le contact a été très bon et il peut se montrer très chaleureux également.