Workaholisme, spiritualité et conseils
Publié : lun. 06 nov. 2017, 23:44
Bonsoir à tous,
Cela fait quelques jours maintenant que je m'interroge sur une déviance qui me ronge parfois et m'entraîne dans ces chemins où les émotions sont fortes, sans mesure d'aucune sorte, parfois capable de mener si loin que les excès peuvent venir et détruire. Je parle du workaholisme. Cette expression est plutôt répandue dans les pays anglo-saxons. En résumé, il s'agit de la drogue du travail, on s'investit à outrance au point de sacrifier beaucoup du privé, de la vie personnelle et de la vie spirituelle. Et comme toute drogue, cette addiction entraîne naturellement des dérapages et une forme d'autodestruction.
Je suis malheureusement dans ce genre de configuration. Malheureusement car j'ai surtout été habitué à fonctionner ainsi. C'est en quelque sorte les valeurs extrêmes qui m'ont été inculquées à une période charnière de mon existence. Revenir au réel, sortir d'une phase intensive de workhalosime (4 semaines intensives par exemple) entraîne son lot de problèmes et d'impact affectif.
Là où j'aimerais avoir vos avis, si vous avez connu ou subi ce genre d'excès, c'est sur la manière éventuellement d'apporter la mesure dans tout cela. De ne plus laisser libre court à cette activité qui apporte son lot de plaisir (sentiment de toute puissance, idéalisme, etc) mais qui est aussi insoutenable sur la durée pour un être humain.
Auriez vous quelques remarques et conseils en ce sens ?
Une expérience, peut être, pour avancer sur la route de l'équilibre, pour préserver le lien nécessaire avec Dieu (qui se retrouve "sacrifié" sur l'autel du "travail") ?
En tout cas, je vous remercie par avance pour vos partages.
Bonne soirée à vous.
Cela fait quelques jours maintenant que je m'interroge sur une déviance qui me ronge parfois et m'entraîne dans ces chemins où les émotions sont fortes, sans mesure d'aucune sorte, parfois capable de mener si loin que les excès peuvent venir et détruire. Je parle du workaholisme. Cette expression est plutôt répandue dans les pays anglo-saxons. En résumé, il s'agit de la drogue du travail, on s'investit à outrance au point de sacrifier beaucoup du privé, de la vie personnelle et de la vie spirituelle. Et comme toute drogue, cette addiction entraîne naturellement des dérapages et une forme d'autodestruction.
Je suis malheureusement dans ce genre de configuration. Malheureusement car j'ai surtout été habitué à fonctionner ainsi. C'est en quelque sorte les valeurs extrêmes qui m'ont été inculquées à une période charnière de mon existence. Revenir au réel, sortir d'une phase intensive de workhalosime (4 semaines intensives par exemple) entraîne son lot de problèmes et d'impact affectif.
Là où j'aimerais avoir vos avis, si vous avez connu ou subi ce genre d'excès, c'est sur la manière éventuellement d'apporter la mesure dans tout cela. De ne plus laisser libre court à cette activité qui apporte son lot de plaisir (sentiment de toute puissance, idéalisme, etc) mais qui est aussi insoutenable sur la durée pour un être humain.
Auriez vous quelques remarques et conseils en ce sens ?
Une expérience, peut être, pour avancer sur la route de l'équilibre, pour préserver le lien nécessaire avec Dieu (qui se retrouve "sacrifié" sur l'autel du "travail") ?
En tout cas, je vous remercie par avance pour vos partages.
Bonne soirée à vous.