La Cité catholique

Je ne vois nul part Jésus jouer.
La captation des pensées par le jeu peut devenir dépendance.Mais pour autant, lorsqu' il n'y a pas dépendance, sommes-nous, en jouant, sur un chemin chrétien, ou connectés à un autre dieu, dont on peut se jouer, étant ainsi notre propre dupe?

Bonsoir Pierrot

Il me semble que nous avons le droit de nous amuser et que le jeu n'est pas interdit. Il faut savoir aussi de quel jeu vous parlez ?

On peur jouer avec les enfants et jouer aux cartes ou aux dominos avec les personnes âgées est très décontractant...

Oui, Foxy, après mes premiers doutes, je me range à votre avis. Il me semble que Jésus nous regarde nous amuser. Merci

A partir du du moment où l'on ne joue pas aux jeux d'argent, le jeu , comme il vous l'a été dit ne pourrait être déconseillé ...

pierrot2 a écrit : ↑

dim. 24 déc. 2017, 19:36

Je ne vois nul part Jésus jouer.
[...], ou connectés à un autre dieu, [...]

Bonjour pierrot2,
Pour répondre à vos interrogations, il faudrait définir le Dieu actuel.
C'est à la personne de placer la frontière entre les "deux jeux".
A mon avis lorsque cette personne ne "joue" plus, cela signifie la mort de Jésus.

JCNDA a écrit : Bonjour pierrot2,
Pour répondre à vos interrogations, il faudrait définir le Dieu actuel.
C'est à la personne de placer la frontière entre les "deux jeux".
A mon avis lorsque cette personne ne "joue" plus, cela signifie la mort de Jésus.

Bonjour JCNDA,
Merci pour votre réponse qui m'apporte un éclairage dont l'orientation me permet de diagnostiquer , dans le noir, à quoi correspondait la tension spirituelle qui habite la question.
Cela évoque en effet aussi pour moi cette idée, un peu apparentée, que prendre au sérieux de ne pas se prendre au sérieux ne mène pas là où bien souvent l'on croit

Kerniou a écrit : A partir du du moment où l'on ne joue pas aux jeux d'argent, le jeu , comme il vous l'a été dit ne pourrait être déconseillé ...

Non, en effet, Kerniou. Mais alors, en cas de dispute, comme il arrive parfois suite à un jeu, il est souhaitable qu'un tiers apporte la pondération