Pour clarifier ce point logique il faut distinguer 2 ouvertures et 2 fermetures (de toute facon des concepts relatifs) :celles des actions et celles des résultats.Parler d' absurde quand j' entends "ouverture par la fermeture" ne me parait ni fautif ni superficiel, étant donné que les deux termes sont antinomiques. De plus, j.....
t OUI, je trouve absurde, illogique et même idiot de prétendre que pour s' ouvrir , il faut se fermer. Et j' en suis encore heureuse, parce que le jour ou cela ne sera plus le cas, je risque d' avoir de gros problèmes dans ma vie, je pense. Si je dois aller à gauche, je ne tourne pas à droite. Si je suis assoiffée, je ne mange pas huit kilos de farine.
Quand je dois aller en Suisse, je ne pars pas direction Bordeaux. Désolée d' être un peu terre à terre....
c' est quand même plus pratique que de faire l' inverse des objectifs fixés.
Je veux m' ouvrir aux autres? Facile, je m' ouvre aux autres, point.
Si mes actions sont sans cesse ouvertes elles le seront par définition, mais au fil du temps elles prendront l'ouverture elle même comme point de départ et le résultat sera béant. (En gros la décadence postconciliaire locale par endroits, séminaires morts etc).
Si d'autre part le monde pousse déjà à l'ouverture, et fortement, seule une action neutre, ou de fermeture, pourra donner une ouverture de résultats, qui se fera toute seule par pression mondaine. Tôute action supllémentaire d'ouverture fera dévier vers lA béance de résultat.
Inversement si le monde des victoriens pousse à la fermeture sur le monde parce que par hypothèse il est plus spirituel, alors il se peut que pour aboutir à une fermeture de résultat il faille une ouverture d'action pour éviter la ghéttoisation ou le total isolement de résultat.
Or dans tous les cas c'est l'ouverture et la fermeture de résultat qui compte car la fin est la sanctification et ke salut des âmes, un résultat objectif.