Père Amorth, exorciste, dénonce culte sataniste au Vatican

[Raistlin]

Il me semble que l'évêque est en droit de refuser l'absolution tant que le prêtre ne se dénonce pas publiquement.
Par ailleurs, l'évêque a (depuis 2001 ?) l'obligation de renvoyer les cas à Rome.

Il me semble que, depuis 2001, seul le pape peut autoriser que l'on donne l'absolution à un prêtre ayant commis un acte pédophile. L'évêque n'a pas le pouvoir d'absoudre ce type de péchés.

[Serge BS]

Certes pour l'absolution (que je n'évoquais d'ailleurs pas car ce n'était pas l'objet de mon propos), mais reste que la confession entendue, même non absoute, reste soumise au secret ! C'est là l'un des coeurs du problème !

[Griffon]

Le secret n'empêche pas la possibilité de prendre des mesures.
Même radicale.

Au service des vieux prêtre dans un presbytère du diocèse ?
Avec des ordres stricts, même sans les justifier.

Il me semble que l'évêque a le pouvoir d'interdire de nuire.

Mais le problème n'est pas nouveau.
Qu'un meurtrier vienne se confesser... n'empêche pas qu'il reste un risque pour les autres et qu'il y a des victimes à dédommager.

Avec un prêtre, l'évêque a l'avantage d'avoir un pouvoir sur lui.

Cordialement,

Griffon.