par Héraclius » jeu. 14 sept. 2017, 22:04
Le Paradis est en effet le lieu d'une liberté totale, parce qu'il s'agit du lieu de l'amour absolu. Au Ciel, le juste entre en communion d'amour avec tous les saints, les anges et Dieu lui-même. Or, cette communion d'amour nécessite la liberté, le libre-arbitre ; il n'y a de charité, c'est-à-dire d'amour véritable, que libre. Donc le paradis ne peut littéralement pas exister sans le libre-arbitre, parce que sans libre-arbitre pas de charité, cette charité qui constitue au fond le paradis qui est sa manifestation sur-éminente.
Bien sûr, cela ne veut pas dire que nous pouvons "changer d'avis au paradis" ; notre choix de Dieu et de Son amour (ou notre refus de Lui), nous le faisons dans ce monde. Mais pour autant, c'est cet acte libre que nous avons prononcés sur Terre qui continue de vivre après la fin des temps, dans l'espèce d'éternité du Ciel. C'est notre vie terrestre qui constitue, toute entière, le choix décisif de librement désirer entrer dans cette communion d'amour qu'est le Ciel. Ce choix n'engendre pas de regret, ni pour les sauvés, ni pour les damnés, parce qu'il est vrai et total.
En éspérant vous avoir aidé,
Héraclius -
Le Paradis est en effet le lieu d'une liberté totale, parce qu'il s'agit du lieu de l'amour absolu. Au Ciel, le juste entre en communion d'amour avec tous les saints, les anges et Dieu lui-même. Or, cette communion d'amour [i]nécessite[/i] la liberté, le libre-arbitre ; il n'y a de charité, c'est-à-dire d'amour véritable, que libre. [b]Donc le paradis ne peut littéralement pas exister sans le libre-arbitre, parce que sans libre-arbitre pas de charité, cette charité qui constitue au fond le paradis qui est sa manifestation sur-éminente. [/b]
Bien sûr, cela ne veut pas dire que nous pouvons "changer d'avis au paradis" ; notre choix de Dieu et de Son amour (ou notre refus de Lui), nous le faisons dans ce monde. Mais pour autant, c'est cet acte libre que nous avons prononcés sur Terre qui continue de vivre après la fin des temps, dans l'espèce d'éternité du Ciel. C'est notre vie terrestre qui constitue, toute entière, le choix décisif de librement désirer entrer dans cette communion d'amour qu'est le Ciel. Ce choix n'engendre pas de regret, ni pour les sauvés, ni pour les damnés, parce qu'il est vrai et total.
En éspérant vous avoir aidé,
Héraclius -