par muirgheal » mer. 09 déc. 2009, 11:22
Gardons nous des souvenirs terrestres et les souvenirs des personnes que nous avons côtoyées et aimées au cours de notre vie, une fois que notre vie terrestre sera terminée ?
Je pars évidemment du principe que notre âme est immortelle et que l'on pourrait accéder au paradis, au Royaume de Dieu.
Mais qu'en est-il de nos souvenirs, des liens d'amitiés et d'amours tissés au cours de notre vie terrestre ? Les souvenirs à ce sujet là subsistent-ils ? Où éprouvons nous finalement le même type d'amour pour tout le monde sans restrictions et nous oublierons tout de nos liens terrestres ?
La seule chose qui nous intéressera et qui nous poussera ne sera pas seulement l'amour de Dieu, mais de son prochain également. Donc j'imagine que nous ne serons pas exclusivement tourné vers l'amour de Dieu, mais également vers les autres. Mais me rappellerai-je de mes grands parents, de mon mari, de mes parents, de mes enfants, de mes amis ... lorsque je passerai de l'autre côté (et réciproquement) ?
Dans le bouddhisme par exemple, à la mort d'une personne, tout souvenir disparait. Il n'y a plus ni parents, ni enfants, ni amis, mais une remise à zéro des compteurs en quelque sorte.
Et personnellement, je trouve cette conception plutôt triste.
Je ne sais pas du tout ce que dit la théologie catholique à ce sujet.
Gardons nous des souvenirs terrestres et les souvenirs des personnes que nous avons côtoyées et aimées au cours de notre vie, une fois que notre vie terrestre sera terminée ?
Je pars évidemment du principe que notre âme est immortelle et que l'on pourrait accéder au paradis, au Royaume de Dieu.
Mais qu'en est-il de nos souvenirs, des liens d'amitiés et d'amours tissés au cours de notre vie terrestre ? Les souvenirs à ce sujet là subsistent-ils ? Où éprouvons nous finalement le même type d'amour pour tout le monde sans restrictions et nous oublierons tout de nos liens terrestres ?
La seule chose qui nous intéressera et qui nous poussera ne sera pas seulement l'amour de Dieu, mais de son prochain également. Donc j'imagine que nous ne serons pas exclusivement tourné vers l'amour de Dieu, mais également vers les autres. Mais me rappellerai-je de mes grands parents, de mon mari, de mes parents, de mes enfants, de mes amis ... lorsque je passerai de l'autre côté (et réciproquement) ?
Dans le bouddhisme par exemple, à la mort d'une personne, tout souvenir disparait. Il n'y a plus ni parents, ni enfants, ni amis, mais une remise à zéro des compteurs en quelque sorte.
Et personnellement, je trouve cette conception plutôt triste.
Je ne sais pas du tout ce que dit la théologie catholique à ce sujet.