par steph » jeu. 20 nov. 2008, 16:41
Le fonctionnement de LH est archi méga simple... un gamin peut se servir de la chose... mais, en comparaison, le BR, enfin tout ce qui est extraordinaire est beaucoup plus "compliqué", bien que, comme je l'ai déjà dit, les rubriques imbuvables du début sont réinjectées dans le cours quotidien des offices. Pour exemple, justement, les dimanches à récupérer de l'après-Épiphanie: ils sont sans doute expliqués au début du volume I du BR mais vers le 23e dimanche, on réexplique tout le méchanisme de manière claire, même si cela peut étonner...
Il me semble que l'on fait tout un foin avec le fonctionnement de LH, mais c'est rien-à-voir avec les rubriques de l'office de Matine dans le rite byzantin, par exemple. On peut dire ce que l'on veut, mais PTP donne de bons schémas et LdH explique la chose de manière satisfaisante...
Le BR est plus compliqué que LH, avec l'occurence et la concurrence comme un problème quasi quotidien (résolu au calendrier pour les fêtes fixes, à résoudre "soi-même" pour les mobiles), les offices qui changent après le capitule, etc. Comme un livre sérieux, le BR propose deux tableaux où est résumée la façon de faire... Tout comme PTP, LdH, LH avec les tables de préséance... A part, que depuis la réforme de '62, on n'a plus que 4(-5) degrés: férie & mémoire facultative, mémoire, fête, solennité, alors que du temps de St Pie X, il y en avaitau moins 7: férie, simplex, semiduplex, duplex, duplex maius, duplex II classis, duplex I calssis + les octaves, vigiles et autres joyeusetés. Tout cela permet une meilleure mise en valeur des fêtes, par exemple, la fête de demain: présentation au Temple de N-D, grande fête de la Mère de Dieu en Orient, était Duplex maius en 1935, 3e classe en 62 et mémoire obligatoire aujourd'hui... D'un point de vue oecuménique, on a vachement perdu...
Honnêtement, PTP, et donc LH, c'est "à l'aise"...
Le fonctionnement de LH est archi méga simple... un gamin peut se servir de la chose... mais, en comparaison, le BR, enfin tout ce qui est extraordinaire est beaucoup plus "compliqué", bien que, comme je l'ai déjà dit, les rubriques imbuvables du début sont réinjectées dans le cours quotidien des offices. Pour exemple, justement, les dimanches à récupérer de l'après-Épiphanie: ils sont sans doute expliqués au début du volume I du BR mais vers le 23e dimanche, on réexplique tout le méchanisme de manière claire, même si cela peut étonner...
Il me semble que l'on fait tout un foin avec le fonctionnement de LH, mais c'est rien-à-voir avec les rubriques de l'office de Matine dans le rite byzantin, par exemple. On peut dire ce que l'on veut, mais PTP donne de bons schémas et LdH explique la chose de manière satisfaisante...
Le BR est plus compliqué que LH, avec l'occurence et la concurrence comme un problème quasi quotidien (résolu au calendrier pour les fêtes fixes, à résoudre "soi-même" pour les mobiles), les offices qui changent après le capitule, etc. Comme un livre sérieux, le BR propose deux tableaux où est résumée la façon de faire... Tout comme PTP, LdH, LH avec les tables de préséance... A part, que depuis la réforme de '62, on n'a plus que 4(-5) degrés: férie & mémoire facultative, mémoire, fête, solennité, alors que du temps de St Pie X, il y en avaitau moins 7: férie, simplex, semiduplex, duplex, duplex maius, duplex II classis, duplex I calssis + les octaves, vigiles et autres joyeusetés. Tout cela permet une meilleure mise en valeur des fêtes, par exemple, la fête de demain: présentation au Temple de N-D, grande fête de la Mère de Dieu en Orient, était Duplex maius en 1935, 3e classe en 62 et mémoire obligatoire aujourd'hui... D'un point de vue oecuménique, on a vachement perdu...
Honnêtement, PTP, et donc LH, c'est "à l'aise"...