par Trinité » sam. 09 sept. 2017, 0:27
Voici les propos qu'il livra à un journaliste du Time:
« C’est une belle et précieuse occasion pour les Etats-Unis, ce grand pays que j’aime beaucoup et que je considère comme mon second « chez moi », de pouvoir recevoir et embrasser ce géant, cet homme de Dieu, ce donneur d’espérance pour le monde entier.
Je me souviens avec émotion du moment où le pape François, au début de son pontificat, a salué la foule dévote avec une simplicité désarmante. L’émotion que nous avons alors expérimenté, est le résultat du pouvoir de la gentillesse, de la simplicité, de l’honnêteté intellectuelle et de l’intégrité. Cette émotion est la joie que contient le mystère de la vérité.
Je me souviens très bien que j’ai été ému aux larmes dès que le pape a prononcé ses premières paroles.
C’était probablement dû au fait que j’ai immédiatement reconnu dans cet homme une âme qui est dévouée au Bien.
Et le Bien, comme nous le savons, nous émeut toujours: il y a des choses qui ne peuvent pas être expliquées par des mots, parce que les mots ne peuvent pas expliquer l’amour.
Le Bien n’a pas besoin de mots – de fait le Bien est l’ennemi des mots.
Le pape François est en fait un homme de peu de mots, mais de mots essentiels; il est plutôt un homme d’actions, et il le prouve une fois de plus par sa visite pastorale et sa participation à cette rencontre à Philadelphie. »
J’embrasse fermement et j’approuve totalement ce grand désir de mettre l’emphase sur l’importance de la famille comme institution et sur les valeurs qu’elle représente.
La famille est le berceau de l’amour, un endroit privilégié où nous trouvons l’harmonie, qui est synonyme de beauté. C’est aussi un endroit où se vit le respect mutuel.
La valeur et le sens de la famille sont des choses dont chacun de nous a fait l’expérience, si nous avons eu la chance d’en avoir une.
Ceux qui pensent qu’ils peuvent s’en passer, ou qui la détruisent consciemment, ont de toute évidence mis leur ego avant Dieu et ont oublié le grand cadeau qu’ils ont reçu quand ils étaient enfants: un trésor d’amour inconditionnel et généreux.
Nous devons donc défendre la valeur de la famille avec la pureté de cœur d’un enfant.
C’est ce que j’essaie de faire au meilleur de mes possibilités, tant personnellement que dans les projets de la Fondation Andrea Bocelli.
Avoir la chance de chanter une fois de plus devant le Saint-Père, pour lequel j’ai une profonde et sincère dévotion, et offrant ainsi mon humble contribution en tant que fervent catholique, est un grand honneur pour moi.
Saint Augustin fait remarquer que chanter est une forme extraordinaire de prier.
Voilà mon but, ma raison d’être et ma joie: priez avec mes frères et sœurs. » (4) (Cette traduction est la mienne; je l'ai faite au meilleur de ma connaissance)
Voici les propos qu'il livra à un journaliste du Time:
« C’est une belle et précieuse occasion pour les Etats-Unis, ce grand pays que j’aime beaucoup et que je considère comme mon second « chez moi », de pouvoir recevoir et embrasser ce géant, cet homme de Dieu, ce donneur d’espérance pour le monde entier.
Je me souviens avec émotion du moment où le pape François, au début de son pontificat, a salué la foule dévote avec une simplicité désarmante. L’émotion que nous avons alors expérimenté, est le résultat du pouvoir de la gentillesse, de la simplicité, de l’honnêteté intellectuelle et de l’intégrité. Cette émotion est la joie que contient le mystère de la vérité.
Je me souviens très bien que j’ai été ému aux larmes dès que le pape a prononcé ses premières paroles.
C’était probablement dû au fait que j’ai immédiatement reconnu dans cet homme une âme qui est dévouée au Bien.
Et le Bien, comme nous le savons, nous émeut toujours: il y a des choses qui ne peuvent pas être expliquées par des mots, parce que les mots ne peuvent pas expliquer l’amour.
Le Bien n’a pas besoin de mots – de fait le Bien est l’ennemi des mots.
Le pape François est en fait un homme de peu de mots, mais de mots essentiels; il est plutôt un homme d’actions, et il le prouve une fois de plus par sa visite pastorale et sa participation à cette rencontre à Philadelphie. »
J’embrasse fermement et j’approuve totalement ce grand désir de mettre l’emphase sur l’importance de la famille comme institution et sur les valeurs qu’elle représente.
La famille est le berceau de l’amour, un endroit privilégié où nous trouvons l’harmonie, qui est synonyme de beauté. C’est aussi un endroit où se vit le respect mutuel.
La valeur et le sens de la famille sont des choses dont chacun de nous a fait l’expérience, si nous avons eu la chance d’en avoir une.
Ceux qui pensent qu’ils peuvent s’en passer, ou qui la détruisent consciemment, ont de toute évidence mis leur ego avant Dieu et ont oublié le grand cadeau qu’ils ont reçu quand ils étaient enfants: un trésor d’amour inconditionnel et généreux.
Nous devons donc défendre la valeur de la famille avec la pureté de cœur d’un enfant.
C’est ce que j’essaie de faire au meilleur de mes possibilités, tant personnellement que dans les projets de la Fondation Andrea Bocelli.
Avoir la chance de chanter une fois de plus devant le Saint-Père, pour lequel j’ai une profonde et sincère dévotion, et offrant ainsi mon humble contribution en tant que fervent catholique, est un grand honneur pour moi.
Saint Augustin fait remarquer que chanter est une forme extraordinaire de prier.
Voilà mon but, ma raison d’être et ma joie: priez avec mes frères et sœurs. » (4) (Cette traduction est la mienne; je l'ai faite au meilleur de ma connaissance)