par Ombiace » ven. 08 déc. 2017, 17:24
Merci Estelliane pour cette info. Je suis particulièrement intéréssé par la genèse de ce dogme, et ai trouvé les quelques lignes de nominis réconfortantes, car l'on sent qu'une trame a existée, dans laquelle les esprits catholiques ont sans doute pu converger. J'en suis arrivé aussi à croire à ce dogme, et c'est bien pourquoi je posais cette question, à laquelle le seul argument de la solennité comme réponse me laisse sur ma faim.
Car enfin tout ceci m'amène à me demander à qui, de Marie ou Jésus, je dois imputer l'origine de mon salut de croyant, puisqu'elle fut la première à croire, Jésus ayant probablement des prérequis pour faciliter sa croyance personnelle, puisque dans Jean, il est dit que nul n'a vu le Père si ce n'est celui qui vient de Dieu.Lui, il a vu le Père. Or, tout ce qui est vu ne peut plus être cru. Pour croire quelquechose, il faut ne l'avoir jamais senti avec l'un de ses sens; on parle alors de savoir, non de croyance. Donc, à priori, j'attribuerais la maternité de ma croyance à Marie, la paternité de la rémission des péchés à Jésus, et je fatigue à réfléchir. Quelqu'un peut-il m' aider?
Merci Estelliane pour cette info. Je suis particulièrement intéréssé par la genèse de ce dogme, et ai trouvé les quelques lignes de nominis réconfortantes, car l'on sent qu'une trame a existée, dans laquelle les esprits catholiques ont sans doute pu converger. J'en suis arrivé aussi à croire à ce dogme, et c'est bien pourquoi je posais cette question, à laquelle le seul argument de la solennité comme réponse me laisse sur ma faim.
Car enfin tout ceci m'amène à me demander à qui, de Marie ou Jésus, je dois imputer l'origine de mon salut de croyant, puisqu'elle fut la première à croire, Jésus ayant probablement des prérequis pour faciliter sa croyance personnelle, puisque dans Jean, il est dit que nul n'a vu le Père si ce n'est celui qui vient de Dieu.Lui, il a vu le Père. Or, tout ce qui est vu ne peut plus être cru. Pour croire quelquechose, il faut ne l'avoir jamais senti avec l'un de ses sens; on parle alors de savoir, non de croyance. Donc, à priori, j'attribuerais la maternité de ma croyance à Marie, la paternité de la rémission des péchés à Jésus, et je fatigue à réfléchir. Quelqu'un peut-il m' aider?