par Cinci » dim. 01 juil. 2018, 6:41
Les fidèles catholiques ne sont pas tenus de se soumettre aux idées politiques du pape et ni le pape aux idées politiques de l'un ou l'autre d'ailleurs. Personne non plus n'est forcé de croire que les choix politiques qui recueilleraient le suffrage d'à peu près tous les évêques seraient forcément ce qu'il y a de mieux pour l'Église, le pays, la démocratie et tout.
En réalité, il n'y a que l'avenir qui puisse trancher - et donc le faire a posteriori - sur le fait qu'une politique aura pu avoir des conséquences heureuses ou malheureuses. Personne ne dispose d'une révélation particulière dans ces matières.
Mais ce que je sais c'est que l'Église catholique a pour coutume politique ou diplomatique de s'enligner toujours sur l'option politique du présent qui est dominante, le choix de société qui recueille l'aval des autorités en place. Elle s'aligne, l'Église catholique romaine, sur ceux en mesure d'exercer le pouvoir soit les aristocrates, les grands bourgeois, les riches. C'est le réalisme politique de l'Église ! Cette dernière ne fera jamais trembler sur ses bases le système des banques, le système des gros, des capitalistes. Jamais, jamais, jamais !
Si les gros, les riches et les puissants veulent l'Europe unie alors l'évêque de Rome le voudra aussi. Si les gros, les banques, le Capital et les hauts fonctionnaires souhaitent l'immigrationisme ultra, le multi ou la diversité, c'est aussi en ce sens (Oh surprise !) que les conférences d'évêques vont abonder.
C'est pour dire ...
Le pape François agit de manière parfaitement conforme à une certaine tradition ( qui est évolutive par nature) de l'Église catholique, en matière politico-diplomatique, agissant comme il agit, même si paradoxalement la "chose" peut finir par mettre mal-à-l'aise un grand nombre de conservateurs.
Le pape peut juste tenir un discours relativement prudent sur la question, même si incliné préférentiellement vers un soi-disant élargissement de l'accès des pauvres aux richesses.
Les fidèles catholiques ne sont pas tenus de se soumettre aux idées politiques du pape et ni le pape aux idées politiques de l'un ou l'autre d'ailleurs. Personne non plus n'est forcé de croire que les choix politiques qui recueilleraient le suffrage d'à peu près tous les évêques seraient forcément ce qu'il y a de mieux pour l'Église, le pays, la démocratie et tout.
En réalité, il n'y a que l'avenir qui puisse trancher - et donc le faire [i]a posteriori[/i] - sur le fait qu'une politique aura pu avoir des conséquences heureuses ou malheureuses. Personne ne dispose d'une révélation particulière dans ces matières.
Mais ce que je sais c'est que l'Église catholique a pour coutume politique ou diplomatique de s'enligner toujours sur l'option politique du présent qui est dominante, le choix de société qui recueille l'aval des autorités en place. Elle s'aligne, l'Église catholique romaine, sur ceux en mesure d'exercer le pouvoir soit les aristocrates, les grands bourgeois, les riches. C'est le réalisme politique de l'Église ! Cette dernière ne fera jamais trembler sur ses bases le système des banques, le système des gros, des capitalistes. Jamais, jamais, jamais !
Si les gros, les riches et les puissants veulent l'Europe unie alors l'évêque de Rome le voudra aussi. Si les gros, les banques, le Capital et les hauts fonctionnaires souhaitent l'immigrationisme ultra, le multi ou la diversité, c'est aussi en ce sens (Oh surprise !) que les conférences d'évêques vont abonder.
[b]C'est pour dire ...
[/b]
Le pape François agit de manière parfaitement conforme à une certaine tradition ( qui est évolutive par nature) de l'Église catholique, en matière politico-diplomatique, agissant comme il agit, même si paradoxalement la "chose" peut finir par mettre mal-à-l'aise un grand nombre de conservateurs.
Le pape peut juste tenir un discours relativement prudent sur la question, même si incliné préférentiellement vers un soi-disant élargissement de l'accès des pauvres aux richesses.