par Cepora » mar. 13 févr. 2018, 20:09
Je cite l'article :
Face au spectacle douloureux de l’échec de l’Europe, les Européens ont la « nausée ».
Mais, au point de vue anthropologique, social et religieux, c’est salutaire, se réjouit-on à l’Observatoire. Cela permet de s’interroger sur le futur : c’est une réaction positive car elle permet de s’atteler à la tâche de la recherche d’une réponse.
En ligne de mire, c’est la recherche de la vérité qui se trame. Comme nos ancêtres grecs. Comme Socrate, comme Platon, comme Aristote. Mais aussi comme Schuman, comme Adenauer, Monnet. Et aujourd’hui le peuple européen, dont les idées sont balayées par les élites et qualifiées de « populistes » ou de « nationalistes », s’interroge et recherche. « De l’Est à l’Ouest », les valeurs profondes et vraies sont considérées avec attention par les peuples : la famille, la vie, le mariage, le sacrifice, le sens du devoir.
https://fr.aleteia.org/2018/02/13/le-ra ... -europeen/
Quel aveu. Voilà donc la veille Europe revenue au temps du paganisme… Oui, toutefois, il s’agit aujourd’hui d’un paganisme sans précédent, qui n’a rien à voir avec celui de nos ancêtres grecs. Car l’antique paganisme, dans ses différentes expressions, était le reflet d’une civilisation : il exprimait un lien social, une religion. En revanche, notre paganisme moderne ne reflète qu’un commerce, c’est la religion de Mammon. Il faudrait commencer par parler de Dieu dans la constitution de l’Europe, dit le rapport à la suite de Jean Paul II. Ce serait en effet un bon début. Mais qui ? qui donc veut entendre parler de Dieu, parmi les adorateurs de Mammon ? L’Evangile nous a avertis de cette antinomie.
Je cite l'article :
[quote]Face au spectacle douloureux de l’échec de l’Europe, les Européens ont la « nausée ».
[b]Mais, au point de vue anthropologique, social et religieux, c’est salutaire[/b], se réjouit-on à l’Observatoire. Cela permet de s’interroger sur le futur : c’est une réaction positive car elle permet de s’atteler à la tâche de la recherche d’une réponse. [b]En ligne de mire, c’est la recherche de la vérité qui se trame. Comme nos ancêtres grecs.[/b] Comme Socrate, comme Platon, comme Aristote. Mais aussi comme Schuman, comme Adenauer, Monnet. Et aujourd’hui le peuple européen, dont les idées sont balayées par les élites et qualifiées de « populistes » ou de « nationalistes », s’interroge et recherche. « De l’Est à l’Ouest », les valeurs profondes et vraies sont considérées avec attention par les peuples : la famille, la vie, le mariage, le sacrifice, le sens du devoir.
https://fr.aleteia.org/2018/02/13/le-rapport-sans-concession-sur-letat-actuel-du-projet-europeen/
[/quote]
Quel aveu. Voilà donc la veille Europe revenue au temps du paganisme… Oui, toutefois, il s’agit aujourd’hui d’un paganisme sans précédent, qui n’a rien à voir avec celui de nos ancêtres grecs. Car l’antique paganisme, dans ses différentes expressions, était le reflet d’une civilisation : il exprimait un lien social, une religion. En revanche, notre paganisme moderne ne reflète qu’un commerce, c’est la religion de Mammon. Il faudrait commencer par parler de Dieu dans la constitution de l’Europe, dit le rapport à la suite de Jean Paul II. Ce serait en effet un bon début. Mais qui ? qui donc veut entendre parler de Dieu, parmi les adorateurs de Mammon ? L’Evangile nous a avertis de cette antinomie.