par Incertain » dim. 06 août 2017, 15:49
Ce qui paraît assez étrange, c'est que l'on nous répète que la France n'a pas accueilli beaucoup de migrants. Par exemple notre ouverture n'est rien comparée à celle de l'Allemagne, la France n'est pas généreuse.
Mais pourquoi est-on déjà "débordé" et y a-t-il dans les rues de Paris et dans Calais des centaines de personnes qui doivent dormir dans les rues ?
Quels sont les chiffres de migrants accueillis en France ? Soit il y a peu de réfugiés, et on est vraiment en dessous de tout, rien n'est fait pour répondre à cette urgence humanitaire ; soit les chiffres sont faux ou sous-estimés, et il y a beaucoup plus de réfugiés que "quelques milliers" ?
Dans tous les cas, cette gestion d'un problème aussi important est problématique. Ne faudrait-il pas des états généraux de la migration, pour tenter de dégager une politique à hauteur des enjeux, en voyant les possibilités de logements, de travail, d'intégration à long terme etc. Là on est dans la réponse à court-terme quand ce n'est pas la non réponse de l'Etat, qui laisse le problème aux bénévoles.
Ce qui paraît assez étrange, c'est que l'on nous répète que la France n'a pas accueilli beaucoup de migrants. Par exemple notre ouverture n'est rien comparée à celle de l'Allemagne, la France n'est pas généreuse.
Mais pourquoi est-on déjà "débordé" et y a-t-il dans les rues de Paris et dans Calais des centaines de personnes qui doivent dormir dans les rues ?
Quels sont les chiffres de migrants accueillis en France ? Soit il y a peu de réfugiés, et on est vraiment en dessous de tout, rien n'est fait pour répondre à cette urgence humanitaire ; soit les chiffres sont faux ou sous-estimés, et il y a beaucoup plus de réfugiés que "quelques milliers" ?
Dans tous les cas, cette gestion d'un problème aussi important est problématique. Ne faudrait-il pas des états généraux de la migration, pour tenter de dégager une politique à hauteur des enjeux, en voyant les possibilités de logements, de travail, d'intégration à long terme etc. Là on est dans la réponse à court-terme quand ce n'est pas la non réponse de l'Etat, qui laisse le problème aux bénévoles.