par Cinci » mer. 15 mars 2017, 20:54
Bonjour,
Ça fait longtemps que les marchands ne se soucie plus du calendrier liturgique. Les chocolats et autres petites douceurs de Pâques sont disponible bien avant le début de la quarantaine. "Les affaires sont les affaires. Il n'y a pas de temps à perdre!" On ne peut pas s'attendre à rien d'autre de la part de personnes pour qui les célébrations religieuses catholiques ne veulent strictement rien dire.
Les médias "mainstream" accordent une attention normale aux principales célébrations religieuses des catholiques. C'est à dire qu'ils ne sentiront pas le besoin d'expliquer aux clients que la période de Noël est arrivée, Noël ou Pâques. Je présume qu'on juge que tout le monde le sait. La nouvelle ne serait donc pas un phénomène d'intérêt public.
Un article normal, écrit tantôt par un pigiste dans le cahier B ou un entrefilet, suffira largement s'il faut parler de telle déclaration publique de l'archevêque, ou si le chroniqueur de la section littéraire doit évoquer le roman religieux qui vient de sortir en librairie, etc.
La période propice ...
Ce que moi j'ai remarqué, avec le temps, sans trop faire attention (sans vouloir faire mon inspecteur Maigret ) : c'est plutôt comment certains journaux d'obédience "libérale" profitent la plupart du temps de la veille de Noël ou de la veille de Pâques pour sortir quelques grands articles où l'on va donner la parole à des théologiens très respectables, des gens sérieux, nous expliquant doctement comment l'évangile est une légende (on ne peut pas se fier à saint Luc et tout) ou comment il serait "plus plausible" de croire qu'il ne s'est rien passé trois jours après la mort de Jésus, que personne n'a réellement vu Jésus ressuscité et taratata,
C'est ce que j'ai moi-même pu lire dans les journaux, en pleine période de semaine sainte, sous la plume de professeurs de théologie de l'université. Des grands articles occupant parfois une pleine page, durant la semaine sainte. Pour dire quoi? Que la foi chrétienne correspond à du gloubiboulga ou juste quelques bons sentiments. Comme manière d'administrer une paire de baffes aux derniers paroissiens, les derniers courageux qui oseraient se rendre à l'église pour participer sérieusement et avec foi aux célébrations de la Parole : on ne ferait pas mieux.
Maintenant, on dira que c'est la liberté d'expression.
Je pense que les journaux libéraux sont assez accordés au genre de société politique voltairienne dans laquelle nous évoluons tous, en 2017, en Occident, que nous le voulions ou non.
Bonjour,
Ça fait longtemps que les marchands ne se soucie plus du calendrier liturgique. Les chocolats et autres petites douceurs de Pâques sont disponible bien avant le début de la quarantaine. "Les affaires sont les affaires. Il n'y a pas de temps à perdre!" On ne peut pas s'attendre à rien d'autre de la part de personnes pour qui les célébrations religieuses catholiques ne veulent strictement rien dire.
Les médias "mainstream" accordent une attention normale aux principales célébrations religieuses des catholiques. C'est à dire qu'ils ne sentiront pas le besoin d'expliquer aux clients que la période de Noël est arrivée, Noël ou Pâques. Je présume qu'on juge que tout le monde le sait. La nouvelle ne serait donc pas un phénomène d'intérêt public.
Un article normal, écrit tantôt par un pigiste dans le cahier B ou un entrefilet, suffira largement s'il faut parler de telle déclaration publique de l'archevêque, ou si le chroniqueur de la section littéraire doit évoquer le roman religieux qui vient de sortir en librairie, etc.
[b]La période propice ...
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Ce que moi j'ai remarqué, avec le temps, sans trop faire attention (sans vouloir faire mon inspecteur Maigret ) : c'est plutôt comment certains journaux d'obédience "libérale" profitent la plupart du temps de la veille de Noël ou de la veille de Pâques pour sortir quelques grands articles où l'on va donner la parole à des théologiens très respectables, des gens sérieux, nous expliquant doctement comment l'évangile est une légende (on ne peut pas se fier à saint Luc et tout) ou comment il serait "plus plausible" de croire qu'il ne s'est rien passé trois jours après la mort de Jésus, que personne n'a réellement vu Jésus ressuscité et taratata,
C'est ce que j'ai moi-même pu lire dans les journaux, en pleine période de semaine sainte, sous la plume de professeurs de théologie de l'université. Des grands articles occupant parfois une pleine page, durant la semaine sainte. Pour dire quoi? Que la foi chrétienne correspond à du gloubiboulga ou juste quelques bons sentiments. Comme manière d'administrer une paire de baffes aux derniers paroissiens, les derniers courageux qui oseraient se rendre à l'église pour participer sérieusement et avec foi aux célébrations de la Parole : on ne ferait pas mieux.
Maintenant, on dira que c'est la liberté d'expression.
Je pense que les journaux libéraux sont assez accordés au genre de société politique voltairienne dans laquelle nous évoluons tous, en 2017, en Occident, que nous le voulions ou non.