par Cinci » mar. 29 nov. 2016, 21:05
Et ça continue dans la presse. C'est un festival de journalistes qui gnognotent contre l'ancien leader de la révolution cubaine. Et même notre jeune universitaire Mathieu Bock-Côté qui s'y met pour répudier Fidel à son tour.
Martineau continue de s'enfoncer dans la connerie et la charlatanerie avec ses associations d'idées menteuses, assimilant "naturellement" Castro à Staline, Mao, Pol Pot.
Il termine pourtant son billet du jour en citant les 90 000 victimes que le régime de Castro aurait fait en cinquante ans! Il est incapable de réaliser qu'une seule offensive de l'armée américaine en Irak fait dix fois plus de victimes en cinq ans. La victime d'une bombe américaine intelligente et libératrice c'est une nourrisson ou une fillette de trois ans, si la victime ciblée du régime de Castro peut-être un agent corrompu de la pègre ou de la United Fruit Company ( des vampires qui tiennent à appauvrir les masses).
Comme disait quelque fois Yves Michaud dit "Le robin des banques" : le frère Lacordaire avait coutume de dire qu'entre le fort et le faible, souvent la liberté opprime alors que la loi libère. On pense ici à la liberté du renard dans le poulailler.
Plus intelligent que Martineau,
François Ricard fait remarquer :
- Voici un pays du tiers-monde où l'espérance de vie s'élève à 75 ans, où tous les enfants sont scolarisés et soignés gratuitement. Un petit pays par la taille capable de produire des universitaires de talent, des médecins et des chercheurs parmi les meilleurs au monde, des sportifs qui raflent des médailles d'or, des artistes, des créateurs . Où, dans cette région du monde, peut-on présenter un tel bilan? A Haïti? Au Nicaragua? Au Panama? Où?
Et tout cela a été accompli malgré un embargo qui dure toujours.
Bravo Fidel!
Comme racontait hier une ancienne journaliste du journal
Le Devoir et maintenant retraitée, en tribune libre :
J'ai eu le grand privilège d'être à Cuba, en août et septembre 1959, au moment de la libération des plages. Un moment unique, magique. [...] Les Américains, propriétaires de luxueuses villas au bord de la mer, avaient élevé de hautes clôtures pour protéger leurs propriétés et les plages, interdisant ainsi aux Cubains l'accès à la mer. Or, six mois après la Révolution, le nouveau gouvernement ordonne la suppression des clôtures. A partir de onze heures du matin par un beau dimanche ensoleillé de septembre, toutes les plages sont ouvertes aux Cubains. C'est par milliers qu'hommes, femmes et enfants, la plupart vêtus de jeans et de t-shirt, courent sur la plage et se jettent à la mer. Un désir brimé depuis tant d'années! Avoir enfin accès à la mer! ... Je garderai toujours gravés, dans ma mémoire, la joie, le bonheur et l'ivresse de ce peuple libéré.
- Solange Chalvin, "Souvenirs de Cuba en 1959", Le Devoir, 26 novembre 2016
Pathétique : le comportement des Trudeau, Obama, Hollande et Tutti. Ils sont tous incapables de se présenter à Cuba pour les obsèques de Fidel Castro (un libérateur de peuple). Non, mais ils sont les plus empressés à courir en Arabie saoudite aux funérailles des princes wahhabites, des esclavagistes en sus d'être des obscurantistes religieux.
On veut savoir pourquoi j'aurais voté Donald Trump contre les rois du "multikulti", de la diversité, de l'immigrationisme et qui font dans l'anti-souverainisme? On aurait la réponse ici. Trudeau junior doit ménager l'avis des opérateurs du marché, ainsi que celui des gros détenteurs du Capital ... c'est à dire ceux qui auraient été dans la mire des barbudos.
Je n'aurais pas voté Trump en me figurant avoir affaire à un gentil, un promoteur de politiques pouvant me plaire en général. S'agissant de Trump, surtout pas! Non. Mais j'aurais voté d'abord contre les anti-patriotes au sens noble du terme et les liquidateurs les plus assurés de la souveraineté des peuples.
Et ça continue dans la presse. C'est un festival de journalistes qui gnognotent contre l'ancien leader de la révolution cubaine. Et même notre jeune universitaire Mathieu Bock-Côté qui s'y met pour répudier Fidel à son tour.
Martineau continue de s'enfoncer dans la connerie et la charlatanerie avec ses associations d'idées menteuses, assimilant "naturellement" Castro à Staline, Mao, Pol Pot.
Il termine pourtant son billet du jour en citant les 90 000 victimes que le régime de Castro aurait fait en cinquante ans! Il est incapable de réaliser qu'une seule offensive de l'armée américaine en Irak fait dix fois plus de victimes en cinq ans. La victime d'une bombe américaine intelligente et libératrice c'est une nourrisson ou une fillette de trois ans, si la victime ciblée du régime de Castro peut-être un agent corrompu de la pègre ou de la United Fruit Company ( des vampires qui tiennent à appauvrir les masses).
Comme disait quelque fois Yves Michaud dit "Le robin des banques" : le frère Lacordaire avait coutume de dire qu'entre le fort et le faible, souvent la liberté opprime alors que la loi libère. On pense ici à la liberté du renard dans le poulailler.
Plus intelligent que Martineau, [color=#0040FF]François Ricard[/color] fait remarquer :
[color=#0040FF][list]Voici un pays du tiers-monde où l'espérance de vie s'élève à 75 ans, où tous les enfants sont scolarisés et soignés gratuitement. Un petit pays par la taille capable de produire des universitaires de talent, des médecins et des chercheurs parmi les meilleurs au monde, des sportifs qui raflent des médailles d'or, des artistes, des créateurs . Où, dans cette région du monde, peut-on présenter un tel bilan? A Haïti? Au Nicaragua? Au Panama? Où?
Et tout cela a été accompli malgré un embargo qui dure toujours.
Bravo Fidel! [/list] [/color]
Comme racontait hier une ancienne journaliste du journal [i]Le Devoir[/i] et maintenant retraitée, en tribune libre :
[quote]J'ai eu le grand privilège d'être à Cuba, en août et septembre 1959, au moment de la libération des plages. Un moment unique, magique. [...] Les Américains, propriétaires de luxueuses villas au bord de la mer, avaient élevé de hautes clôtures pour protéger leurs propriétés et les plages, interdisant ainsi aux Cubains l'accès à la mer. Or, six mois après la Révolution, le nouveau gouvernement ordonne la suppression des clôtures. A partir de onze heures du matin par un beau dimanche ensoleillé de septembre, toutes les plages sont ouvertes aux Cubains. C'est par milliers qu'hommes, femmes et enfants, la plupart vêtus de jeans et de t-shirt, courent sur la plage et se jettent à la mer. Un désir brimé depuis tant d'années! Avoir enfin accès à la mer! ... Je garderai toujours gravés, dans ma mémoire, la joie, le bonheur et l'ivresse de ce peuple libéré.
- Solange Chalvin, "Souvenirs de Cuba en 1959", [i]Le Devoir[/i], 26 novembre 2016 [/quote]
Pathétique : le comportement des Trudeau, Obama, Hollande et Tutti. Ils sont tous incapables de se présenter à Cuba pour les obsèques de Fidel Castro (un libérateur de peuple). Non, mais ils sont les plus empressés à courir en Arabie saoudite aux funérailles des princes wahhabites, des esclavagistes en sus d'être des obscurantistes religieux.
On veut savoir pourquoi j'aurais voté Donald Trump contre les rois du "multikulti", de la diversité, de l'immigrationisme et qui font dans l'anti-souverainisme? On aurait la réponse ici. Trudeau junior doit ménager l'avis des opérateurs du marché, ainsi que celui des gros détenteurs du Capital ... c'est à dire ceux qui auraient été dans la mire des barbudos.
Je n'aurais pas voté Trump en me figurant avoir affaire à un gentil, un promoteur de politiques pouvant me plaire en général. S'agissant de Trump, surtout pas! Non. Mais j'aurais voté d'abord contre les anti-patriotes au sens noble du terme et les liquidateurs les plus assurés de la souveraineté des peuples.