par Hantouane » ven. 08 mars 2019, 13:51
[Sujets fusionnés]
Nous avons vu dernièrement les histoires de pédophilie et de non dénonciation de crime. Or, lors de la confession, il se peut que le prêtre entende des actes de pédophilie non connus de la justice ou de crimes de manière plus générales. Dans ce cas, la non dénonciation de crime est-elle juridiquement admissible ? Qu'en est-il du secret de la confession ? Le prêtre peut-il se servir de la confession pour "lancer" une procédure judiciaire et pour dénoncer la personne ? Je pense connaitre la réponse, mais je la pose quand même, car si les laïcs doutaient du secret de la confession, ils réfléchiraient à deux fois avant de se confesser, ou n'iraient plus se confesser du tout. Mais Jésus n'est pas un accusateur, un dénonciateur, donc le prêtre devrait faire de même, du moins dans le cadre de la confession.
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Nous avons vu dernièrement les histoires de pédophilie et de non dénonciation de crime. Or, lors de la confession, il se peut que le prêtre entende des actes de pédophilie non connus de la justice ou de crimes de manière plus générales. Dans ce cas, la non dénonciation de crime est-elle juridiquement admissible ? Qu'en est-il du secret de la confession ? Le prêtre peut-il se servir de la confession pour "lancer" une procédure judiciaire et pour dénoncer la personne ? Je pense connaitre la réponse, mais je la pose quand même, car si les laïcs doutaient du secret de la confession, ils réfléchiraient à deux fois avant de se confesser, ou n'iraient plus se confesser du tout. Mais Jésus n'est pas un accusateur, un dénonciateur, donc le prêtre devrait faire de même, du moins dans le cadre de la confession.