par ti'hamo » mer. 25 févr. 2009, 15:24
Je dois avouer que je partage assez l'approche de Gemma (et d'autres, oui, mais j'aime sa façon de le dire) : mais de toute façon pourquoi essayer de donner un nom ?
Nous savons que c'est un mot, sinon forgé, du moins détourné et utilisé pour blesser, attaquer, et pour enfermer l'esprit critique et l'analyse dans des bornes étroites et simplistes.
De toute façon, il s'agit d'un terme largement utilisé dans les médias, et par des journalistes, en plus : de bonnes raisons de se méfier et de ne pas le reprendre soi-même, non ?
(comme "extrême-droite", "homophobe", ou "réchauffement climatique")
Nous-mêmes, devant des propos ou des actes, notre première question, intérieurement, n'est pas censé être "est-ce intégriste ? est-ce moderniste ?",
mais tout bêtement "est-ce vrai ? est-ce juste ? est-ce bien ?", non ?
Et, si de par hasard on l'entend employer par un collègue, un ami ou un proche, le mieux est encore de lui demander innocemment et d'un air parfaitement et honnêtement perplexe, ce qu'il entend précisément par là.
(une fois qu'il se sera embrouillé dans des explications vaseuses et peu convaincantes, cela dit, soyez aimables, changez de sujet et payez lui un verre : c'est toujours dommage, un ami vexé ...
)
Je dois avouer que je partage assez l'approche de Gemma (et d'autres, oui, mais j'aime sa façon de le dire) : mais de toute façon pourquoi essayer de donner un nom ?
Nous savons que c'est un mot, sinon forgé, du moins détourné et utilisé pour blesser, attaquer, et pour enfermer l'esprit critique et l'analyse dans des bornes étroites et simplistes.
De toute façon, il s'agit d'un terme largement utilisé dans les médias, et par des journalistes, en plus : de bonnes raisons de se méfier et de ne pas le reprendre soi-même, non ? :-D
(comme "extrême-droite", "homophobe", ou "réchauffement climatique")
Nous-mêmes, devant des propos ou des actes, notre première question, intérieurement, n'est pas censé être "est-ce intégriste ? est-ce moderniste ?",
mais tout bêtement "est-ce vrai ? est-ce juste ? est-ce bien ?", non ?
Et, si de par hasard on l'entend employer par un collègue, un ami ou un proche, le mieux est encore de lui demander innocemment et d'un air parfaitement et honnêtement perplexe, ce qu'il entend précisément par là. :roule:
(une fois qu'il se sera embrouillé dans des explications vaseuses et peu convaincantes, cela dit, soyez aimables, changez de sujet et payez lui un verre : c'est toujours dommage, un ami vexé ... :) )