Message par ChristianK » mar. 13 févr. 2018, 20:34
dans les années 70 (...) où toutes les traditions les plus sacrés de l’Eglise étaient jetées à terre, ou l’Evangile était présenté par certains prêtres comme une variante du communisme,
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C'est exactement cela qu'a fait le prêtre qui nous faisait le catéchisme. A cela, il faut ajouter qu'il traitait régulièrement le Pape de "con" et Jésus était un "pote", rien de plus.
A la messe, en dehors du "Notre Père", tout était réinventé chaque semaine. C'était à chaque fois un nouveau spectacle avec de nouvelles paroles.
Malheur aux parents qui auraient dit quelque chose, ils auraient eu droit à son courroux.
Aucun des compagnons de cathé que j'ai pu revoir à l'âge adulte n'était pratiquant.
Très intéressant. Ce que j'appelle la maladie mentale postconciliaire locale de la génération défroquée, aujourd hui en voie d'exécution par la providence (cf Francis Charles, l
a génération défroquée - lui même mariste défroqué né en 35)
Cependant vous êtes né en 75, donc ce que vous dites est plus tardif. Pour cerner davantage la pathologie mentale, avez vous vérifié si ce défroqué de l'intérieur était encore prêtre, ou si la providence l'avait éliminé ? Je fais toujours ca avec les bottins du clergé du canada. C'est intéressant, les 2 provinciaux jésuites et dominicains ont défroqués, nés en 42, 44....
Il faut ajouter que la caté inconsciemment criminelle était produite par des bureaux nationaux avec signature de certains évêques (au Canada mgr coderre, de... st jean longueil...), avec élaboration de, entre autres, l'abbé André Beauchamp, né en 37, à peine ordonné en 65 au moment de l'élaboration...
Ps. C'est peut être exagéré comme perception mais il n'est pas impossible que les poursuites judiciaires civiles par des fidèles contre le clergé coupable de crimes civils en matière de moeurs fassent compensation pour les crimes spirituels impunis par lescours canoniques de membres de faculté de théologie et séminaires. Si les tribunaux canoniques ne punissent pas l'hérésie (entre autres), les comptes seront réglés d'une autre facon, car il parait probable que la qualité du clergé dépende de ses lieux de formation
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dans les années 70 (...) où toutes les traditions les plus sacrés de l’Eglise étaient jetées à terre, ou l’Evangile était présenté par certains prêtres comme une variante du communisme,
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C'est exactement cela qu'a fait le prêtre qui nous faisait le catéchisme. A cela, il faut ajouter qu'il traitait régulièrement le Pape de "con" et Jésus était un "pote", rien de plus.
A la messe, en dehors du "Notre Père", tout était réinventé chaque semaine. C'était à chaque fois un nouveau spectacle avec de nouvelles paroles.
Malheur aux parents qui auraient dit quelque chose, ils auraient eu droit à son courroux.
Aucun des compagnons de cathé que j'ai pu revoir à l'âge adulte n'était pratiquant.
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Très intéressant. Ce que j'appelle la maladie mentale postconciliaire locale de la génération défroquée, aujourd hui en voie d'exécution par la providence (cf Francis Charles, l[i]a génération défroquée[/i] - lui même mariste défroqué né en 35)
Cependant vous êtes né en 75, donc ce que vous dites est plus tardif. Pour cerner davantage la pathologie mentale, avez vous vérifié si ce défroqué de l'intérieur était encore prêtre, ou si la providence l'avait éliminé ? Je fais toujours ca avec les bottins du clergé du canada. C'est intéressant, les 2 provinciaux jésuites et dominicains ont défroqués, nés en 42, 44....
Il faut ajouter que la caté inconsciemment criminelle était produite par des bureaux nationaux avec signature de certains évêques (au Canada mgr coderre, de... st jean longueil...), avec élaboration de, entre autres, l'abbé André Beauchamp, né en 37, à peine ordonné en 65 au moment de l'élaboration...
Ps. C'est peut être exagéré comme perception mais il n'est pas impossible que les poursuites judiciaires civiles par des fidèles contre le clergé coupable de crimes civils en matière de moeurs fassent compensation pour les crimes spirituels impunis par lescours canoniques de membres de faculté de théologie et séminaires. Si les tribunaux canoniques ne punissent pas l'hérésie (entre autres), les comptes seront réglés d'une autre facon, car il parait probable que la qualité du clergé dépende de ses lieux de formation