Dans l'article du journal
Le Figaro :
Une centaine de catholiques LGBT+, employés de l'Église ou engagés dans leur paroisse, ont fait leur coming out lundi en Allemagne, dénonçant la «discrimination et l'exclusion» qu'ils subissent et demandant le «libre accès» aux professions pastorales.
1) L'article ne précise pas très clairement en quoi aurait dû consister ce
coming out exactement. Qu'elle en était la forme ? Les gens sont allés manifester devant l'archevêché en string ? par une lettre reprise dans un journal et signé par un collectif d'employés de l'Église ?
2) Le contenu de cette requête et véhiculée ici représenterait déjà, en lui-même, une
pure provocation. Tant qu'à moi ce serait plutôt un fort incitatif à descendre soi-même dans la rue, pour aller «mettre son poing sur la gueule» à quelques uns de ces insatisfaits. Un moment donné ...
Exiger un libre accès à des professions «pastorales» de l'Église catholique, tout en se faisant fort de célébrer soi-même la décadence, la déconstruction, la fréquentation des saunas «gays» de San Francisco : c'est à la fois se moquer du monde et exprimer une haine très précise envers la foi catholique. Et c'est pourquoi, à mon avis, la bonne réponse appropriée, en réalité, ne serait pas une péroraison scolastique mais bien une savate japonaise dans les côtes.
Sur le site «#OutInChurch», ils réclament «un changement dans le code du travail discriminatoire de l'Église» catholique et la suppression de «formulations dégradantes et excluantes» dans les règlements, ainsi que la fin d'un «système de dissimulation, de double morale et de malhonnêteté» qui entoure la question LGBT+ dans l'Église. Ni «l'orientation sexuelle ou l'identité de genre», ni «l'engagement dans une relation ou un mariage non hétérosexuel» ne doivent être «un obstacle à l'embauche ou un motif de licenciement», estiment les fidèles dans un manifeste.
Raison de plus pour «virer» les intimés, LGBT et assimilés; les rayer du personnel si l'objectif serait de devoir mettre fin à de la dissimulation, malhonnêteté et tout. Non pas les embaucher, les congédier !
«Je ne veux plus me cacher», témoigne Uwe Grau, prêtre homosexuel au diocèse de Rottenburg-Stuttgart (sud), qui compte parmi les dizaines de personnes lesbiennes, gays, bi, trans, intersexes, queer et non-binaires présentées dans une galerie de photos
C'est très bien de ne plus vouloir se cacher. Solution ? s'afficher, et puis en même temps remettre sa démission comme prêtre de l'Église catholique.
Comment peut-on être prêtre catholique et faire la promotion de la révolution arc-en-ciel avec la théorie du genre totalement absurde ? Ce n'est pas possible (en principe). Normalement, on s'attend
rait à ce que l'évêque du lieu convoque le militant et lui demande à lui de faire un choix. .«Êtes-vous oui ou non intéressé à défendre la foi catholique avec sa tradition, le catéchisme officiel et tout ?»
Quand on veut défendre activement, comme «prédicateur», le système de pensée de l'
Église protestante unie du Canada (à titre d'exemple) mais on postule là-bas comme agent de pastorale. C'est ce qu'autorise notre système politique libéral. La perversion c'est de croire que l'Église catholique serait
forcé d'admettre chez elle des gens qui la nient.
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L'Église protestante unie admet les «évêquesses» homosexuelles «mariées» (sic), la cérémonie à l'église pour officialiser l'appariement des paires, les opérations transgenres, etc.
No problema !