par cmoi » lun. 15 juil. 2019, 9:40
Vous avez raison Carhaix, c'était quelque peu anachronique et...c'était aussi gentiment provocateur.
Il est très difficile de se remettre en condition d'époque, je vous remercie de votre essai qui nourrira mes méditations.
Il n'en reste pas moins que je crois en la sincérité de ce rabbin avec lequel Benoît XVI dialogua par livre interposé, et qui voulut démontrer qu'aujourd'hui encore, avec toutes les pièces du dossier, il condamnerait Jésus à mort...
Beaucoup le quittèrent à différents moments qui le suivaient jusqu'alors (son corps en nourriture...) et je crois qu'il était vraiment impossible de le frayer comme un sage ou un philosophe, pour la discussion, ses miracles ou ses idées : il obligeait à des transformations personnelles et des choix éthiques profonds, ce qui n'a rien de facile.
Ainsi les promesses de ce percepteur qui voulait l'inviter chez lui, et qui prit les devants...(+ le jeune homme riche, évidemment, etc.)
Avec lui, le théologie devait être très concrète et appliquée sans retard... Si le cœur n'était pas prêt à répondre présent, il fallait être très obscur ou hypocrite pour "tenir" assez longtemps rien que son écoute
Carolus, je pensais davantage à un examen de conscience qu'à cette prière si étrange et à part, où on ne demande ni ne loue, mais récite ce que l'on croie... Et qu'en vieillissant j'apprécie de plus en plus !
Ce fut une surprise agréable.
Vous avez raison Carhaix, c'était quelque peu anachronique et...c'était aussi gentiment provocateur.
Il est très difficile de se remettre en condition d'époque, je vous remercie de votre essai qui nourrira mes méditations.
Il n'en reste pas moins que je crois en la sincérité de ce rabbin avec lequel Benoît XVI dialogua par livre interposé, et qui voulut démontrer qu'aujourd'hui encore, avec toutes les pièces du dossier, il condamnerait Jésus à mort...
Beaucoup le quittèrent à différents moments qui le suivaient jusqu'alors (son corps en nourriture...) et je crois qu'il était vraiment impossible de le frayer comme un sage ou un philosophe, pour la discussion, ses miracles ou ses idées : il obligeait à des transformations personnelles et des choix éthiques profonds, ce qui n'a rien de facile.
Ainsi les promesses de ce percepteur qui voulait l'inviter chez lui, et qui prit les devants...(+ le jeune homme riche, évidemment, etc.)
Avec lui, le théologie devait être très concrète et appliquée sans retard... Si le cœur n'était pas prêt à répondre présent, il fallait être très obscur ou hypocrite pour "tenir" assez longtemps rien que son écoute
Carolus, je pensais davantage à un examen de conscience qu'à cette prière si étrange et à part, où on ne demande ni ne loue, mais récite ce que l'on croie... Et qu'en vieillissant j'apprécie de plus en plus !
Ce fut une surprise agréable.