par Alexandre-Invité » mar. 22 janv. 2019, 0:29
Le pouvoir politique (Hérode, Pilate) ne voyait pas de danger en Jésus pour la stabilité d'Israël, les autorités religieuses si.
Jn 18,14 : "Caïphe était celui qui avait donné aux Juifs ce conseil : « Il vaut mieux qu’un seul homme meure pour le peuple. » = Faire mourir Jésus pas seulement pour défendre ses privilèges mais parce qu'il exerce un pouvoir sur les foules susceptible de compromettre la stabilité d'Israël. Les foules qui suivent Jésus voient en lui le messie libérateur qu'elles attendent.
Je vous rappelle que la libération d'Israël par le messie est massivement présente dans les livres des Prophètes et est reprise jusque dans le Nouveau Testament :
Lc 1,69-75 : "Il a fait surgir la force qui nous sauve dans la maison de David, son serviteur, comme il l’avait dit par la bouche des saints, par ses prophètes, depuis les temps anciens : salut qui nous arrache à l’ennemi, à la main de tous nos oppresseurs, amour qu’il montre envers nos pères, mémoire de son alliance sainte, serment juré à notre père Abraham de nous rendre sans crainte, afin que, délivrés de la main des ennemis, nous le servions dans la justice et la sainteté, en sa présence, tout au long de nos jours."
Zacharie, le père de Jean le Baptiste, comme les Juifs de son époque, attendait la libération physique d'Israël. Idem pour son fils qui voyant qu'elle tarde à venir lui envoie des messagers : " Es-tu celui qui doit venir, ou devons-nous en attendre un autre ?" (Lc 7,19)
"Mais Jésus savait qu’ils allaient venir l’enlever pour faire de lui leur roi ; alors de nouveau il se retira dans la montagne, lui seul." (Jn 6,15) : Ici, nous voyons encore la conception juive du messie libérateur.
Jn 12,13 : "Les gens prirent des branches de palmiers et sortirent à sa rencontre. Ils criaient : « Hosanna ! Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur ! Béni soit le roi d’Israël ! »" : les foules voient en lui le libérateur lorsqu'il entre à Jérusalem.
Le pouvoir politique (Hérode, Pilate) ne voyait pas de danger en Jésus pour la stabilité d'Israël, les autorités religieuses si.
Jn 18,14 : "Caïphe était celui qui avait donné aux Juifs ce conseil : « Il vaut mieux qu’un seul homme meure [u]pour le peuple[/u]. » = Faire mourir Jésus pas seulement pour défendre ses privilèges mais parce qu'il exerce un pouvoir sur les foules susceptible de compromettre la stabilité d'Israël. [u]Les foules qui suivent Jésus voient en lui le messie libérateur qu'elles attendent[/u].
Je vous rappelle que la libération d'Israël par le messie est massivement présente dans les livres des Prophètes et est reprise jusque dans le Nouveau Testament :
Lc 1,69-75 : "Il a fait surgir [u]la force qui nous sauve [/u]dans la maison de David, son serviteur, comme il l’avait dit par la bouche des saints, par ses prophètes, depuis les temps anciens : [u]salut qui nous arrache à l’ennemi, à la main de tous nos oppresseurs[/u], amour qu’il montre envers nos pères, mémoire de son alliance sainte, serment juré à notre père Abraham de nous rendre sans crainte, afin que, [u]délivrés de la main des ennemis[/u], nous le servions dans la justice et la sainteté, en sa présence, tout au long de nos jours."
Zacharie, le père de Jean le Baptiste, comme les Juifs de son époque, attendait la libération physique d'Israël. Idem pour son fils qui voyant qu'elle tarde à venir lui envoie des messagers : " Es-tu celui qui doit venir, ou devons-nous en attendre un autre ?" (Lc 7,19)
"Mais Jésus savait qu’ils allaient venir l’enlever pour faire de lui leur roi ; alors de nouveau il se retira dans la montagne, lui seul." (Jn 6,15) : Ici, nous voyons encore la conception juive du messie libérateur.
Jn 12,13 : "Les gens prirent des branches de palmiers et sortirent à sa rencontre. Ils criaient : « Hosanna ! [u]Béni soit celui qui vient au nom du Seigneur ! Béni soit le roi d’Israël ! [/u]»" : les foules voient en lui le libérateur lorsqu'il entre à Jérusalem.