par muirgheal » mar. 15 juin 2010, 14:02
1Co 11:23- Pour moi, en effet, j'ai reçu du Seigneur ce qu'à mon tour je vous ai transmis : le Seigneur Jésus, la nuit où il était livré, prit du pain
1Co 11:24- et, après avoir rendu grâce, le rompit et dit : " Ceci est mon corps, qui est pour vous ; faites ceci en mémoire de moi. "
1Co 11:25- De même, après le repas, il prit la coupe, en disant : " Cette coupe est la nouvelle Alliance en mon sang ; chaque fois que vous en boirez, faites-le en mémoire de moi. "
1Co 11:26- Chaque fois en effet que vous mangez ce pain et que vous buvez cette coupe, vous annoncez la mort du Seigneur, jusqu'à ce qu'il vienne.
1Co 11:27- Ainsi donc, quiconque mange le pain ou boit la coupe du Seigneur indignement aura à répondre du corps et du sang du Seigneur.
1Co 11:28- Que chacun donc s'éprouve soi-même, et qu'ainsi il mange de ce pain et boive de cette coupe ;
1Co 11:29- car celui qui mange et boit, mange et boit sa propre condamnation, s'il ne discerne le Corps.
J'ai souvent entendu/lu que d'aller communier en état de péché mortel, c'est manger et boire sa condamnation. Mais faut-il prendre ceci au sens premier ou pas ?
Avant d'aller communier, on doit être humble, respectueux envers le Christ, prendre conscience que c'est bien le Christ qui se donne à nous. Le Christ qui s'est fait chair pour nous sauver. Sans le Christ, on ne peut pas être sauvé. Si l'on prend conscience de nos péchés, on va se confesser pour obtenir le pardon, ouvrir notre coeur à la grâce du Seigneur et demander au Seigneur la guérison de notre âme. Et si on n'a pas eu l'occasion de se confesser, on s'abstient de communier et on va le faire au plus vite.
Par manger et boire sa propre condamnation, cela ne voudrait-il pas dire que lorsqu'on est en état de péché mortel, et/ou qu'on ne discerne pas le corps du Christ dans l'hostie, on ferme son esprit, son coeur à Dieu. On refuse donc l'action de l'Esprit Saint à nous guérir. Comme Dieu n'impose rien, l'Esprit Saint n'agira pas et la personne communiant en cet état tombera encore plus dans son péché et ne s'ouvrira pas à la grâce de Dieu. Et en persistant dans cette voie, cette personne s'éloigne du salut et surtout se coupe de Dieu.
De même lorsqu'on dit que seul le péché contre l'Esprit Saint ne peut être remis, c'est à cause du refus de l'homme d'accepter l'action de l'Esprit Saint sur lui, de se refuser à Dieu et donc de continuer à persister dans ses péchés, sans pouvoir guérir son âme.
Si l'homme refuse l'Esprit Saint, il se coupe de Dieu et donc il ne pourra pas recevoir le pardon car il refuse ce pardon.
Mais il ne faudrait pas voir celà d'une manière définitive. Une personne ayant été communier dans cet état, peut s'en apercevoir, s'en repentir sincèrement, s'en confesser et donc s'ouvrir à la grâce de Dieu.
[color=#800040]1Co 11:23- Pour moi, en effet, j'ai reçu du Seigneur ce qu'à mon tour je vous ai transmis : le Seigneur Jésus, la nuit où il était livré, prit du pain
1Co 11:24- et, après avoir rendu grâce, le rompit et dit : " Ceci est mon corps, qui est pour vous ; faites ceci en mémoire de moi. "
1Co 11:25- De même, après le repas, il prit la coupe, en disant : " Cette coupe est la nouvelle Alliance en mon sang ; chaque fois que vous en boirez, faites-le en mémoire de moi. "
1Co 11:26- Chaque fois en effet que vous mangez ce pain et que vous buvez cette coupe, vous annoncez la mort du Seigneur, jusqu'à ce qu'il vienne.
1Co 11:27- Ainsi donc, quiconque mange le pain ou boit la coupe du Seigneur indignement aura à répondre du corps et du sang du Seigneur.
1Co 11:28- Que chacun donc s'éprouve soi-même, et qu'ainsi il mange de ce pain et boive de cette coupe ;
1Co 11:29- car celui qui mange et boit, mange et boit sa propre condamnation, s'il ne discerne le Corps. [/color]
J'ai souvent entendu/lu que d'aller communier en état de péché mortel, c'est manger et boire sa condamnation. Mais faut-il prendre ceci au sens premier ou pas ?
Avant d'aller communier, on doit être humble, respectueux envers le Christ, prendre conscience que c'est bien le Christ qui se donne à nous. Le Christ qui s'est fait chair pour nous sauver. Sans le Christ, on ne peut pas être sauvé. Si l'on prend conscience de nos péchés, on va se confesser pour obtenir le pardon, ouvrir notre coeur à la grâce du Seigneur et demander au Seigneur la guérison de notre âme. Et si on n'a pas eu l'occasion de se confesser, on s'abstient de communier et on va le faire au plus vite.
Par manger et boire sa propre condamnation, cela ne voudrait-il pas dire que lorsqu'on est en état de péché mortel, et/ou qu'on ne discerne pas le corps du Christ dans l'hostie, on ferme son esprit, son coeur à Dieu. On refuse donc l'action de l'Esprit Saint à nous guérir. Comme Dieu n'impose rien, l'Esprit Saint n'agira pas et la personne communiant en cet état tombera encore plus dans son péché et ne s'ouvrira pas à la grâce de Dieu. Et en persistant dans cette voie, cette personne s'éloigne du salut et surtout se coupe de Dieu.
De même lorsqu'on dit que seul le péché contre l'Esprit Saint ne peut être remis, c'est à cause du refus de l'homme d'accepter l'action de l'Esprit Saint sur lui, de se refuser à Dieu et donc de continuer à persister dans ses péchés, sans pouvoir guérir son âme.
Si l'homme refuse l'Esprit Saint, il se coupe de Dieu et donc il ne pourra pas recevoir le pardon car il refuse ce pardon.
Mais il ne faudrait pas voir celà d'une manière définitive. Une personne ayant été communier dans cet état, peut s'en apercevoir, s'en repentir sincèrement, s'en confesser et donc s'ouvrir à la grâce de Dieu.