par Elric » mar. 12 juin 2018, 9:35
L'intérêt, si je peux m'exprimer ainsi, est à mon avis de pouvoir se passer définitivement de contraceptif, et de s'assurer à 100% en cas de rapport qu'elle n'aura pas d'enfant.
C'est un cas que je connais un peu, je ne pense pas que la raison principale qui l'ait poussé à faire cela soit la carrière, mais le dégoût des enfants.
C'est un phénomène que l'on peut rencontrer, mais qui souvent s'estompe un peu avec l'âge. Chez certaines personnes, la pression sociale pour avoir des enfants (car il ne faut pas se mentir, la normalité pose tout de même un cadre dans l'inconscient collectif) font que certaines personnes se braquent et radicalisent leur opinion, les child-free comme ils se nomment eux-même. "Libérés" de la "contrainte" d'avoir des enfants.
Derrière il y a l'idée qu'une vie pour soi tout seul, ses plaisirs, ses passions, ses envies, est plus épanouissante que de se donner pour quelqu'un qui pourra nous abandonner une fois arrivé à l'âge adulte.
On fait des enfants pour un tas de raison différentes, et ceux qui n'en veulent radicalement pas ont tout autant de raison, et généralement certaines blessures narcissiques.
Quand on en vient à se faire charcuter par peur d'avoir des enfants, je pense qu'on est dans une certaines souffrance morale.
Quand on veut réussir sa vie, on peut envisager de le faire sans enfant, c'est évident. Je ne pense pas que cette personne aura à 50 ans des bouffées d'angoisse parcequ'elle n'a pas d'enfant ou de petits enfants, d'ailleurs bien des gens qui ont des enfants se fâchent avec ou ne les voient plus après.
Je ne pense pas non plus, à plus de trente ans, qu'elle voudra revenir en arrière, elle a fait son choix. Au final cela ne fait que corroborer les études qui montrent que les athées font moins d'enfant, voire pas du tout. Il y a derrière l'idéologie libérale l'idée que perpétuer la vie est superflus, d'autres s'en chargeront pour nous. Nous n'avons pour seule mission que de nous amuser et d'en profiter au maximum, avec pour seules contraintes celles qu'on aura accepter de s'imposer. Leur parler de la joie immense que procure un enfant ne sert à rien, l'expérience ne se transmet pas. Et leur parler de Dieu serait carrément hors de propos tant ces gens vivent le coeur fermé à toute idée d'un Dieu qui les aime et veut leur bonheur.
L'intérêt, si je peux m'exprimer ainsi, est à mon avis de pouvoir se passer définitivement de contraceptif, et de s'assurer à 100% en cas de rapport qu'elle n'aura pas d'enfant.
C'est un cas que je connais un peu, je ne pense pas que la raison principale qui l'ait poussé à faire cela soit la carrière, mais le dégoût des enfants.
C'est un phénomène que l'on peut rencontrer, mais qui souvent s'estompe un peu avec l'âge. Chez certaines personnes, la pression sociale pour avoir des enfants (car il ne faut pas se mentir, la normalité pose tout de même un cadre dans l'inconscient collectif) font que certaines personnes se braquent et radicalisent leur opinion, les child-free comme ils se nomment eux-même. "Libérés" de la "contrainte" d'avoir des enfants.
Derrière il y a l'idée qu'une vie pour soi tout seul, ses plaisirs, ses passions, ses envies, est plus épanouissante que de se donner pour quelqu'un qui pourra nous abandonner une fois arrivé à l'âge adulte.
On fait des enfants pour un tas de raison différentes, et ceux qui n'en veulent radicalement pas ont tout autant de raison, et généralement certaines blessures narcissiques.
Quand on en vient à se faire charcuter par peur d'avoir des enfants, je pense qu'on est dans une certaines souffrance morale.
Quand on veut réussir sa vie, on peut envisager de le faire sans enfant, c'est évident. Je ne pense pas que cette personne aura à 50 ans des bouffées d'angoisse parcequ'elle n'a pas d'enfant ou de petits enfants, d'ailleurs bien des gens qui ont des enfants se fâchent avec ou ne les voient plus après.
Je ne pense pas non plus, à plus de trente ans, qu'elle voudra revenir en arrière, elle a fait son choix. Au final cela ne fait que corroborer les études qui montrent que les athées font moins d'enfant, voire pas du tout. Il y a derrière l'idéologie libérale l'idée que perpétuer la vie est superflus, d'autres s'en chargeront pour nous. Nous n'avons pour seule mission que de nous amuser et d'en profiter au maximum, avec pour seules contraintes celles qu'on aura accepter de s'imposer. Leur parler de la joie immense que procure un enfant ne sert à rien, l'expérience ne se transmet pas. Et leur parler de Dieu serait carrément hors de propos tant ces gens vivent le coeur fermé à toute idée d'un Dieu qui les aime et veut leur bonheur.