par Kerniou » sam. 28 oct. 2017, 3:26
Il est vrai que les musulmans lisent tous les mêmes textes et, fort heureusement, ils ne deviennent pas tous des terroristes. Il faut tenir compte, aussi, de la place que l'on donne au(x) texte(s), de la manière dont on les intériorise et du mode choisi pour les mettre en pratique. Les dimensions individuelles et socio-culturelles sont déterminantes dans le passage à l'acte.
Le problème pour moi est que des criminels peuvent se réfugier derrière des textes qu'ils considèrent comme sacrés pour de livrer, pour ce qui concerne les musulmans, à des actes criminels perpétrés au nom d'Allah, , . D'ailleurs, la plupart d'entre eux sont déjà connus des services de police voire de la justice pour des problèmes de délinquance ... Le coran offre, hélas, la possibilité de donner une dimension divine à des actes délictueux.
Pour moi la notion de radicalisation intervient dans l'application aveugle et stricto sensu d'un texte, d'une pensée ou d'une parole; comme si le libre arbitre n'existait pas.
Il est vrai que les musulmans lisent tous les mêmes textes et, fort heureusement, ils ne deviennent pas tous des terroristes. Il faut tenir compte, aussi, de la place que l'on donne au(x) texte(s), de la manière dont on les intériorise et du mode choisi pour les mettre en pratique. Les dimensions individuelles et socio-culturelles sont déterminantes dans le passage à l'acte.
Le problème pour moi est que des criminels peuvent se réfugier derrière des textes qu'ils considèrent comme sacrés pour de livrer, pour ce qui concerne les musulmans, à des actes criminels perpétrés au nom d'Allah, , . D'ailleurs, la plupart d'entre eux sont déjà connus des services de police voire de la justice pour des problèmes de délinquance ... Le coran offre, hélas, la possibilité de donner une dimension divine à des actes délictueux.
Pour moi la notion de radicalisation intervient dans l'application aveugle et stricto sensu d'un texte, d'une pensée ou d'une parole; comme si le libre arbitre n'existait pas.