Une question de mots ?

Règles du forum
Forum de discussions entre chrétiens sur les questions morales et éthiques. Certaines discussions de ce forum peuvent heurter la sensibilité des jeunes lecteurs.

Répondre


Cette question vous permet de vous prémunir contre les soumissions automatisées et intensives effectuées par des robots malveillants.
Émoticônes
:?: :!: :arrow: :nule: :coeur: :) ;) :( :mal: :D :-D :oops: :cool: :/ :oui: :> :diable: <: :s :hypocrite: :p :amoureux: :clown: :rire: :-[ :sonne: :ciao: :zut: :siffle: :saint: :roule: :incertain: :clap: :fleur: :-@ :non: :cry: :bomb: :exclamation: :dormir: :wow: :boxe: :furieux: :toast: :dance: :flash:
Plus d’émoticônes

Le BBCode est activé
La balise [img] est activée
La balise [flash] est désactivée
La balise [url] est activée
Les émoticônes sont activées

Relecture du sujet
   

Agrandir Relecture du sujet : Une question de mots ?

par Exupère » mar. 25 juil. 2006, 15:32

Métazét,

Oui, notre époque et notre pays connaissent une profonde crise de sens, donc une crise du langage, qui rendent insolubles certains problèmes puisque les différentes interlocuteurs ne se comprennent même plus.

J'irai même jusqu'à parler de minorité linguistique catholique en France. Et j'appelle de tous mes voeux depuis longtemps un dictionnaire de la langue franco-catholique, afin que notre sous-groupe culturel puisse continuer d'exister et d'évoluer linguistiquement sans sombrer dans la perte de sens relativiste qui ruine la langue française à grands coups de sabres.

Parmi les mots qui n'ont plus de sens, on citera laïcité, peuple, mariage, relation sexuelle, amour, dieu, justice. Des mots pourtant essentiels, à tout humain, sous toutes les lattitudes ou presque.

Quant à la psychanalyse freudienne, il me semble que ce fut un éclair de génie de l'élan déconstructeur occidental, élan arrivé à son terme avec Jacques Derrida et finalement dépassé par l'analyse magsitrale de René Girard. Aujourd'hui que le monde occidental est déconstruit, donc en ruines, la psychanalyse freudienne dans cette Histoire fait un peu figure de mythe, et ses zélotes de gardiens du temple démoli. Il est urgent de re-penser l'humain par rapport à Dieu et au Christ si l'on veut soulager nos concitoyens occidentaux des terribles maux psychologiques dont ils souffrent de plus en plus massivement (et dont ils sont les seuls à souffrir dans ces proportions sur la planète - pas de psy à Karachi, Lahore ou Lagos), maux que les psychanalistes actuels savent repérer mais pas soigner - quand ils n'aggravent pas la mal.

En Christ
Ex

par zora » sam. 22 juil. 2006, 17:15

Bonjour Métazét!

Métazét a écrit:
Zora a écrit:
Sans pouvoir fournir des arguments médicaux et sanitaires sur l’onanisme je trouve qu’il représente toujours une dégradation de la personnalité des gens en questions.
Je le pratique de temps à autre, et je ne trouve pas que ma personnalité se dégrade pour autant. Au contraire, parfois cela me permet de juguler certaines tensions, certains stress, et c'est toujours plus sain que de s'intoxiquer les poumons au tabac (certaines personnes jugulant leurs tensions et stress de la sorte...).
Alors je ne sais pas quoi répondre. J'ai pensé surtout aux personnes qui le pratiquent régulièrement, chez qui cette chose est devenue une obsession, qui ne tentent même pas de trouver un partenaire et d'avoir des rapports normaux, qui utilisent des moyens stimulants type les journaux pornographiques, des images appropriées pour ces affaires, des stimulants (alcool ou similaire) ou même ont des idées complètement idiotes et tristes (les bouteilles de bière par exemple ou quelque chose encore pire).
Quant à 's'intoxiquer les poumons au tabac' maintenant c'est moi, malheureusement, qui dois avouer d'avoir ce vice. J'espère qu'il n'est pas un péché mortel non plus?

cordialement
zora

Re: Vache folle, carnivorisme et cannibalisme

par zora » sam. 22 juil. 2006, 16:46

Bonjour Christophe!
Christophe a écrit :
zora a écrit :Quant au cannibalisme il n’est pas bon pour la santé, même il est destructif : le phénomène de la vache folle par exemple.
Le problème, Zora, c'est qu'à la base la vache n'est pas un animal carnivore mais herbivore...
Je n'arrive pas à comprendre l'objection Christophe: voulez-vous dire que les vaches ne mangent pas les vaches ou que ce problème existe seulement pour les êtres herbivores et pas carnivores? Alors dans le premier cas ce sont les hommes qui donnent aux vaches à manger la viande des autres vaches (pour faire des économies sur leur alimentation et obtenir un profit sans aucune scrupule, même maintenant quand cette chose soit connue). Dans l'autre cas le règle fonctionne aussi: une fois on peut le faire mais si cela se répète la chose fini avec la maladie que j'ai mentionné.

cordialement
zora

Vache folle, carnivorisme et cannibalisme

par Christophe » sam. 22 juil. 2006, 16:14

zora a écrit :Quant au cannibalisme il n’est pas bon pour la santé, même il est destructif : le phénomène de la vache folle par exemple.
Le problème, Zora, c'est qu'à la base la vache n'est pas un animal carnivore mais herbivore...

par zora » sam. 22 juil. 2006, 15:16

Bojour Métazét!
Je pense aussi, comme Zora, que le cannibalisme est mauvais pour la santé, mais avant toute chose : il est mauvais à la santé de celui qui se fait dévorer
Sans doute, sans doute, mais il est aussi mauvais pour la santé de celui qui mange les représentants de sa propre espèce: 'la vache folle' ce sont des vaches qui ont mangé la viande d'autres vaches et puis j'ai regardé une émission informative où on a diagnostiqué une espèce de maladie (je ne me rappelle plus son nom) chez les tribus cannibales, quelque chose avec les problèmes graves avec les muscles et les nerfs, avec issue finale souvent létale. Et cela vaut, je pense, pour la plupart des espèces (pour tous les mammifères je crois), à part certains insectes et vers et peut-être poissons?

cordialement
zora

par Métazét » sam. 22 juil. 2006, 14:47

Bonjour Zora et Christophe,

Je pense aussi, comme Zora, que le cannibalisme est mauvais pour la santé, mais avant toute chose : il est mauvais à la santé de celui qui se fait dévorer :lol:

Je pense que si Dieu existe - et qu'il est parfait : omniscient, omnipotent, infiniment bon - il s'ensuite logiquement qu'il a donné à l'Homme le moyen de découvrir la vérité morale par ses propres lumières naturelles.

Par conséquent, oui, pourquoi pas une conception hygiéniste de la morale ? Pour ma part, cela me satisferait assez de définir la morale comme suit :

La morale consiste à agir de manière à favoriser, chez soi-même et chez les autres, le développement d'une bonne santé physique, émotionnelle, intellectuelle, sociale, morale (c'est donc un principe qui tend à son propre développement)

De toute manière, si Dieu a dit : tel acte est moral, tel acte est immoral, on ne peut pas accepter, que dans sa grande sagesse, il ait fait preuve d'arbitraire. C'est donc qu'il y a des raisons, en un certain sens indépendantes de Lui, qui justifient cette moralité ou immoralité des actions. Quelles autres raisons proposeriez-vous ?

Par conséquent, si l'on trouve, dans la Bible, des principes qui violent cette morale naturelle, c'est donc : soit qu'ils ne sont pas directement d'inspiration divine, soit qu'ils sont relatifs à un certain contexte qui n'est plus le nôtre, soit qu'il faut les interpréter de manière symbolico-métaphorico-métaphysique. Avec ma morale hygiéniste, on se retrouve donc, de plus, avec un outil exégétique :)
Christophe a écrit :Plus sérieusement, et pour s'en tenir aux arguments médicaux, il est notoire que l'onanisme masculin, en créant une activité sexuelle additionnelle aux rapports sexuels conjugaux, dégrade d'autant la qualité du sperme et donc la fécondité. (C'est d'ailleurs le cas de toute hyper-activité sexuelle dont la fréquence serait supérieure à la periode de reconstitution du sperme. Le sperme ayant besoin d'environ 3 jours pour se reconstituer parfaitement).
Donc vous êtes d'accord que la masturbation, avec modération, mettons une ou deux fois dans le mois, surtout lorsque l'on est célibataire, n'est pas immorale ? (du point de vue d'une morale hygiéniste).
Christophe a écrit :la condamnation morale par l'Eglise catholique de l'onanisme (qui n'est pas néanmoins - et à ma connaissance - considéré comme un péché mortel)
Il me semble bien que si, je vais essayer de retrouver les références...
[ Cf. le sujet La masturbation, péché mortel ou véniel ? | Christophe ]
Zora a écrit :Sans pouvoir fournir des arguments médicaux et sanitaires sur l’onanisme je trouve qu’il représente toujours une dégradation de la personnalité des gens en questions.
Je le pratique de temps à autre, et je ne trouve pas que ma personnalité se dégrade pour autant. Au contraire, parfois cela me permet de juguler certaines tensions, certains stress, et c'est toujours plus sain que de s'intoxiquer les poumons au tabac (certaines personnes jugulant leurs tensions et stress de la sorte...).

Bien cordialement,

Mikaël

par zora » sam. 22 juil. 2006, 13:57

Bonjour à tous et à toutes :) !

J’ai pourtant toujours eu l’impression que la nature, étant créée elle aussi par Dieu en personne, respecte (même si peut-être pas d'une manière parfaite et immédiate) ses lois à Lui.
Sans pouvoir fournir des arguments médicaux et sanitaires sur l’onanisme je trouve qu’il représente toujours une dégradation de la personnalité.
Quant au cannibalisme il n’est pas bon pour la santé, même il est destructif : le phénomène de la vache folle par exemple.
Puis l’inceste, soit direct soit indirect, la chose pour laquelle Dieu avait dit qu’elle serait punie ‘jusqu’au septième ciel’ (aujourd’hui la science est d’accord que les dommages, maladies et défauts héréditaires qui sont résultats de ce procédé peuvent être hérités et causer des dommages jusqu’à la septième génération).
Je crois que les lois de la nature ont été données aux hommes pour pouvoir se régler en connaissance des causes et conséquences plus évidentes et plus compréhensibles à la nature humaine que la foi un état pur qui devient souvent peu compréhensible aux êtres humains.

cordialement
zora

Santé & Masturbation

par Christophe » sam. 22 juil. 2006, 8:26

[align=justify]Salut Mikaël
Métazét a écrit :Je n'ai pas trouvé d'argument rationnel qui résistait à l'examen, surtout pour la masturbation, dont il est reconnu que la pratique est même bénéfique à plusieurs titres, dont la prévention du cancer de la prostate [cf. : http://www.doctissimo.fr/html/sexualite ... mastur.htm]).
Ne vous a-t-on jamais appris que "la masturbation, ça rend sourd" ? :lol:
Plus sérieusement, et pour s'en tenir aux arguments médicaux, il est notoire que l'onanisme masculin, en créant une activité sexuelle additionnelle aux rapports sexuels conjugaux, dégrade d'autant la qualité du sperme et donc la fécondité. (C'est d'ailleurs le cas de toute hyper-activité sexuelle dont la fréquence serait supérieure à la periode de reconstitution du sperme. Le sperme ayant besoin d'environ 3 jours pour se reconstituer parfaitement).
Néanmoins, je rappelle que l'Eglise n'est pas une Agence de sécurité sanitaire ; et donc que la condamnation morale par l'Eglise catholique de l'onanisme (qui n'est pas - et à ma connaissance - considéré comme un péché mortel) se base sur des critères moraux, et non pas médico-sanitaires. Le cannibalisme pourrait être très bon pour la santé, que l'Eglise considérerait encore cela comme un crime...
Il ne faut pas confondre morale et hygiène ; sauf si vous défendez une conception hygiéniste de la morale...

Bien à vous
Christophe[/align]

Pour Nelly Elmont

par Métazét » mer. 19 juil. 2006, 15:32

Bonjour Nelly,
Métazét a écrit :
J'ajoute que le statut de "pseudo-sciences" donné de nos jours à la psychanalyse est à situer dans le combat que lui livrent les tenants du "tout médicament" et "tout mécanique" dans l'homme. Là aussi, c'est une vieille histoire, même si elle prend de nos jours des formes différentes.
Pas seulement, et de loin, puisque les mêmes qui critiquent la psychanalyse reconnaissent en revanche la vertu de la parole, du fait d'exprimer nos états d'âme, ainsi que la vertu des thérapies cognitives. Et qu'importe les motivations après tout : l'absence de fait est là. La cure psychanalytique est aussi efficace qu'un placebo. Ce fait est reconnu aussi au sein des "Humanités". Ainsi, la revue Sciences Humaines (entres autres) s'en est fait le relais. Mais si vous avez des études à me proposer qui démontrent un effet de la psychanalyse suivant des standards scientifiques, je veux bien revoir ma copie. A noter aussi qu'un grand problème de la psychanalyse est que plusieurs de ses hypothèses sont irréfutables au sens poppérien (Popper que l'on ne peut guère suspecter de matérialisme étant donné sa défense, par ailleurs, du dualisme, entre autres en compagnie de l'éminent neurobiologiste dualiste John Eccles, prix Nobel de médecine).
Même dans votre "camp", des voix s'élèvent contre la psychanalyse. En témoigne par exemple cet article très critique publié sur le site catholique romain traditionnaliste "Salve Regina" :

Freud et la psychanalyse : "une imposture à structure de géant"

Il me semble donc que l'argument du combat que livreraient des tenants du "tout médicament" et "tout mécanique" tient de moins en moins... A noter également que Freud était matérialiste et pensait qu'un jour l'on pourrait donner une base neurologique à la psychanalyse.

Bien cordialement,

Mikaël

par zora » ven. 14 juil. 2006, 21:27

Bonsoir Hélène!
zora a écrit:
Il n'existaient pas 'ceux qui ont été oints d'un ministère ordonné' au temps du Jésus!
Ah non ? Ok...si vous voulez..."au temps de Jésus" non (mais encore...Jésus a lui-même ordonné Pierre). Mais je n'ai pas parlé de cela, j'ai parlé de saint Paul et là oui : il y avait un ministère ordonné bien défini. Lisez les actes des apôtres et les lettres de saint Paul.
Pourriez-vous m'expliquer cela plus précisément, s'il vous plaît?

cordialement
zora

par Hélène » ven. 14 juil. 2006, 21:10

zora a écrit :Il n'existaient pas 'ceux qui ont été oints d'un ministère ordonné' au temps du Jésus!
Ah non ? Ok...si vous voulez..."au temps de Jésus" non (mais encore...Jésus a lui-même ordonné Pierre). Mais je n'ai pas parlé de cela, j'ai parlé de saint Paul et là oui : il y avait un ministère ordonné bien défini. Lisez les actes des apôtres et les lettres de saint Paul.
Et Jésus parlait au PEUPLE et surtout au peuple, à moi, à vous,... à nous tous. Il a dit qu'il vaut mieux prendre une femme que 's'échauffer' si on ne peut pas faire diversement mais que c'est toujours mieux ne pas le faire.
Je suis désolée Zora mais Jésus n'a rien dit ce que vous lui prêtez comme paroles. Vous vous trompez... vous confondez comme je le dis plus haut les paroles de saint Paul qui demande à ceux qui ne peuvent s'empêcher d'avoir des relations charnelles d'être le mari d'une seule femme et qu'il vaut mieux pour un ministre ordonné de rester célibataire afin de s'occuper uniquement des affaires du Seigneur.
Quant aux liens merci, mais c'est vraiment beaucoup du matériel, il faudra du temps.
Bienvenue ! Évidemment que c'est beaucoup mais on a toute la vie pour nous convertir à la Vérité. Mieux vaut commencer au plus tôt...

Fraternellement, :)
Hélène

par zora » ven. 14 juil. 2006, 20:59

Bonsoir Hélène :) !
Jésus n'a jamais dit une chose pareille. Saint Paul en parle mais c'est pour ceux qui ont été oints d'un ministère ordonné, pas pour le "peuple" (moi, vous).
Il n'existaient pas 'ceux qui ont été oints d'un ministère ordonné' au temps du Jésus! Et Jésus parlait au PEUPLE et surtout au peuple, à moi, à vous,... à nous tous. Il a dit qu'il vaut mieux prendre une femme que 's'échauffer' si on ne peut pas faire diversement mais que c'est toujours mieux ne pas le faire.

Quant aux liens merci, mais c'est vraiment beaucoup du matériel, il faudra du temps.

cordialement
zora

par Hélène » ven. 14 juil. 2006, 20:39

zora a écrit :Et comment faire autrement? Voulez-vous que je sors ma religion toute seule de ma tête?
Non bien sûr, il ne faut pas ôter la religion de votre tête...seulement ce qui n'est pas d'elle réellement. Pour cela, il faut se laisser instruire par le Magistère sur http://www.vatican.va et http://www.jesusmarie.com entre autres...
Jésus Christ n'aurait-il pas dit que c'est mieux ne pas prendre femme et rester célibataire et vierge
Pouvez-vous nous donner la citation scripturaire ? Jésus n'a jamais dit une chose pareille. Saint Paul en parle mais c'est pour ceux qui ont été oints d'un ministère ordonné, pas pour le "peuple" (moi, vous). La première vocation de l'homme et de la femme est la procréation et la famille à moins d'une exception, d'une contrainte biologique ou un appel particulier discerné et confirmé par l'Église. L'appel à la virginité est un appel particulier mais il n'est pas l'appel de tous. Qui donnera des prêtres à l'Église si les hommes et les femmes ne font plus d'enfants ? :)
, le clergé catholique romain ne serait pas censé de rester célibataire?
Oui. Pour suivre dans les pas de l'Unique Berger qui s'est fait tout à tous.
Citation: Merci pour cette précision... fiou !
Pas compris :unsure: ?
Nevermind...

:)

par zora » ven. 14 juil. 2006, 20:17

Bonsoir :) !
Ce n'était pas un reproche mais c'est, je crois, ce que nous faisons tous plus ou moins consciemment : nous reportons sur l'entité "l'Église" des paroles dites par un (ou des) curé ou par un évêque isolé alors que cela n'engage qu'eux-mêmes.
Et comment faire autrement? Voulez-vous que je sors ma religion toute seule de ma tête?
Il faut se référer aux textes du Magistère, de la Tradition et de la Bible pour avoir l'heure juste quant aux positions de l'Église en telle ou telle matière.
Jesus Christ n'aurait-il pas dit que c'est mieux ne pas prendre femme et rester célibataire et vierge, le clergé catholique romain ne serait pas censé de rester célibataire?
Citation:
Même ma réponse à Métazét était un peu une plaisanterie et ce n'est pas mon opinion à moi!
Merci pour cette précision... fiou !
Pas compris :unsure: ?

cordialement
zora

par Hélène » ven. 14 juil. 2006, 19:51

zora a écrit :Attention Hélène que l'Église rimo-catholique est très centralisée,
Église rimo-catholique ? :unsure: C'est quoi ?
il n'existe pas l'église de mon pays, il existe l'Église rimo-catholique une et unique (ce n'est pas l'Église orthodoxe où chaque pays a sa propre église autonome!)
Oui, bien sûr que l'Église est Une, Catholique et apostolique. Mais lorsque l'on fait référence à l'Église en parlant d'une réalité géographique, nous utilisons le "É" majuscule et non le "é" minuscule comme pour désigner la paroisse locale. Ce n'est pas de diviser l'Église en plusieurs Églises. Ce sont sont des termes utilisés comme par exemple l'Église de France ou l'Église du Québec. Cela ne fait pas de l'Église du Québec une entitée à part mais cela démontre qu'il existe une réalité locale, culturelle, etc. Pas question de diviser l'Église.
Et puis j'ai répété les paroles des gens autorisés à dire ces choses (des prêtres, des évêques, et pas des croyances personnelles des personnes laïques et même pas des religieuses parce qu'elles ne sont pas instruites en matière) sans porter un jugement personnel!

Ne prenez pas mal mes paroles. Ce n'était pas un reproche mais c'est, je crois, ce que nous faisons tous plus ou moins consciemment : nous reportons sur l'entité "l'Église" des paroles dites par un (ou des) curé ou par un évêque isolé alors que cela n'engage qu'eux-mêmes. Il faut se référer aux textes du Magistère, de la Tradition et de la Bible pour avoir l'heure juste quant aux positions de l'Église en telle ou telle matière.
Même ma réponse à Métazét était un peu une plaisanterie et ce n'est pas mon opinion à moi!
Merci pour cette précision... fiou ! :doh:

Unie dans la communion de l'Unique Église :)
Hélène

Haut