Sur les icônes religieuses

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Re: Sur les icônes religieuses

par Fleur de Lys » mer. 28 févr. 2018, 12:41

L’ICONE est MIROIR et l’homme s’y reflète. Elle est image d’un VISAGE et PAROLE mystiquement dessinée. Elle est THEOLOGIE visuelle nous ouvrant sur le Mystère Divin.
Le but d’un atelier d’iconographie est d'ouvrir largement les fenêtres sur l’invisible et faire redécouvrir la dimension mystique de l’image sacrée. Dans le silence Dieu se laisse approcher et façonner ; nous construirons l’icône selon Sa volonté.
Son "écriture symbolique intérieure" riche de significations profondes nous fera retrouver la beauté de ce monde et la bonté de son Créateur.
Peindre une icône, c’est vivre une expérience spirituelle profonde, point de départ d’une rencontre vraie.
http://www.atelierdamascene.fr/spip.php?article1

A la question de pourquoi cet atelier ouvert à tous (enfin toute personne de bonne volonté), "afin de répandre des icônes dans le Monde".

Le maître de l'atelier avait précisé que ce n'est pas tant "peindre" que "écrire". Puisque tout est codifié dans l'iconographie. Le "peintre" n'est pas artiste, il ne crée pas une oeuvre d'Art. Sa main est guidée par sa prière.
Tout dans l'icône est symbole, tout est théologie, jusqu'à la confection même de la peinture: terre (les pigments) eau et oeuf.

Re: Sur les icônes religieuses

par Cinci » sam. 20 janv. 2018, 13:34

Bonjour,
Valérie a écrit :
Désolé pour cette absence prolongée. Je ne sais pas si c'est le bon endroit mais j'ai de nombreuses questions. Pourquoi les catholiques s'agenouillent devant des icônes?
Je dirais que c'est l'expérience de l'Église et sa sagesse immémoriale. Je pense que l'Église catholique reconnaît et accepte l'idée que les membres du corps sont des êtres humains d'abord et avant tout, non pas des purs esprits désincarnés. Et être humain ça veut dire que si Dieu veut se manifester à nous il le fera d'abord par des manifestations sensibles. Dieu passe par le canal que sont les personnes, mais aussi lors de certaines occasions et souvent via notre "contact" avec des choses saintes. Il n'y a rien de plus biblique, mais biblique et archi-biblique et chrétien que cela.

Il s'agit de veiller à ne pas épuiser la richesse du réel également.

Quand des "esprits forts" peuvent penser (à tort ou à raison s'agissant d'eux-mêmes) ne pas voir besoin de rien pour progresser dans la foi, il peut se faire que des plus "petits" qu'eux auront quand même besoin de lieux physiques précis et d'objets grâce auxquels l'appel de Dieu pourra leur parvenir.

L'avantage des lieux ou des objets sacrés par rapport à la Bible (la littérature sacrée en général) : on s'y trouve plongé dans une expérience réaliste d'attente de Dieu ou de rencontre "in real life" avec Lui. Les petites aventures de de genre (déplacements physiques, pélerinage, méditation ou prière en présence d'une icône, etc.) sont complémentaires de ce qui se trouve dans la Bible. Ce sont peut-être des béquilles, mais les chrétiens sont aussi de grands malades.

[...]

L'abbé Descouvemont racontait une anecdote à propos d'un de ses collègues dans le ministère; un prêtre plus jeune que lui, très populaire, doté d'un charisme particulier auprès des foules. Il racontait comment la foi et même l'appel à se mettre au service de Dieu s'était manifestés pour la première fois chez ce collègue.

Issu d'un milieu totalement incroyant, jeune adolescent, ce dernier avait été requis par une tante pour aller faire une commission à Lourdes. Et alors, sur l'heure du midi, dans l'enceinte du sanctuaire, il s'était retrouvé, inopinément, directement placé sur le passage d'une procession, avec un prêtre portant le Saint-Sacrement. Il avait vu la procession venir à lui. Il venait de réaliser que c'était vrai, que Jésus existait, qu'il était vivant. Dans l'instant, il comprenait qu'il donnerait sa vie pour être à son service. A cause de la procession, par le truchement de cette rencontre ... Avant, on a un jeune que la religion indiffère et qui a peut-être entendu mille fois parlé de Jésus sans que ça puisse vouloir signifier quelque chose.

:)

Re: Sur les icônes religieuses

par Kerniou » sam. 20 janv. 2018, 12:20

Merci, Altior pour ce document.

Re: S'agenouiller devant des icônes

par Altior » sam. 20 janv. 2018, 8:26

Bonjour, Valérie,
Valérie a écrit :
ven. 19 janv. 2018, 23:27
Pourquoi les catholiques s'agenouillent devant des icônes?
L'Église a tranché cette question il y a 1300 ans. C'est ici.

Bonne fin de semaine,
A.

S'agenouiller devant des icônes

par Valérie » ven. 19 janv. 2018, 23:27

Bonjour à tous,

Désolé pour cette absence prolongée. Je ne sais pas si c'est le bon endroit mais j'ai de nombreuses questions. Pourquoi les catholiques s'agenouillent devant des icônes? [Un sujet par fil svp.]

Merci à vous,
Valérie

Re: Macédoine: des icônes se mettent à briller...Miracle ?

par mikah il » mar. 10 avr. 2012, 4:20

Il est vrai, qu'un miracle de Pâques est toujours une bonne nouvelle. ;)

Re: Macédoine: des icônes se mettent à briller...Miracle ?

par jeanbaptiste » lun. 09 avr. 2012, 23:06

Étonnant ! Merci pour cette belle information :)

Macédoine: des icônes se mettent à briller...Miracle ?

par katolik » lun. 09 avr. 2012, 22:07

(AFP)

SKOPJE — Des centaines d'habitants de Skopje faisaient la queue lundi devant l'église Sveti Dimitrije pour voir des icônes et des fresques qui se sont mises à briller sans explication apparente, un phénomène que le pope de ces lieux n'a pas hésité à qualifier de miracle.

"C'est réellement un miracle, cela a commencé hier (dimanche) dans la partie centrale de l'iconostase. La couleur dorée est très visible et le phénomène se poursuit", a déclaré à l'AFP le pope, Dimce Malinov.

Le prêtre a expliqué que les icônes et les fresques ont commencé à briller, comme si elles avaient été soigneusement et systématiquement polies par une main invisible.

"Depuis ce matin j'ai continué à observer le phénomène, la moitié des icônes sont déjà nettoyées. D'abord apparaît une couleur rouge qui se transforme en couleur dorée (...) vous pouvez voire les icônes s'autonettoyer de haut en bas", a dit le pope.

"Les gens affluent en masse et font la queue pour voir ce miracle", a-t-il ajouté.

Le chef de l'église orthodoxe macédonienne (MPC) l'archevêque d'Ohrid, Stefan, s'est rendu en personne dimanche à l'église Sveti Dimitrije, qui date du 18e siècle, pour observer le phénomène. La MPC, interrogé par l'AFP, s'est néanmoins refusé lundi à commenter cet événement inhabituel.

Une journaliste de l'AFP qui s'est rendue aussi sur place a confirmé que des icônes semblaient effectivement devenir de plus en plus claires sous ses yeux.

Quelque 80% des deux millions d'habitants de l'ex-république yougoslave de Macédoine professe la religion orthodoxe.

Image

Re: Les icônes religieuses

par Göreme » dim. 04 sept. 2011, 7:20

Bien longtemps avant d'hériter d'une représentation de l’icône "Notre-Dame de Bon Secours" qui se trouve à St.Jean de Latran à Rome, je m'étais souvent demandé pourquoi dans de nombreux foyers, on trouvait des cadres avec cette vierge à l'enfant. Après avoir accroché mon héritage dans notre maison, à un endroit propice à la prière , j'ai rapidement constaté qu'il était plus facile de se recueillir en admirant ce beau visage de Marie portant l'enfant Jésus. La prière prenait un sens plus profond. Le spoiler de Imx explique très bien ce que peuvent nous apporter les icônes.

Depuis que j'ai visité à Czestochova l’icône "La Vierge Noire" j'ai du mal à comprendre pourquoi les polonais rajoutent, tous les ans, une nouvelle parure à cette vierge et à son enfant : des couronnes et des vêtements d'or et de pierres précieuses. Un art totalement profane, qui fait, à la limite, disparaître les traits si intensifs des visages.

Par ailleurs, dans une église de Cracovie, j'ai vu que l'on avait également chapeauté d'une couronne, Notre-Dame de Bon Secours et son enfant Jésus.

D'où ma question : est-ce la ferveur polonaise qui est seule responsable de ces attributs ? Est-ce qu'en France quelqu'un a déjà constaté ce genre d' "embellissement" sur des icônes ?

Re: Les îcones religieuses

par lmx » ven. 12 août 2011, 22:08

En effet j'avais bien compris que ce n'était pas un art représentatif, pour autant faut-il être dans les ordres pour être autorisé à les peindre ?

Il existe des ateliers de peinture d'icônes ouverts à tous. Vous devriez voir s'il en existe un à côté de chez vous.

Re: Les îcones religieuses

par NinaC » ven. 12 août 2011, 21:01

Merci lmx pour votre réponse et vos pistes de réflexions...

En effet j'avais bien compris que ce n'était pas un art représentatif, pour autant faut-il être dans les ordres pour être autorisé à les peindre ?
Car il y a bien deux choses différentes, une de les contempler et l'autre de les peindre.

Puisse Dieu aussi m'inspirer pendant ce temps de silence sur cela...

Re: Les îcones religieuses

par lmx » ven. 12 août 2011, 20:24

Je ne connais pas les détails de l'art de l'icône et donc je ne peux répondre à cette question précise, mais je vous livre ce qu'a écrit le pape Benoît XVI qui expose la théologie de l'icône dans son livre "L'esprit de la liturgie"

"L'icône est d'abord une image intérieure perçue par les sens spirituels.
...
Regarder une icône c'est apprendre, grâce à la vision intérieure qui a pris forme dans l'icône, à contempler dans le sensible ce qui va au delà du sensible, et qui néanmoins est entré dans la sphère des sens
."


L'art de l'icône n'obéit pas à des considérations naturalistes modernes et donc ne vise pas à être représentatif.
C'est, en effet, un art qui obéit à une conception complètement différente de l'art que celle qui prévaut depuis la renaissance et qui peut donc nous paraitre étrange.

Sur le regard des personnages dans les icônes :
http://christophe.levalois.free.fr/fichier/Regard_I.pdf

voilà aussi ce que j'avais écris au sujet de l'icône
[+] Texte masqué
L’art de l’icône chez les orthodoxes est un art symbolique. L’art dans cette vision à une fonction essentiellement liturgique et sacramentel. Il est là pour créer un environnement propice à la contemplation, pour orienter par des formes sensibles signifiantes les âmes vers l’invisible. Les orthodoxes disent à ce propos que les icônes sont des fenêtres vers l’invisible.
Aussi, selon le théologie orthodox Vladimir Lossky les icônes sont « des centres matériels où repose une énergie, une vertu divine qui s’unit à l’art divin » et d’une façon générale, les symboles comme le signe de croix, l’eau bénite, l’encens, le chant sacré, la lumière des cierges sont « des symboles dans le sens le plus réaliste de ce mot, des signes matériels de la présence du monde spirituel ». De même, Hilarion Alfeyev indique que tout symbole chrétien, une icône, une église, un signe de croix, a deux faces, une sensible et une divine. Pour St Maxime le Confesseur « l’icône et le symbole sont reliés ontologiquement à ce qu’ils représentent, y participent et sont à même d’y faire participer dans une certaine mesure ceux qui les contemplent » ce pourquoi « on peut parler à cet égard d’un symbolisme efficace » précise aussi Jean Claude Larchet.
Si les églises orthodoxes sont parfois couvertes d‘icônes, c’est tout simplement parce que celles-ci rendent présent le monde divin et font de l’église un lieu éminemment sacré où le ciel et la terre se rejoignent. L’église n’est plus, par la vertu des icônes qui rendent présent le monde spirituel, tout à fait dans le monde, c‘est le ciel rendu présent. De ce point de vue l’icône a d’abord une fonction spirituelle.
A ce propos, la haine du sacré est tout à fait incompréhensible, car loin d’éloigner les fidèles de Dieu, le sacré est bien plutôt, comme l’a expliqué Louis Bouyer, la prise de conscience de l’immanence de Dieu dans le monde. Le sacré manifeste la proximité de Dieu aux hommes, la dignité du sensible qui devient support des réalités célestes, en même temps qu’il répond aux exigences d’un individu normal qui n’étant pas un pur esprit se sert aussi de ses sens. Aussi permet-il de créer une ambiance propice à l’intériorisation et à la prière. Pour ma part, difficile de voir dans ce rejet du sacré, un quelconque signe de maturité spirituel.

En tant qu’art sacré, la réalisation d’une icône est aussi un moyen de sanctification. L’iconographe doit se préparer par la prière, et recevoir l’Esprit Saint, car c’est en réalité l’Esprit Saint qui peint l’icône. Et c’est pourquoi toute icône authentique est « achiropite » , c’est-à-dire non faite de main d’homme. En ce sens, la réalisation d’une icône est un véritable exercice spirituel où la personne met son moi de côté et se soumettant à la volonté divine, se fait le support de celle-ci . « Rien dans l’icône authentique ne relève du hasard. Elle ignore le naturalisme, évacue le décoratif qui distrait de l’essentiel et rejette l’émotionnel qui traduit les passions. Chaque trait véhicule une énergie et il importe pour cela que l’iconographe se laisse traverser par l’Esprit Saint. » dit l’iconographe Michel Quenot.
Avec encore plus de force, Ludmilla Garrigou souligne la différence qu’il y a entre un art profane et l’art sacrée de l’icône : « L’artiste, en général, essaie de trouver son style, sa manière propre de s’exprimer et de traduire ses états d’âme. L’iconographe, lui, recherche l’effacement le plus total de son être, de sa personne, l’abnégation de soi : il se vide pour être mieux rempli».

L’art de l’icône en tant qu’art symbolique parle du monde transfiguré, déifié, et de l’état spirituel des personnages de l’histoire sainte. Elle traite donc d’un espace céleste dépourvu de temps et d'espace "séparatif" "extensif" où évoluent des êtres transfigurés n’ayant plus la physionomie contingente et accidentelle qui est la notre. Ce que l’icône manifeste ainsi, c’est l’homme qui vit dans le cœur (1 P3:4) et qui n’est pas visible à l’œil de chair. Par là, l’icône nous rappelle aussi notre destinée qui est d’être déifié.
C’est pourquoi une icône ne peut pas être représentative, car représenter c‘est essentiellement imiter.
Le monde transfiguré constituant une réalité supérieure, il ne peut être exprimé que de façon symbolique, par une icône faisant appel à notre faculté contemplative et proprement spirituelle.

L’icône, en tant que symbole, c'est donc une fenêtre sur le monde divin qui constitue un support pour la prière. En effet, les formes de l’icône fixées par la Tradition et exprimant un contenu théologique et dogmatique précis, signifient des choses divines et ont donc en tant que telles une correspondance analogique en Dieu. Il faut donc qu’il y ait conformité à un prototype pour que celui-ci puisse être rendu présent dans le support sensible. N’importe quelle forme produite par l’activité humaine ne peut pas symboliser un aspect divin ou une réalité spirituelle.
Contrairement à l’art profane qui généralement ne renvoie à rien d’autre qu’à une réalité profane ou qui représente des réalités sacrées de manière naturaliste, l’art sacré qui est symbolique (et donc analogique) a au contraire pour but de permettre de nous élever en entrevoyant des réalités d’ordre supérieur.
L’icône (et tout symbole chrétien authentique), que des docteurs de l'Eglise comme St Jean Damascène ont défendu contre les hérétiques iconoclastes, en tant que fenêtre sur le monde divin est là pour inviter à traverser le miroir du sensible, à effectuer une ascension qu’on appelle anagogie et qui suppose l’analogie entre la forme signifiante et le prototype signifié.
« corrélative à l’analogie, l’anagogie qui permet de circuler de manière ascensionnelle à travers tous les degrés du réel, un réel de structure foncièrement hiérarchique. » explique le Fr. François CASSINGENA-TREVEDY dans un article sur la liturgie chez St Maxime le Confesseur http://www.abbaye-liguge.com/uploads/115.pdf

« La vue symbolique des choses intelligibles par le moyen des choses visibles est science spirituelle et intellection des choses visibles par les invisibles. Il faut en effet que les choses se manifestent les unes par les autres se réfléchissent les unes dans les autres en toute vérité et en toute clarté et qu’elles aient entre elles une relation qui ne soit pas brisée. » St Maxime le Confesseur

On peut conclure ces considérations sur l’icône avec celui qui fut le grand théologien de l’icône au 20è siècle, Léonide Ouspensky :
« L’icône représente non la chair corruptible destinée à la décomposition, mais la chair transfigurée, illuminée par la grâce, la chair du siècle à venir (voir 1 Co 15, 35-46). Elle transmet par des moyens matériels, visibles aux yeux charnels, la beauté et la gloire divine. C’est pour cela que les Pères disent que l’icône est vénérable et sainte précisément parce qu’elle transmet l’état déifié de son prototype et porte son nom, c’est pour cela que la grâce, propre à son prototype, s’y trouve présente. Autrement dit, c’est la grâce de l’Esprit-Saint qui suscite la sainteté tant de la personne représentée que de son icône, et c’est en elle que s’opère la relation entre le fidèle et le saint par l’intermédiaire de l’icône de celui-ci. L’icône participe, pour ainsi dire, à la sainteté de son prototype et par l’icône, nous participons, à notre tour, à cette sainteté dans notre prière. »

Les icônes religieuses

par NinaC » ven. 12 août 2011, 19:48

J'ai une question concernant l'art iconographique. Pourquoi, sur les icônes sacrées, les visages n'ont pas des yeux identiques ? Quelqu'un peut me renseigner ?

Je suis une artiste dans l'âme et j'aimerais -pourquoi pas- apprendre à les peindre.

Re: Images pieuses, icônes, dessins religieux,...

par Unsimplehomme » ven. 28 janv. 2011, 23:49

Bonjour,
Merci à tous pour vos réponses!

Re: Images pieuses, icônes, dessins religieux,...

par steph » ven. 28 janv. 2011, 0:32

Par contre, pour peindre une icône (comme pour tout objet de dévotion), il vaut mieux avoir suivi une petite formation technique et théologique avant de se lancer dans l'écriture de l'icône... L'art étant au service de l'expression de la foi. Mais si on le fait sans, il n'y a pas péché non plus...

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