par Kerniou » jeu. 26 juil. 2018, 11:51
je me permets de rappeler que tous les Pays du bloc de l'EST que vous nous donnez en exemple, ont subi la férule soviétique pendant des décennies ...
Et, en référence à mon expérience personnelle, je peux vous assurer qu'à Saint-Petersbourg, du temps où elle s'appelait Leningrad, des pickpockets sévissaient dans les trams ... Et, partout dans les zones touristiques, malgré la dense présence policière, le marché noir pour le change (de l'argent) prospérait à la barbe des nombreux policiers en civil ... Le Taux de change du marché noir nous était, à nous occidentaux, largement plus favorable ...
Une fois, quelques jeunes gens m'ont extirpée d'un bureau de change à Budapest, pour changer au noir; ils faisaient leur fonds de poches pour rassembler la somme ... J'ai laissé tomber les quelques forints (florins) manquants ... L'agent du bureau de change sortait de sa guitoune ... Quand il est sorti, il n'y avait plus personne ! Les jeunes s'étaient volatilisés à une vitesse incroyable ... Nous nous étions éloignés et je suppose qu'il n'a pas voulu avoir d'histoires avec des touristes de l'Ouest ...
Comme quoi, la répression ne "guérit pas le désir de transgression"...
Mais, vous avez raison, les vitrines cassées n'ont pas lieu d'être ...
Faut-il, pour autant mettre un policier derrière chaque citoyen ?
je me permets de rappeler que tous les Pays du bloc de l'EST que vous nous donnez en exemple, ont subi la férule soviétique pendant des décennies ...
Et, en référence à mon expérience personnelle, je peux vous assurer qu'à Saint-Petersbourg, du temps où elle s'appelait Leningrad, des pickpockets sévissaient dans les trams ... Et, partout dans les zones touristiques, malgré la dense présence policière, le marché noir pour le change (de l'argent) prospérait à la barbe des nombreux policiers en civil ... Le Taux de change du marché noir nous était, à nous occidentaux, largement plus favorable ...
Une fois, quelques jeunes gens m'ont extirpée d'un bureau de change à Budapest, pour changer au noir; ils faisaient leur fonds de poches pour rassembler la somme ... J'ai laissé tomber les quelques forints (florins) manquants ... L'agent du bureau de change sortait de sa guitoune ... Quand il est sorti, il n'y avait plus personne ! Les jeunes s'étaient volatilisés à une vitesse incroyable ... Nous nous étions éloignés et je suppose qu'il n'a pas voulu avoir d'histoires avec des touristes de l'Ouest ...
Comme quoi, la répression ne "guérit pas le désir de transgression"...
Mais, vous avez raison, les vitrines cassées n'ont pas lieu d'être ...
Faut-il, pour autant mettre un policier derrière chaque citoyen ?