par Cinci » ven. 14 juil. 2017, 16:46
Après la fin des combats, l'armée républicaine a appliqué un plan d'extermination. Les milliers de femmes, d'enfants et de bébés qui ont été fusillés, noyés, brûlés, n'étaient pas des rebelles.
... représailles, châtiment, punition, dissuasion ... ôter l'envie de poursuivre la campagne chez les rebelles.
Il n'y a pas de plan d'extermination en 1794. Pas comme on dirait qu'il y a un plan d'extermination en 1942: un plan systématique, une volonté procédant d'un racisme dit "scientifique" ou raisonné, faisant de la tare biologique une menace en soi, déterminant que le mieux serait idéalement d'exterminer jusqu'au dernier représentant porteur du "génome à problème", peu importe où celui-ci se trouverait : en Grèce, en Afrique, en Chine, etc.
En 1794, on parle de pacifier le pays, mettre un terme aux attaques des rebelles, briser la révolte, détruire les rebelles, exterminer les traîtres. Le comportement des troupiers ou du général en chef qui commande la troupe entrant dans le pays des rebelles, en 1794, il est assimilable à celui des troupiers de l'armée fédérale des États-Unis et de leur commandant en chef quand ils entreront dans le pays des indiens rebelles. Il n'y a pas de plan spécifique, rien déterminé à l'avance, et rien qui consisterait à devoir exterminer totalement le moindre indien rencontré, et si possible tous les indiens du nord de l'Amérique au simple motif qu'ils seront des indiens ("Le seul bon indien est un indien mort", blabla ... paroles creuses).
Les révolutionnaires de 1794, férus de modernité, fiers du formidable bond en avant et progrès que leur nation ferait faire à toute l'humanité (de grands amateurs de libéralisme politique; "liberté, égalité, fraternité") , ils se rapprochent des patriotes américains nés de la cuisse de Washington. On ne parle pas de génocidaires, mais tout au plus
d'intolérants capables de rager, de bouillir, face à un nid de résistants menaçant d'entraver la marche du progrès, le développement du pays dans le bon sens. On souhaite éliminer un obstacle qui empêcherait un bon contrôle sur le territoire.
La méthode éliminationniste ne fait pas partie en soi de la doctrine politique des libéraux révolutionnaires, contrairement à la doctrine des bolchéviques (économique) ou des nazis (raciale). Les libéraux peuvent traiter, tracter, négocier, acheter.
[quote]Après la fin des combats, l'armée républicaine a appliqué un plan d'extermination. Les milliers de femmes, d'enfants et de bébés qui ont été fusillés, noyés, brûlés, n'étaient pas des rebelles.
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... représailles, châtiment, punition, dissuasion ... ôter l'envie de poursuivre la campagne chez les rebelles.
Il n'y a pas de plan d'extermination en 1794. Pas comme on dirait qu'il y a un plan d'extermination en 1942: un plan systématique, une volonté procédant d'un racisme dit "scientifique" ou raisonné, faisant de la tare biologique une menace en soi, déterminant que le mieux serait idéalement d'exterminer jusqu'au dernier représentant porteur du "génome à problème", peu importe où celui-ci se trouverait : en Grèce, en Afrique, en Chine, etc.
En 1794, on parle de pacifier le pays, mettre un terme aux attaques des rebelles, briser la révolte, détruire les rebelles, exterminer les traîtres. Le comportement des troupiers ou du général en chef qui commande la troupe entrant dans le pays des rebelles, en 1794, il est assimilable à celui des troupiers de l'armée fédérale des États-Unis et de leur commandant en chef quand ils entreront dans le pays des indiens rebelles. Il n'y a pas de plan spécifique, rien déterminé à l'avance, et rien qui consisterait à devoir exterminer totalement le moindre indien rencontré, et si possible tous les indiens du nord de l'Amérique au simple motif qu'ils seront des indiens ("Le seul bon indien est un indien mort", blabla ... paroles creuses).
Les révolutionnaires de 1794, férus de modernité, fiers du formidable bond en avant et progrès que leur nation ferait faire à toute l'humanité (de grands amateurs de libéralisme politique; "liberté, égalité, fraternité") , ils se rapprochent des patriotes américains nés de la cuisse de Washington. On ne parle pas de génocidaires, mais tout au plus [u]d'intolérants capables de rager[/u], de bouillir, face à un nid de résistants menaçant d'entraver la marche du progrès, le développement du pays dans le bon sens. On souhaite éliminer un obstacle qui empêcherait un bon contrôle sur le territoire.
La méthode éliminationniste ne fait pas partie en soi de la doctrine politique des libéraux révolutionnaires, contrairement à la doctrine des bolchéviques (économique) ou des nazis (raciale). Les libéraux peuvent traiter, tracter, négocier, acheter.