par mikado » ven. 22 juin 2012, 11:44
ti,hamo,
J'entends par tout remettre en question , du fondement de nos croyances a notre vie quotidienne , du fonctionnement de l'univers à la réalité sur les écritures , du but de nos existences aux règles et lois auxquels l'homme appartient....
C'est chacune de ces questions qui sont soulevés et éclaircies.
Je me permets de poster un passage du livre , bien que sorti de son ensemble , il est assez parlant de lui-meme , après, ce que vous recherchez plus en amont , vous le trouverez en le lisant.
Donc voici :
- [+] Texte masqué
- "16
Les bases de la connaissance
(1) Lorsque vint le moment de la naissance de l’homme, Dieu ne forma pas un couple unique sur un seul continent, mais plusieurs couples en tous pays, sous toutes les latitudes et en fonction du climat du moment. Nous comprendrons cela avec les déplacements de la Terre qui se firent après l’éclairement du Soleil. Car c’est en fin des va-et-vient, c’est-à-dire en fin des ères qui devaient d’abord se dérouler pour que la Terre devienne l’un des magnifiques jardins du ciel, que Dieu acheva de bâtir le monde par l’homme qu’il créa dans quatre couleurs.
Adam et Ève
(2) Sur cette formation des hommes qui eut lieu au sixième jour, il est écrit :
Dieu créa l’homme à son image, il le créa à l’image de Dieu, il créa l’homme et la femme.
Quand on évoque l’homme et la femme, on évoque tous les hommes et toutes les femmes. Or, il est bien dit dans l’Écriture que Dieu créa l’homme et la femme, et non qu’il créa un seul homme et une seule femme desquels descendrait toute l’humanité. Non, Adam et Eve ne sont nullement ce couple originel auquel vous croyez, mais le nom de l’homme masculin et féminin depuis les commencements jusqu’à ce jour, et pour toujours.
(3) Il est écrit aussi qu’Eve est la mère de tous les vivants, parce que la femme est effectivement la mère de tous les hommes. Mais aucun genre d’êtres vivants ne peut descendre d’un seul couple, car la consanguinité s’y oppose formellement. C’est pourquoi, lorsqu’un couple fut créé au moment favorable, d’autres couples de même genre furent créés pareillement, un peu plus loin et en même temps, à partir d’éléments semblables et propices à leur vie.
(4) Cessez alors de croire que toute l’humanité descend d’un seul couple. Dieu condamne fortement l’inceste, cet acte immoral qui est l’un des plus grands facteurs de dégénérescence. Pourquoi aurait-il alors obligé ses enfants à commettre un tel péché aux origines ? Revoyez plutôt vos jugements sur les commencements de l’humanité ; car, à cause des religions, vos pensées sur la création ne sont point imprégnées de dignité.
Le péché d’Adam
(5) Dès après qu’il eut créé le monde, Dieu défendit à l’homme de manger de l’arbre de la connaissance du bien et du mal, parce que ce n’était point encore l’heure où il pouvait discerner l’un l’autre. Il lui intima cet ordre :
Tu pourras manger de tous les arbres du jardin ; mais tu ne mangeras pas de l’arbre de la connaissance du bien et du mal, car le jour où tu en mangeras, tu mourras.
A la suite de quoi, le serpent dit à la femme :
Vous ne mourrez point ; mais Dieu sait que, le jour où vous en mangerez, vos yeux s’ouvriront, et que vous serez comme des dieux, connaissant le bien et le mal.
Séduite par ces paroles prometteuses du serpent, la femme mangea du fruit de l’arbre de la connaissance. Elle en donna aussi à son mari, et il en mangea. Cela mit Dieu en colère, et Il réprimanda la femme. Puis Il dit au serpent :
Je mettrai inimitié entre toi et la femme, entre ta postérité et sa postérité : celle-ci t’écrasera la tête, et tu la blesseras au talon.
Il réprimanda aussi l’homme. Puis Dieu vêtit Adam et Eve (aujourd’hui avec la connaissance). Après quoi Il dit :
Voici, l’homme est devenu comme l’un de nous, pour la connaissance du bien et du mal. Empêchons-le maintenant d’avancer sa main, de prendre de l’arbre de vie, d’en manger, et de vivre éternellement.
(6) Toute l’histoire de l’humanité est exprimée dans ces quelques paroles du livre. On voit aussi que Dieu est l’immense esprit composé de l’esprit de tous les anges de l’univers, car Dieu dit : voici que l’homme est devenu comme l’un de nous. On voit également que l’une des raisons d’être de l’homme est la vie éternelle qu’il doit acquérir par élévation spirituelle. C’est pour cela que Dieu dit : empêchons-le maintenant... ce qui n’est point une interdiction, mais le renforcement du mérite de celui qui sera victorieux de l’épreuve de l’instruction. Si donc je vous ressuscite, vous serez victorieux et vous ne pourrez plus mourir.
(7) L’Écriture dit que Dieu plaça l’homme dans le jardin pour le cultiver et le garder. Mais l’homme le détruit, parce qu’il transgresse l’ordre que Dieu lui a donné. Il n’aurait point dû écouter la femme qui, après avoir entendu le serpent, crut que l’on vit éternellement quoi que l’on fasse. C’est pourquoi, voulant toujours plus, elle a incité l’homme à manger de l’arbre de la connaissance. Et pour lui plaire, il fit des choses qu’il n’aurait point dû faire, cela conduisant à la fin du monde. Voilà ce que fut le péché d’Adam, le péché de l’homme ! Ce fameux péché originel s’est perpétré jusqu’ici, parce qu’en n’ayant pas encore en lui le discernement du bien et du mal, l’homme a pratiqué tout ce qui ne doit plus jamais être pratiqué. Il a agi en étant à côté de la vérité et non dans la vérité. Et, aujourd’hui où il apprend cette vérité, il en meurt ; parce qu’il voit que ses oeuvres sont mauvaises et qu’elles vont lui retomber dessus. C’est pourquoi Dieu dit à l’homme : le jour où tu mangeras de l’arbre de la connaissance, tu mourras. Cela s’effectue, parce que ce jour-là on voit que le monde est fini et que l’on sait exactement pourquoi il est fini. C’est donc l’homme ancien qui meurt avec le monde qu’il a bâti, pour laisser place à l’homme nouveau et au règne de Dieu.
(8) Mais, parce qu’elle enfante comme la Terre, en prolongeant ainsi l’oeuvre du Créateur, la femme crut que l’homme ne serait point châtié s’il désobéissait à Dieu. Elle pensait au contraire, et comme le serpent le lui a dit, qu’au terme des six jours où le monde apprendrait la vérité, tous les hommes et toutes les femmes ouvriraient les yeux et seraient comme des dieux connaissant le bien et le mal. Elle ne saisit manifestement pas l’avertissement de Dieu, et se laissa aisément séduire par les paroles prometteuses du serpent. Il s’agit évidemment d’une allégorie là aussi (car les serpents ne parlent pas), pour montrer que, durant les ténèbres, l’homme n’écoute point Dieu son Créateur. Aussi, le monde qu’il bâtit est un monde de plus en plus douloureux.
(9) On remarque qu’il y a bien eut inimitié entre la postérité du serpent (tout ce que la Terre produit) et la postérité de la femme (les hommes), car ces derniers sont irrespectueux de la création et détruisent tout, en sachant qu’ils condamnent leurs propres enfants. C’est donc aujourd’hui que la femme écrase la tête du serpent et qu’elle en est blessée, parce qu’elle voit enfin que c’est à cause de lui que l’opprobre est tombé sur elle et qu’elle fut mise hors du camp (hors du monde) durant des siècles. Mais, au soir du monde, sa pénitence est finie ; car Dieu la rappelle pour lui enlever son opprobre pour toujours.
(10) L’Écriture dit aussi que l’homme s’attachera à sa femme et qu’ils deviendront ensemble une seule chair. Cela, parce que lorsque Adam et Eve sont attachés par les liens de l’amour, il s’établit entre eux la communion de leur être, qui est le mariage de leurs corps et de leurs coeurs. C’est alors qu’ils ne font qu’un. Mais vous qui croyez encore que le péché originel est un péché de chair, avez-vous lu quelque part dans l’Écriture que Dieu punit Adam et Eve pour s’être connus ? Non, le péché originel n’est nullement dû à l’acte de chair, mais à la désobéissance de l’homme envers son Créateur qui lui avait défendu de manger de l’arbre de la connaissance.
(11) La tournure qu’a pris ce péché dans vos pensées est due à l’esprit pervers des chefs religieux qui ne peuvent s’empêcher de voir la femme corrompue à cause d’Eve qui fut séduite par le serpent. Redoutant alors de se souiller avec les femmes, non seulement ils les dénigrent et les repoussent, mais encore ils sont parvenus à faire croire au monde entier que le péché originel était dû à l’union corporelle de l’homme et de sa femme ! Ils vous ont mis ce mensonge en tête pour vous culpabiliser, afin de régner sur vous ; et ce qui en résulte est infamant ! Je vous le dis, connaissant leur affaire, rien ne manque dans leurs propos, pas même de rendre le Créateur détestable qui aurait créé la femme de sorte qu’elle soit un piège pour l’homme, alors quelle est sa récompense, son honneur et un don de Dieu. Avec les scientifiques, qui vous font croire que vous êtes les enfants du chaos et des singes en évolution, ces sépulcres blanchis sont vos pires ennemis car, eux, ajoutent que les enfants naissent depuis toujours du péché.
(12) Je vois que la vision que vous avez d’Adam et Eve et du serpent, ainsi que de toute la prophétie, ne dépasse pas celles des petits enfants que les religieux éduquent avec des images, en leur faisant croire que l’Écriture se lit dans le sens de la lettre. Pourrez-vous alors me suivre ou persisterez-vous dans vos croyances insensées ? Écoutez ! Jusqu’à ce que Dieu appelle l’homme sur le soir, l’homme est nu (c’est-à-dire qu’il ne sait rien) et n’en a point honte. Mais dès qu’il est instruit par l’Éternel (que sa nudité est couverte) et que ses yeux s’ouvrent, il prend conscience de la réalité. Il voit alors ce qu’il n’avait vu, parce qu’il naît une deuxième fois. C’est pourquoi, lorsqu’il se lève, Adam marque à la fois l’achèvement du temps de l’ignorance et le commencement du temps de la connaissance. Ainsi, et comme l’Écriture en témoigne, on meurt en Adam et on renaît en Christ. Ce qui est le changement de l’homme et du monde, ainsi que l’accomplissement de la prophétie.
Le sein de la naissance
(13) Il convient donc aujourd’hui de saisir la science de l’Éternel, pour avoir une représentation plus exacte de la création et de son devenir. Sinon, vers quoi faudrait-il orienter nos recherches pour savoir qui nous sommes et comment nous devons vivre ? Et qu’espérerions-nous trouver ? Assurément, la création est liée aux choses sidérales, aux astres. Or, puisque nous existons avec un corps de chair et une âme au sein de l’univers, nous en concluons forcément que cet univers duquel nous descendons est ainsi fait. Nous sommes bien enfants de l’univers et enfants des astres qui sont pensés, conçus et créés pour notre arrivée.
(14) Quant à la procréation, elle s’entend par le sein des êtres vivants dans lequel se recréent les conditions originelles de naissance permettant la progéniture. Mais la création originelle (qui survient autour de chaque étoile), ainsi que la procréation qui s’en suit, se font toujours par l’Esprit qui remplit tout l’univers, où que l’on soit en lui. C’est toujours l’oeuvre du Créateur car, contrairement à ce qui se dit, la créature ne donne point la vie. Elle recrée seulement et involontairement dans son sein les conditions originelles de naissance avec lesquelles l’enfant paraît à son tour. C’est pourquoi la création d’abord et la procréation ensuite sont toujours l’oeuvre du Créateur et un même mouvement de naissance.
(15) Dieu n’a pas créé le monde une fois pour toutes, car il le crée constamment et sans discontinuer. Et il en sera toujours ainsi, à chaque instant qui passe. Toutefois, pour se représenter entièrement ce mouvement constant de création et de naissance, pensez que le sein de la créature est tiré du sein de la Terre, que le sein de la Terre est tiré de celui de la Galaxie qui est entièrement habitée, et que le sein de cette dernière est tiré de celui de l’univers qui est également habité par des myriades de galaxies analogues à la nôtre. C’est pourquoi l’Écriture dit :
Tout ce qui existe sur la terre existe dans le ciel, et tout ce qui existe dans le ciel existe sur la terre.
(16) Lorsqu’on crée un outil, c’est par besoin. Et lorsqu’on l’utilise, ce besoin disparaît. On ne le crée donc pas deux fois. Pareillement, le Tout-Puissant forme les astres par sa science ; puis, à partir des conditions de vie qu’ils offrent, il crée toutes les espèces successives jusqu’à l’homme, pour que l’homme soit sa demeure. Sur Terre, comme sur chaque nouvelle terre de la Galaxie, Dieu crée les hommes de sorte qu’ils se multiplient ensuite eux-mêmes, en étant responsables de leur postérité. Pour se représenter cela, prenons ces exemples : comme la forêt ne peut exister sans les arbres qui la composent ni ces derniers sans la forêt où ils se trouvent, ou encore : comme l’astre ne peut exister sans les particules qui le constituent ni ces dernières sans l’astre où elles se forment, Dieu n’existe point sans les hommes ni ces derniers sans Dieu. Mais la forêt est plus grande que les arbres, l’astre est plus grand que les particules, et Dieu est plus grand que les hommes qui lui servent de demeure partout dans son univers. Ce sont là les dimensions de Dieu et celles des hommes !
Les évidences de l’existence
(17) Lorsqu’on explique à quelqu’un l’ouvrage que l’on vient de faire, on lui montre pourquoi et de quelle manière on l’a fait. Mais pour être entièrement juste dans les domaines de la science, il est nécessaire d’expliquer pourquoi l’homme existe tel qu’il est avec son esprit duquel son oeuvre sort. L’oeuvre d’un homme montre en elle-même celui qui l’a faite, les deux étant indissociables. L’homme produit des oeuvres selon ses besoins. Mais d’aucune façon il ne fait la science qui l’a fait lui-même. Je vous demande alors de constater que ce qui sort de vos mains vient de votre esprit, et que vous-mêmes êtes forcément le fruit d’un esprit plus grand. Ce grand esprit c’est Dieu, l’esprit céleste qui remplit tout l’univers au milieu duquel les astres évoluent.
(18) Puisque les oeuvres humaines ne sont point conçues et créées par hasard (involontairement) mais par pure volonté, l’homme ne peut être en soi le fruit du hasard, sinon le hasard s’arrêterait à lui forcément ! Comment comprendriez-vous qu’une maison soit le fruit de la volonté de l’homme qui l’a bâtie à dessein, et que l’homme, lui, soit le fruit du hasard ? Mais pour créer un homme il faut plus d’intelligence que pour faire les oeuvres qui sortent de ses mains. Et puisque c’est à dessein que l’on fait un ouvrage, on est soi-même fait à dessein. Et le dessein du Créateur est celui de faire venir les hommes pour qu’ils soient chacun Sa propre existence et vivent tout le chemin de la vie, tel qu’il est conçu dans la deuxième partie du livre. Entendez ici que le propre de l’homme c’est de pouvoir saisir la science par laquelle il existe, pour devenir éternel.
(19) Il est pareillement incontestable que si l’on désire expliquer l’existence d’une maison, ainsi que les matériaux qui furent nécessaires à sa construction, on devra au préalable démontrer l’univers entier avec tous ses éléments. C’est-à-dire qu’on devra expliquer les étoiles, les planètes et leurs satellites qui composent les galaxies ; cela, en démontrant l’électromagnétisme par lequel ces astres existent et évoluent. Il en sera ainsi jusqu’à la formation de la Terre, de ses continents, de son eau, et des ères nécessaires à la création des espèces successives jusqu’à l’apparition des hommes et de soi-même au jour où l’on contemple cette maison. Vous le voyez, il faut percevoir le tout avant d’en arriver à la compréhension de soi et de l’oeuvre que l’on fait.
(20) Cela signifie également qu’on ne peut comprendre une chose ou un être à partir de ce que l’on observe d’eux. Non, on ne peut pas expliquer la Terre à partir de la Terre, ni le Soleil à partir du Soleil, ni l’homme à partir de l’homme ! On ne peut le faire qu’à partir des éléments qui amènent leur existence. Dans la deuxième partie du livre vous saisirez ces paroles. Car, comme une figure fort complexe peut être représentée par une esquisse fort simple, je montrerai aux yeux de tous la figure complexe de l’univers avec peu de traits. Et là vous comprendrez qu’il suffit de connaître l’essentiel pour être sur la voie, mais qui ne peut se révéler qu’avec des évidences indéniables, susceptibles d’aucune démonstration. La première de ces évidences, à l’origine de tout raisonnement, est celle-ci : puisque nous sommes tirés de l’univers et vivants, c’est que l’univers est lui-même vivant. Car il va de soi que ce qui est vivant ne peut naître de ce qui ne l’est pas...
(21) Alors l’on dira : la matière est donc vivante ? Effectivement, la matière est vivante et les astres le sont. Mais les astres ont leur vie d’astre. Les plantes ont leur vie de plante. Les animaux ont celle de leur espèce ; et les hommes, qui sont le tout, ont en eux la vie de Dieu. Si je dis ici que l’esprit qui vous anime est une activité électromagnétique découlant de celle des astres et des particules qui les composent, ainsi que des mondes vivants, vous ne pouvez encore savoir de quoi je parle. Mais progressivement je vous le ferai saisir, en vous montrant que l’univers entier est une activité électromagnétique qui est à la fois : force, corps et esprit de l’Éternel. Alors tout s’éclairera en vous.
Voila , je penses que ce passage est assez éloquent.
Pour Coeurderoy , je vous répondrais que selon moi , l'Evangile est une des plus belles choses qui est été écrites , mais qui malheureusement reste visiblement insuffisante quand a détourné l'homme de ses mauvaises voies , et je ne partages pas cette idée que tout ce qui n'est pas autorisé par une autorité religieuse n'est pas viable , pour moi l'homme n'a à se soumettre qu'à son Créateur par respect pour son Oeuvre ,aucunement à des personnes autoproclamés chef , qu'ils soient religieux ou poltiques.
Et une église ne représente pas à mon sens la meilleure façon de façonner sa foi , ce serait réduire Dieu à une institution ce qu'IL n'est pas.
Pour le reste , je suis convaincu que c'est au contraire en se tournant vers un changement radicale que l'homme peut espérer sauver son ame , car à continuer a marcher aveuglement et idiotement vers une fin toujours plus proche , je crains que le réveil se fasse trop tard pour beaucoup , même en église.
ti,hamo,
J'entends par tout remettre en question , du fondement de nos croyances a notre vie quotidienne , du fonctionnement de l'univers à la réalité sur les écritures , du but de nos existences aux règles et lois auxquels l'homme appartient....
C'est chacune de ces questions qui sont soulevés et éclaircies.
Je me permets de poster un passage du livre , bien que sorti de son ensemble , il est assez parlant de lui-meme , après, ce que vous recherchez plus en amont , vous le trouverez en le lisant.
Donc voici :
[spoiler]"[color=#0000FF]16
[b]Les bases de la connaissance[/b]
(1) Lorsque vint le moment de la naissance de l’homme, Dieu ne forma pas un couple unique sur un seul continent, mais plusieurs couples en tous pays, sous toutes les latitudes et en fonction du climat du moment. Nous comprendrons cela avec les déplacements de la Terre qui se firent après l’éclairement du Soleil. Car c’est en fin des va-et-vient, c’est-à-dire en fin des ères qui devaient d’abord se dérouler pour que la Terre devienne l’un des magnifiques jardins du ciel, que Dieu acheva de bâtir le monde par l’homme qu’il créa dans quatre couleurs.
[b]Adam et Ève[/b]
(2) Sur cette formation des hommes qui eut lieu au sixième jour, il est écrit :
[i]Dieu créa l’homme à son image, il le créa à l’image de Dieu, il créa l’homme et la femme[/i].
Quand on évoque l’homme et la femme, on évoque tous les hommes et toutes les femmes. Or, il est bien dit dans l’Écriture que Dieu créa l’homme et la femme, et non qu’il créa un seul homme et une seule femme desquels descendrait toute l’humanité. Non, Adam et Eve ne sont nullement ce couple originel auquel vous croyez, mais le nom de l’homme masculin et féminin depuis les commencements jusqu’à ce jour, et pour toujours.
(3) Il est écrit aussi qu’Eve est la mère de tous les vivants, parce que la femme est effectivement la mère de tous les hommes. Mais aucun genre d’êtres vivants ne peut descendre d’un seul couple, car la consanguinité s’y oppose formellement. C’est pourquoi, lorsqu’un couple fut créé au moment favorable, d’autres couples de même genre furent créés pareillement, un peu plus loin et en même temps, à partir d’éléments semblables et propices à leur vie.
(4) Cessez alors de croire que toute l’humanité descend d’un seul couple. Dieu condamne fortement l’inceste, cet acte immoral qui est l’un des plus grands facteurs de dégénérescence. Pourquoi aurait-il alors obligé ses enfants à commettre un tel péché aux origines ? Revoyez plutôt vos jugements sur les commencements de l’humanité ; car, à cause des religions, vos pensées sur la création ne sont point imprégnées de dignité.
[b]Le péché d’Adam[/b]
(5) Dès après qu’il eut créé le monde, Dieu défendit à l’homme de manger de l’arbre de la connaissance du bien et du mal, parce que ce n’était point encore l’heure où il pouvait discerner l’un l’autre. Il lui intima cet ordre :
[i]Tu pourras manger de tous les arbres du jardin ; mais tu ne mangeras pas de l’arbre de la connaissance du bien et du mal, car le jour où tu en mangeras, tu mourras.[/i]
A la suite de quoi, le serpent dit à la femme :
[i]Vous ne mourrez point ; mais Dieu sait que, le jour où vous en mangerez, vos yeux s’ouvriront, et que vous serez comme des dieux, connaissant le bien et le mal.[/i]
Séduite par ces paroles prometteuses du serpent, la femme mangea du fruit de l’arbre de la connaissance. Elle en donna aussi à son mari, et il en mangea. Cela mit Dieu en colère, et Il réprimanda la femme. Puis Il dit au serpent :
[i]Je mettrai inimitié entre toi et la femme, entre ta postérité et sa postérité : celle-ci t’écrasera la tête, et tu la blesseras au talon.[/i]
Il réprimanda aussi l’homme. Puis Dieu vêtit Adam et Eve (aujourd’hui avec la connaissance). Après quoi Il dit :
[i]Voici, l’homme est devenu comme l’un de nous, pour la connaissance du bien et du mal. Empêchons-le maintenant d’avancer sa main, de prendre de l’arbre de vie, d’en manger, et de vivre éternellement.[/i]
(6) Toute l’histoire de l’humanité est exprimée dans ces quelques paroles du livre. On voit aussi que Dieu est l’immense esprit composé de l’esprit de tous les anges de l’univers, car Dieu dit : voici que l’homme est devenu comme l’un de nous. On voit également que l’une des raisons d’être de l’homme est la vie éternelle qu’il doit acquérir par élévation spirituelle. C’est pour cela que Dieu dit : empêchons-le maintenant... ce qui n’est point une interdiction, mais le renforcement du mérite de celui qui sera victorieux de l’épreuve de l’instruction. Si donc je vous ressuscite, vous serez victorieux et vous ne pourrez plus mourir.
(7) L’Écriture dit que Dieu plaça l’homme dans le jardin pour le cultiver et le garder. Mais l’homme le détruit, parce qu’il transgresse l’ordre que Dieu lui a donné. Il n’aurait point dû écouter la femme qui, après avoir entendu le serpent, crut que l’on vit éternellement quoi que l’on fasse. C’est pourquoi, voulant toujours plus, elle a incité l’homme à manger de l’arbre de la connaissance. Et pour lui plaire, il fit des choses qu’il n’aurait point dû faire, cela conduisant à la fin du monde. Voilà ce que fut le péché d’Adam, le péché de l’homme ! Ce fameux péché originel s’est perpétré jusqu’ici, parce qu’en n’ayant pas encore en lui le discernement du bien et du mal, l’homme a pratiqué tout ce qui ne doit plus jamais être pratiqué. Il a agi en étant à côté de la vérité et non dans la vérité. Et, aujourd’hui où il apprend cette vérité, il en meurt ; parce qu’il voit que ses oeuvres sont mauvaises et qu’elles vont lui retomber dessus. C’est pourquoi Dieu dit à l’homme : le jour où tu mangeras de l’arbre de la connaissance, tu mourras. Cela s’effectue, parce que ce jour-là on voit que le monde est fini et que l’on sait exactement pourquoi il est fini. C’est donc l’homme ancien qui meurt avec le monde qu’il a bâti, pour laisser place à l’homme nouveau et au règne de Dieu.
(8) Mais, parce qu’elle enfante comme la Terre, en prolongeant ainsi l’oeuvre du Créateur, la femme crut que l’homme ne serait point châtié s’il désobéissait à Dieu. Elle pensait au contraire, et comme le serpent le lui a dit, qu’au terme des six jours où le monde apprendrait la vérité, tous les hommes et toutes les femmes ouvriraient les yeux et seraient comme des dieux connaissant le bien et le mal. Elle ne saisit manifestement pas l’avertissement de Dieu, et se laissa aisément séduire par les paroles prometteuses du serpent. Il s’agit évidemment d’une allégorie là aussi (car les serpents ne parlent pas), pour montrer que, durant les ténèbres, l’homme n’écoute point Dieu son Créateur. Aussi, le monde qu’il bâtit est un monde de plus en plus douloureux.
(9) On remarque qu’il y a bien eut inimitié entre la postérité du serpent (tout ce que la Terre produit) et la postérité de la femme (les hommes), car ces derniers sont irrespectueux de la création et détruisent tout, en sachant qu’ils condamnent leurs propres enfants. C’est donc aujourd’hui que la femme écrase la tête du serpent et qu’elle en est blessée, parce qu’elle voit enfin que c’est à cause de lui que l’opprobre est tombé sur elle et qu’elle fut mise hors du camp (hors du monde) durant des siècles. Mais, au soir du monde, sa pénitence est finie ; car Dieu la rappelle pour lui enlever son opprobre pour toujours.
(10) L’Écriture dit aussi que l’homme s’attachera à sa femme et qu’ils deviendront ensemble une seule chair. Cela, parce que lorsque Adam et Eve sont attachés par les liens de l’amour, il s’établit entre eux la communion de leur être, qui est le mariage de leurs corps et de leurs coeurs. C’est alors qu’ils ne font qu’un. Mais vous qui croyez encore que le péché originel est un péché de chair, avez-vous lu quelque part dans l’Écriture que Dieu punit Adam et Eve pour s’être connus ? Non, le péché originel n’est nullement dû à l’acte de chair, mais à la désobéissance de l’homme envers son Créateur qui lui avait défendu de manger de l’arbre de la connaissance.
(11) La tournure qu’a pris ce péché dans vos pensées est due à l’esprit pervers des chefs religieux qui ne peuvent s’empêcher de voir la femme corrompue à cause d’Eve qui fut séduite par le serpent. Redoutant alors de se souiller avec les femmes, non seulement ils les dénigrent et les repoussent, mais encore ils sont parvenus à faire croire au monde entier que le péché originel était dû à l’union corporelle de l’homme et de sa femme ! Ils vous ont mis ce mensonge en tête pour vous culpabiliser, afin de régner sur vous ; et ce qui en résulte est infamant ! Je vous le dis, connaissant leur affaire, rien ne manque dans leurs propos, pas même de rendre le Créateur détestable qui aurait créé la femme de sorte qu’elle soit un piège pour l’homme, alors quelle est sa récompense, son honneur et un don de Dieu. Avec les scientifiques, qui vous font croire que vous êtes les enfants du chaos et des singes en évolution, ces sépulcres blanchis sont vos pires ennemis car, eux, ajoutent que les enfants naissent depuis toujours du péché.
(12) Je vois que la vision que vous avez d’Adam et Eve et du serpent, ainsi que de toute la prophétie, ne dépasse pas celles des petits enfants que les religieux éduquent avec des images, en leur faisant croire que l’Écriture se lit dans le sens de la lettre. Pourrez-vous alors me suivre ou persisterez-vous dans vos croyances insensées ? Écoutez ! Jusqu’à ce que Dieu appelle l’homme sur le soir, l’homme est nu (c’est-à-dire qu’il ne sait rien) et n’en a point honte. Mais dès qu’il est instruit par l’Éternel (que sa nudité est couverte) et que ses yeux s’ouvrent, il prend conscience de la réalité. Il voit alors ce qu’il n’avait vu, parce qu’il naît une deuxième fois. C’est pourquoi, lorsqu’il se lève, Adam marque à la fois l’achèvement du temps de l’ignorance et le commencement du temps de la connaissance. Ainsi, et comme l’Écriture en témoigne, on meurt en Adam et on renaît en Christ. Ce qui est le changement de l’homme et du monde, ainsi que l’accomplissement de la prophétie.
[b]Le sein de la naissance[/b]
(13) Il convient donc aujourd’hui de saisir la science de l’Éternel, pour avoir une représentation plus exacte de la création et de son devenir. Sinon, vers quoi faudrait-il orienter nos recherches pour savoir qui nous sommes et comment nous devons vivre ? Et qu’espérerions-nous trouver ? Assurément, la création est liée aux choses sidérales, aux astres. Or, puisque nous existons avec un corps de chair et une âme au sein de l’univers, nous en concluons forcément que cet univers duquel nous descendons est ainsi fait. Nous sommes bien enfants de l’univers et enfants des astres qui sont pensés, conçus et créés pour notre arrivée.
(14) Quant à la procréation, elle s’entend par le sein des êtres vivants dans lequel se recréent les conditions originelles de naissance permettant la progéniture. Mais la création originelle (qui survient autour de chaque étoile), ainsi que la procréation qui s’en suit, se font toujours par l’Esprit qui remplit tout l’univers, où que l’on soit en lui. C’est toujours l’oeuvre du Créateur car, contrairement à ce qui se dit, la créature ne donne point la vie. Elle recrée seulement et involontairement dans son sein les conditions originelles de naissance avec lesquelles l’enfant paraît à son tour. C’est pourquoi la création d’abord et la procréation ensuite sont toujours l’oeuvre du Créateur et un même mouvement de naissance.
(15) Dieu n’a pas créé le monde une fois pour toutes, car il le crée constamment et sans discontinuer. Et il en sera toujours ainsi, à chaque instant qui passe. Toutefois, pour se représenter entièrement ce mouvement constant de création et de naissance, pensez que le sein de la créature est tiré du sein de la Terre, que le sein de la Terre est tiré de celui de la Galaxie qui est entièrement habitée, et que le sein de cette dernière est tiré de celui de l’univers qui est également habité par des myriades de galaxies analogues à la nôtre. C’est pourquoi l’Écriture dit :
[i]Tout ce qui existe sur la terre existe dans le ciel, et tout ce qui existe dans le ciel existe sur la terre.[/i]
(16) Lorsqu’on crée un outil, c’est par besoin. Et lorsqu’on l’utilise, ce besoin disparaît. On ne le crée donc pas deux fois. Pareillement, le Tout-Puissant forme les astres par sa science ; puis, à partir des conditions de vie qu’ils offrent, il crée toutes les espèces successives jusqu’à l’homme, pour que l’homme soit sa demeure. Sur Terre, comme sur chaque nouvelle terre de la Galaxie, Dieu crée les hommes de sorte qu’ils se multiplient ensuite eux-mêmes, en étant responsables de leur postérité. Pour se représenter cela, prenons ces exemples : comme la forêt ne peut exister sans les arbres qui la composent ni ces derniers sans la forêt où ils se trouvent, ou encore : comme l’astre ne peut exister sans les particules qui le constituent ni ces dernières sans l’astre où elles se forment, Dieu n’existe point sans les hommes ni ces derniers sans Dieu. Mais la forêt est plus grande que les arbres, l’astre est plus grand que les particules, et Dieu est plus grand que les hommes qui lui servent de demeure partout dans son univers. Ce sont là les dimensions de Dieu et celles des hommes !
[b]Les évidences de l’existence[/b]
(17) Lorsqu’on explique à quelqu’un l’ouvrage que l’on vient de faire, on lui montre pourquoi et de quelle manière on l’a fait. Mais pour être entièrement juste dans les domaines de la science, il est nécessaire d’expliquer pourquoi l’homme existe tel qu’il est avec son esprit duquel son oeuvre sort. L’oeuvre d’un homme montre en elle-même celui qui l’a faite, les deux étant indissociables. L’homme produit des oeuvres selon ses besoins. Mais d’aucune façon il ne fait la science qui l’a fait lui-même. Je vous demande alors de constater que ce qui sort de vos mains vient de votre esprit, et que vous-mêmes êtes forcément le fruit d’un esprit plus grand. Ce grand esprit c’est Dieu, l’esprit céleste qui remplit tout l’univers au milieu duquel les astres évoluent.
(18) Puisque les oeuvres humaines ne sont point conçues et créées par hasard (involontairement) mais par pure volonté, l’homme ne peut être en soi le fruit du hasard, sinon le hasard s’arrêterait à lui forcément ! Comment comprendriez-vous qu’une maison soit le fruit de la volonté de l’homme qui l’a bâtie à dessein, et que l’homme, lui, soit le fruit du hasard ? Mais pour créer un homme il faut plus d’intelligence que pour faire les oeuvres qui sortent de ses mains. Et puisque c’est à dessein que l’on fait un ouvrage, on est soi-même fait à dessein. Et le dessein du Créateur est celui de faire venir les hommes pour qu’ils soient chacun Sa propre existence et vivent tout le chemin de la vie, tel qu’il est conçu dans la deuxième partie du livre. Entendez ici que le propre de l’homme c’est de pouvoir saisir la science par laquelle il existe, pour devenir éternel.
(19) Il est pareillement incontestable que si l’on désire expliquer l’existence d’une maison, ainsi que les matériaux qui furent nécessaires à sa construction, on devra au préalable démontrer l’univers entier avec tous ses éléments. C’est-à-dire qu’on devra expliquer les étoiles, les planètes et leurs satellites qui composent les galaxies ; cela, en démontrant l’électromagnétisme par lequel ces astres existent et évoluent. Il en sera ainsi jusqu’à la formation de la Terre, de ses continents, de son eau, et des ères nécessaires à la création des espèces successives jusqu’à l’apparition des hommes et de soi-même au jour où l’on contemple cette maison. Vous le voyez, il faut percevoir le tout avant d’en arriver à la compréhension de soi et de l’oeuvre que l’on fait.
(20) Cela signifie également qu’on ne peut comprendre une chose ou un être à partir de ce que l’on observe d’eux. Non, on ne peut pas expliquer la Terre à partir de la Terre, ni le Soleil à partir du Soleil, ni l’homme à partir de l’homme ! On ne peut le faire qu’à partir des éléments qui amènent leur existence. Dans la deuxième partie du livre vous saisirez ces paroles. Car, comme une figure fort complexe peut être représentée par une esquisse fort simple, je montrerai aux yeux de tous la figure complexe de l’univers avec peu de traits. Et là vous comprendrez qu’il suffit de connaître l’essentiel pour être sur la voie, mais qui ne peut se révéler qu’avec des évidences indéniables, susceptibles d’aucune démonstration. La première de ces évidences, à l’origine de tout raisonnement, est celle-ci : puisque nous sommes tirés de l’univers et vivants, c’est que l’univers est lui-même vivant. Car il va de soi que ce qui est vivant ne peut naître de ce qui ne l’est pas...
(21) Alors l’on dira : la matière est donc vivante ? Effectivement, la matière est vivante et les astres le sont. Mais les astres ont leur vie d’astre. Les plantes ont leur vie de plante. Les animaux ont celle de leur espèce ; et les hommes, qui sont le tout, ont en eux la vie de Dieu. Si je dis ici que l’esprit qui vous anime est une activité électromagnétique découlant de celle des astres et des particules qui les composent, ainsi que des mondes vivants, vous ne pouvez encore savoir de quoi je parle. Mais progressivement je vous le ferai saisir, en vous montrant que l’univers entier est une activité électromagnétique qui est à la fois : force, corps et esprit de l’Éternel. Alors tout s’éclairera en vous.[/color][/spoiler]
Voila , je penses que ce passage est assez éloquent.
Pour Coeurderoy , je vous répondrais que selon moi , l'Evangile est une des plus belles choses qui est été écrites , mais qui malheureusement reste visiblement insuffisante quand a détourné l'homme de ses mauvaises voies , et je ne partages pas cette idée que tout ce qui n'est pas autorisé par une autorité religieuse n'est pas viable , pour moi l'homme n'a à se soumettre qu'à son Créateur par respect pour son Oeuvre ,aucunement à des personnes autoproclamés chef , qu'ils soient religieux ou poltiques.
Et une église ne représente pas à mon sens la meilleure façon de façonner sa foi , ce serait réduire Dieu à une institution ce qu'IL n'est pas.
Pour le reste , je suis convaincu que c'est au contraire en se tournant vers un changement radicale que l'homme peut espérer sauver son ame , car à continuer a marcher aveuglement et idiotement vers une fin toujours plus proche , je crains que le réveil se fasse trop tard pour beaucoup , même en église.