Madeleine Delbrel écrivait que la vrai misère était l'absence d'un vrai prêtre c est à dire un prêtre en qui nous retrouvions àl'image du Christ une vrai vie d'homme et une vraie vie divine. Prions pour nos prêtres !
Que nos prêtres soient des pères et des signes de la présence de Dieu en chacun.
"
la prière : il y a des prêtres qu’on ne voit jamais prier (ce qui s’appelle prier) ;
la joie : que de prêtres affairés, angoissés !
la force : le prêtre doit être celui qui tient.
Sensible, vibrant, mais jamais écroulé ;
la liberté : on le veut libre de toute formule, libéré de tout préjugé ;
le désintéressement : on se sent parfois utilisé par lui, au lieu qu’il nous aide à remplir notre mission;
la discrétion : il doit être celui qui se tait (on perd espoir en celui qui nous fait trop de confidences) ;
la vérité : qu’il soit celui qui dit toujours la vérité ;
la pauvreté : c’est essentiel. Quelqu’un qui est libre vis-à-vis de l’argent ; qui ressent comme une « loi de pesanteur » qui l’entraine instinctivement vers les plus petits, vers les pauvres ; le sens de l’Eglise enfin : qu’il ne parle jamais de l’Eglise à la légère, comme étant du dehors ! un fils est tout de suite jugé, qui se permet de juger sa mère…"
Merci à nos prêtres qui essaientde tout leur coeur d'être des vrais prêtres comme le Christ !
Ceux qui ont rencontré père fulco ont reçu une vrai richesse, celle qui laisse un goût du bonheur de recevoir de la bonté, avec une bonne dose d'humilité et beaucoup d'humour. Un immense merci à père Fulco qui a été un vrai prêtre
udp
nad
Madeleine Delbrel écrivait que la vrai misère était l'absence d'un vrai prêtre c est à dire un prêtre en qui nous retrouvions àl'image du Christ une vrai vie d'homme et une vraie vie divine. Prions pour nos prêtres !
Que nos prêtres soient des pères et des signes de la présence de Dieu en chacun.
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la prière : il y a des prêtres qu’on ne voit jamais prier (ce qui s’appelle prier) ;
la joie : que de prêtres affairés, angoissés !
la force : le prêtre doit être celui qui tient.
Sensible, vibrant, mais jamais écroulé ;
la liberté : on le veut libre de toute formule, libéré de tout préjugé ;
le désintéressement : on se sent parfois utilisé par lui, au lieu qu’il nous aide à remplir notre mission;
la discrétion : il doit être celui qui se tait (on perd espoir en celui qui nous fait trop de confidences) ;
la vérité : qu’il soit celui qui dit toujours la vérité ;
la pauvreté : c’est essentiel. Quelqu’un qui est libre vis-à-vis de l’argent ; qui ressent comme une « loi de pesanteur » qui l’entraine instinctivement vers les plus petits, vers les pauvres ; le sens de l’Eglise enfin : qu’il ne parle jamais de l’Eglise à la légère, comme étant du dehors ! un fils est tout de suite jugé, qui se permet de juger sa mère…"
Merci à nos prêtres qui essaientde tout leur coeur d'être des vrais prêtres comme le Christ !
Ceux qui ont rencontré père fulco ont reçu une vrai richesse, celle qui laisse un goût du bonheur de recevoir de la bonté, avec une bonne dose d'humilité et beaucoup d'humour. Un immense merci à père Fulco qui a été un vrai prêtre :ange:
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