par bidouilleurs » mar. 28 janv. 2014, 18:27
Avant de rencontrer Dieu, je creusais ma propre tombe, je la fleurissais avec des branches sèches, je ne pouvais l'arroser, car mes yeux ne connaissaient plus la douceur des larmes.
Avant de rencontrer Dieu, je nageais dans les eaux troubles du néant, je dormais dans les bras d'une agonie sans sauveur, j'aimais sans lendemain des morceaux de rien ramassés au bord d'une route sans devenir.
Avant de rencontrer Dieu, j'étais l'esclave d'un mauvais récit de vie, la terre m'avait tout enlevé et je passais mon temps à ne jamais vouloir la rencontrer autrement que comme elle m'avait été donné.
Avant de rencontrer Dieu, je ne pouvais pardonner à mes bourreaux la vie qu'ils m'avaient prises, je passais mon temps à les retrouver en m'écorchant contre le souvenir douloureux qu'ils avaient laissé sur mon corps.
Puis un jour, alors que j'étais arrivée au sommet de la destruction, je suis passée devant ce que l'on appelle une église, la porte était ouverte.
Je suis arrivée devant Celui que les chrétiens appellent Jésus, je ne connaissais rien de lui, chez moi il s'appelait Mahomet, mais je m'en fichais, je n'étais pas venue chercher Dieu, j'étais venue dire à Dieu que jamais mes genoux ne toucheront le sol. A cet instant, je m'effondrais par terre et de mes entrailles sorti un cri intérieur qui disait : " Sauve-moi".
Je venais de rencontrer Dieu, il passa la main à un prêtre parce qu'il aime réaliser ses paroles de salut en compagnie des hommes.
Long, fût le chemin du retour, mais Dieu avait pourvu à tout pour que je puisse revenir au milieu des hommes prendre ma place de servante.
L'humilité de Dieu m'a sauvé le jour où du haut de mon orgueil je venais défigurer son visage.
L'humilité de Dieu a redonné à mon coeur le visage de l'amour.
Avant de rencontrer Dieu, je creusais ma propre tombe, je la fleurissais avec des branches sèches, je ne pouvais l'arroser, car mes yeux ne connaissaient plus la douceur des larmes.
Avant de rencontrer Dieu, je nageais dans les eaux troubles du néant, je dormais dans les bras d'une agonie sans sauveur, j'aimais sans lendemain des morceaux de rien ramassés au bord d'une route sans devenir.
Avant de rencontrer Dieu, j'étais l'esclave d'un mauvais récit de vie, la terre m'avait tout enlevé et je passais mon temps à ne jamais vouloir la rencontrer autrement que comme elle m'avait été donné.
Avant de rencontrer Dieu, je ne pouvais pardonner à mes bourreaux la vie qu'ils m'avaient prises, je passais mon temps à les retrouver en m'écorchant contre le souvenir douloureux qu'ils avaient laissé sur mon corps.
Puis un jour, alors que j'étais arrivée au sommet de la destruction, je suis passée devant ce que l'on appelle une église, la porte était ouverte.
Je suis arrivée devant Celui que les chrétiens appellent Jésus, je ne connaissais rien de lui, chez moi il s'appelait Mahomet, mais je m'en fichais, je n'étais pas venue chercher Dieu, j'étais venue dire à Dieu que jamais mes genoux ne toucheront le sol. A cet instant, je m'effondrais par terre et de mes entrailles sorti un cri intérieur qui disait : " Sauve-moi".
Je venais de rencontrer Dieu, il passa la main à un prêtre parce qu'il aime réaliser ses paroles de salut en compagnie des hommes.
Long, fût le chemin du retour, mais Dieu avait pourvu à tout pour que je puisse revenir au milieu des hommes prendre ma place de servante.
L'humilité de Dieu m'a sauvé le jour où du haut de mon orgueil je venais défigurer son visage.
L'humilité de Dieu a redonné à mon coeur le visage de l'amour.