par Cinci » sam. 23 juil. 2016, 5:17
Bonjour,
Il n'a jamais été question pour moi d'adapter quoi que ce soit en fonction du ressenti des incrédules, des mal-croyants ou des musulmans un coup parti (!)
Non, ce souci quant à une impression à produire pour un public déchristianisé : c'est bien Héraclius qui nous aura sorti ça. A quoi je lui ai répondu que l'on ne pouvait contrôler la nature des impressions ressenties par d'autres. Personne pourrait prétendre d'avance que le rituel d'une messe tradi devrait provoquer une bonne impression (de sacré, de sérieux, d'élévation, etc.) chez l'oncle Albert, lui dont les sentiments chrétiens sont assez mitigés, qui n'aurait pas mis le pied dans une église lors des quinze dernières années. C'est tout ce que je dis pour l'occasion.
Il n'est pas garanti que le rituel servi à la sauce préférée d'Héraclius devrait faire saliver des chrétiens de cafétéria, des progressistes, d'autres personnalités un tantinet anticléricales, ou imprégnées de féminisme et etc.
Il n'y a pas de cases vides à remplir ensuite, voyez-vous, et pour y inscrire qu'il faudrait nécessairement chercher à faire plaisir (comme si c'était mon idée) aux amateurs de yoga, pour s'adapter à un public d'âge mental de huit ans ou pour se faire accepter des abonnés de site du diocèse de Partenia.
Continuons ...
Héraclius disait que je l'enfermais dans le subjectivisme et qu'il devrait y avoir de bonnes raisons pourquoi l'ancien rite existerait. Peut-être ... mais je répondais à la remarque impressionniste initiale.
Moi-même, j'ai déjà assisté une fois à une messe de l'Ancien régime. La chose ne m'a pas renversée, pas jeté par terre, soulevé de mon banc. Je n'ai pas éprouvé.le sentiment d'atteindre la quatrième dimension, de me trouver en présence de chrétiens de qualité supérieure, de chrétiens beaucoup meilleurs que ceux de paroisses régulières. Les agenouillements devant le prêtre? Oui, et après? Banal. J'ose penser qu'avec un Padre Pio à la présidence de la messe, je risquerais d'être plus captivé. Sauf, je le serais autant avec un don Helder Camara pour présider l'office dans sa nouvelle formule.
Bonjour,
Il n'a jamais été question pour moi d'adapter quoi que ce soit en fonction du ressenti des incrédules, des mal-croyants ou des musulmans un coup parti (!)
Non, ce souci quant à une impression à produire pour un public déchristianisé : c'est bien Héraclius qui nous aura sorti ça. A quoi je lui ai répondu que l'on ne pouvait contrôler la nature des impressions ressenties par d'autres. Personne pourrait prétendre d'avance que le rituel d'une messe tradi devrait provoquer une bonne impression (de sacré, de sérieux, d'élévation, etc.) chez l'oncle Albert, lui dont les sentiments chrétiens sont assez mitigés, qui n'aurait pas mis le pied dans une église lors des quinze dernières années. C'est tout ce que je dis pour l'occasion.
Il n'est pas garanti que le rituel servi à la sauce préférée d'Héraclius devrait faire saliver des chrétiens de cafétéria, des progressistes, d'autres personnalités un tantinet anticléricales, ou imprégnées de féminisme et etc.
Il n'y a pas de cases vides à remplir ensuite, voyez-vous, et pour y inscrire qu'il faudrait nécessairement chercher à faire plaisir (comme si c'était mon idée) aux amateurs de yoga, pour s'adapter à un public d'âge mental de huit ans ou pour se faire accepter des abonnés de site du diocèse de Partenia.
Continuons ...
Héraclius disait que je l'enfermais dans le subjectivisme et qu'il devrait y avoir de bonnes raisons pourquoi l'ancien rite existerait. Peut-être ... mais je répondais à la remarque impressionniste initiale.
Moi-même, j'ai déjà assisté une fois à une messe de l'Ancien régime. La chose ne m'a pas renversée, pas jeté par terre, soulevé de mon banc. Je n'ai pas éprouvé.le sentiment d'atteindre la quatrième dimension, de me trouver en présence de chrétiens de qualité supérieure, de chrétiens beaucoup meilleurs que ceux de paroisses régulières. Les agenouillements devant le prêtre? Oui, et après? Banal. J'ose penser qu'avec un Padre Pio à la présidence de la messe, je risquerais d'être plus captivé. Sauf, je le serais autant avec un don Helder Camara pour présider l'office dans sa nouvelle formule.