heureusement qu'on a un Concile pour sortir de telles évidences...C'est vrai qu'en 1963 ans, on ne savait pas qu'il ne fallait pas réciter complies à l'heure du déjeuner...Merci aux Pères conciliaires d'enfoncer les portes ouvertes.
Vous ironisez mais ne savez-vous pas que c'était une pratique courante avant la réforme de saint Pie X, et peut-être même après ?
L'office romain était plus chargé que l'office monastique, et les prêtres enchaînaient les offices pour s'en débarasser, même conformément aux rubriques mais en les exploitant aux maximum jusqu'à l'absurdité.
Peut-on, lorsqu'on en arrive à ces situations, se demander ce qui ne va pas et rappeler les évidences qui n'en sont manifestement plus ?
Deux bémols quand même :
Je n'idéalise pas la situation ni n'absolutise pas ces textes, qui ne sont d'ailleurs pas doctrinaux dans cette partie.
La situation actuelle est qu'on a perdu d'un côté mais il faut reconnaître que l'on a gagné un peu de l'autre, c'est-à-dire l'extention plus grande chez les laïcs, ce qui était quand même rare avant.
C'est le problème quand on déplace le curseur, il va souvent trop loin.
L'office qui faisait totalement partie de la vie chrétienne au début est devenu au fil du temps un affaire de clercs strictement.
[quote]heureusement qu'on a un Concile pour sortir de telles évidences...C'est vrai qu'en 1963 ans, on ne savait pas qu'il ne fallait pas réciter complies à l'heure du déjeuner...Merci aux Pères conciliaires d'enfoncer les portes ouvertes.[/quote]
Vous ironisez mais ne savez-vous pas que c'était une pratique courante avant la réforme de saint Pie X, et peut-être même après ?
L'office romain était plus chargé que l'office monastique, et les prêtres enchaînaient les offices pour s'en débarasser, même conformément aux rubriques mais en les exploitant aux maximum jusqu'à l'absurdité.
Peut-on, lorsqu'on en arrive à ces situations, se demander ce qui ne va pas et rappeler les évidences qui n'en sont manifestement plus ?
[quote]Deux bémols quand même :[/quote]
Je n'idéalise pas la situation ni n'absolutise pas ces textes, qui ne sont d'ailleurs pas doctrinaux dans cette partie.
La situation actuelle est qu'on a perdu d'un côté mais il faut reconnaître que l'on a gagné un peu de l'autre, c'est-à-dire l'extention plus grande chez les laïcs, ce qui était quand même rare avant.
C'est le problème quand on déplace le curseur, il va souvent trop loin.
L'office qui faisait totalement partie de la vie chrétienne au début est devenu au fil du temps un affaire de clercs strictement.