par nano » jeu. 29 févr. 2024, 10:10
Bonjour
Sur le chapelet en voiture : ce n'est que dans des circonstances favorables (autoroute + faible circulation +bonne météo, ou au contraire, une dizaine dans un embouteillage). Pas plus tard que la semaine dernière, surpris par une tempête, j'ai interrompu ma prière dans la troisième dizaine, que j'ai reprise au début une fois le mauvais temps passé.
Sur ce que ça apporte : ne pas oublier que la prière du rosaire est assortie d'indulgences généreuses qui montrent bien sa puissance. Même seul, même dans des circonstances défavorables, même avec des distractions, même en s'endormant si on l'entreprend trop tard le soir : il délivre des âmes du purgatoire et ce sont pour nous de précieux intercesseurs de plus dans le Ciel. Même si on ne ressent rien, ce n'est pas rien.
Deux petites expériences personnelles plus concrètes.
Il y a quelques années, nous avions loué un camping-car pour nos vacances en famille. Un jour en voulant aller faire quelques courses, nous nous étions embourbés dans un chemin, avec en plus un dévers assez fort qui nous laissait craindre de finir sur le côté. Pendant que mon épouse était partie chercher de l'aide à la ferme voisine, j'ai demandé aux enfants (ils devaient avoir entre 3 et 8 ans) de réciter une dizaine avec moi, à tue-tête, ce qui les a beaucoup fait rire. Celle-ci finie, j'ai eu les bonnes idées qui nous ont permis de nous en sortir sans problème, alors que nous galérions depuis une demi-heure.
La deuxième : un soir au coucher, j'ai été pris d'une petite gêne, comme un léger point de côté mais au milieu du sternum. SOS médecins prend la chose très au sérieux et me passe le SAMU, qui prend lui aussi la chose très au sérieux et m'envoie une ambulance, tout le monde - moi le premier - étant à peu près sûr que ce n'était pas une crise cardiaque, mais il fallait vérifier, sait-on jamais. Me voilà donc pris en charge à l'unité des douleurs thoraciques de l’hôpital du coin, avec une effervescence assez inquiétante. Je me suis mis à prier quelques Avé, pour les malades qui pendant ce temps attendaient alors qu'ils en avaient peut-être plus besoin que moi, pour le personnel, et aussi, faut-il avouer, un peu pour moi, si jamais c'était grave. Au bout de même pas une dizaine, la gêne avait disparu et elle n'est jamais revenue.
Bonjour
Sur le chapelet en voiture : ce n'est que dans des circonstances favorables (autoroute + faible circulation +bonne météo, ou au contraire, une dizaine dans un embouteillage). Pas plus tard que la semaine dernière, surpris par une tempête, j'ai interrompu ma prière dans la troisième dizaine, que j'ai reprise au début une fois le mauvais temps passé.
Sur ce que ça apporte : ne pas oublier que la prière du rosaire est assortie d'indulgences généreuses qui montrent bien sa puissance. Même seul, même dans des circonstances défavorables, même avec des distractions, même en s'endormant si on l'entreprend trop tard le soir : il délivre des âmes du purgatoire et ce sont pour nous de précieux intercesseurs de plus dans le Ciel. Même si on ne ressent rien, ce n'est pas rien.
Deux petites expériences personnelles plus concrètes.
Il y a quelques années, nous avions loué un camping-car pour nos vacances en famille. Un jour en voulant aller faire quelques courses, nous nous étions embourbés dans un chemin, avec en plus un dévers assez fort qui nous laissait craindre de finir sur le côté. Pendant que mon épouse était partie chercher de l'aide à la ferme voisine, j'ai demandé aux enfants (ils devaient avoir entre 3 et 8 ans) de réciter une dizaine avec moi, à tue-tête, ce qui les a beaucoup fait rire. Celle-ci finie, j'ai eu les bonnes idées qui nous ont permis de nous en sortir sans problème, alors que nous galérions depuis une demi-heure.
La deuxième : un soir au coucher, j'ai été pris d'une petite gêne, comme un léger point de côté mais au milieu du sternum. SOS médecins prend la chose très au sérieux et me passe le SAMU, qui prend lui aussi la chose très au sérieux et m'envoie une ambulance, tout le monde - moi le premier - étant à peu près sûr que ce n'était pas une crise cardiaque, mais il fallait vérifier, sait-on jamais. Me voilà donc pris en charge à l'unité des douleurs thoraciques de l’hôpital du coin, avec une effervescence assez inquiétante. Je me suis mis à prier quelques [i]Avé[/i], pour les malades qui pendant ce temps attendaient alors qu'ils en avaient peut-être plus besoin que moi, pour le personnel, et aussi, faut-il avouer, un peu pour moi, si jamais c'était grave. Au bout de même pas une dizaine, la gêne avait disparu et elle n'est jamais revenue.