par axou » jeu. 26 févr. 2015, 1:23
Cher Jérémy,
il y a quelques années de cela, je suis allée me confesser à un prêtre qui repéra alors chez moi un sentiment de condamnation et d'autopunition, quelque chose de malsain qui m'habitait, de mensonger qui me disait que j'étais condamnée et n'avais pas droit au vrai bonheur, voir à la vie (cela dû à des blessures psychiques bien sûr).
Ce prêtre me dit alors que toutes les notions de péché n'étaient pas bonnes pour moi, que je ne devais penser qu'à l'amour de Dieu et pas au péché et que dans mon cas précis, il n'y avait qu'un seul péché, celui de me séparer de l'amour du Christ.
Je pense que ce conseil est bon pour vous également, dans la période cruciale que vous vivez : vous regardez en vérité votre histoire douloureuse, n'oubliez pas de regarder en vérité votre personne : vous êtes un enfant de Dieu, "merci pour la merveille que je suis !" dit un passage de la Bible (quelqu'un peut-il nous citer les références ?), [Ps 139, 14] vous êtes un être merveilleux bien-aimé du Père qui a tant aimé le monde et toutes ses créatures qu'il a donné son Fils unique pour sauver le monde et pour vous sauver.
Ce sentiment d'extrême indignité vient du Malin. Il fait feu de tout bois et dans la période actuelle qui vous fragilise et où vous êtes invité à quitter le sentiment de fausse culpabilité, il vous attaque par la haine de soi. Dites stop à ces pensées et cogitations, Vade retro !
En ce carême cher jérémy, demandez donc au Seigneur la grâce de commencer à vous aimer, vous êtes une si belle personne !
Je vous recommande vivement la lecture du père Maurice Bellet, "La traversée de l'en-bas", (sur la vie spirituelle et la haine de soi).
un seul péché : celui de se croire séparé ou indigne de l'amour du Christ !
Une seule mission, votre mission actuellement : demeurer blotti contre le coeur du Père, dans le Souffle, la main dans la main du Christ. Blotti, en sécurité, en vérité.
De tout coeur avec vous,
Axou
Cher Jérémy,
il y a quelques années de cela, je suis allée me confesser à un prêtre qui repéra alors chez moi un sentiment de condamnation et d'autopunition, quelque chose de malsain qui m'habitait, de mensonger qui me disait que j'étais condamnée et n'avais pas droit au vrai bonheur, voir à la vie (cela dû à des blessures psychiques bien sûr).
Ce prêtre me dit alors que toutes les notions de péché n'étaient pas bonnes pour moi, que je ne devais penser qu'à l'amour de Dieu et pas au péché et que dans mon cas précis, il n'y avait qu'un seul péché, celui de me séparer de l'amour du Christ.
Je pense que ce conseil est bon pour vous également, dans la période cruciale que vous vivez : vous regardez en vérité votre histoire douloureuse, n'oubliez pas de regarder en vérité votre personne : vous êtes un enfant de Dieu, "merci pour la merveille que je suis !" dit un passage de la Bible (quelqu'un peut-il nous citer les références ?), [color=#008000][Ps 139, 14][/color] vous êtes un être merveilleux bien-aimé du Père qui a tant aimé le monde et toutes ses créatures qu'il a donné son Fils unique pour sauver le monde et pour vous sauver.
Ce sentiment d'extrême indignité vient du Malin. Il fait feu de tout bois et dans la période actuelle qui vous fragilise et où vous êtes invité à quitter le sentiment de fausse culpabilité, il vous attaque par la haine de soi. Dites stop à ces pensées et cogitations, Vade retro !
En ce carême cher jérémy, demandez donc au Seigneur la grâce de commencer à vous aimer, vous êtes une si belle personne !
Je vous recommande vivement la lecture du père Maurice Bellet, "[i]La traversée de l'en-bas[/i]", (sur la vie spirituelle et la haine de soi).
un seul péché : celui de se croire séparé ou indigne de l'amour du Christ !
Une seule mission, votre mission actuellement : demeurer blotti contre le coeur du Père, dans le Souffle, la main dans la main du Christ. Blotti, en sécurité, en vérité.
De tout coeur avec vous,
Axou