par Xavi » jeu. 15 nov. 2018, 11:57
Bonjour Lana,
Par rapport aux parents, tous les intervenants ici vous ont rappelé votre responsabilité personnelle et le fait que la décision vous incombe. Pour un adulte, il n’y a évidemment aucune faute de prendre une décision contraire à un avis parental. Ce qui ne signifie en rien que cette décision soit bonne ou mauvaise.
Par contre, si vous constatez que c’est Dieu qui a uni votre cousine et l’homme que vous fréquentez et que vous reconnaissez vous-même la persistance de ce lien conclu dans le passé en écrivant « j’accepte ce lien du passé », vous ne pouvez, sans contradiction, affirmer que « il n’y a plus rien qui les unit » car, même s’il a été conclu dans le passé comme tout mariage actuel, ce lien subsiste comme vous le constatez vous-même en « l’acceptant » et Dieu, ce n’est tout de même pas « rien » !
Ne faut-il pas surtout admettre que « rien » ne vous permet d’affirmer avec certitude, sur la seule base de vos impressions subjectives et de vos connaissances personnelles inévitablement très petites par rapport à l’étendue de la réalité, que « ça ne pouvait plus fonctionner ».
Vous écrivez « on sera juste obligé de vivre avec » et « j’accepte ce lien du passé ». N'est-ce pas un peu court ?
Si vous acceptez que c’est Dieu qui unit et qu’il nous demande de ne pas séparer ce que Lui-même a uni, il me semble que vous pouvez aussi comprendre que votre jugement personnel ne peut guère suffire pour fonder une conclusion contraire à ce lien.
Votre cousine, vos parents et vos autres proches peuvent en souffrir.
La question n’est pas ici d’accepter un lien conjugal qui persiste comme un simple fait, mais de décider de le respecter ou non.
Bon courage dans la situation difficile qui est la vôtre et que plusieurs ici portent avec vous dans la prière.
Bonjour Lana,
Par rapport aux parents, tous les intervenants ici vous ont rappelé votre responsabilité personnelle et le fait que la décision vous incombe. Pour un adulte, il n’y a évidemment aucune faute de prendre une décision contraire à un avis parental. Ce qui ne signifie en rien que cette décision soit bonne ou mauvaise.
Par contre, si vous constatez que c’est Dieu qui a uni votre cousine et l’homme que vous fréquentez et que vous reconnaissez vous-même la persistance de ce lien conclu dans le passé en écrivant «[i] j’accepte ce lien du passé[/i] », vous ne pouvez, sans contradiction, affirmer que « [i]il n’y a plus rien qui les unit [/i]» car, même s’il a été conclu dans le passé comme tout mariage actuel, ce lien subsiste comme vous le constatez vous-même en « [i]l’acceptant [/i]» et Dieu, ce n’est tout de même pas « [i]rien[/i] » !
Ne faut-il pas surtout admettre que «[i] rien [/i]» ne vous permet d’affirmer avec certitude, sur la seule base de vos impressions subjectives et de vos connaissances personnelles inévitablement très petites par rapport à l’étendue de la réalité, que « [i]ça ne pouvait plus fonctionner[/i] ».
Vous écrivez « [i]on sera juste obligé de vivre avec[/i] » et « [i]j’accepte ce lien du passé[/i] ». N'est-ce pas un peu court ?
Si vous acceptez que c’est Dieu qui unit et qu’il nous demande de ne pas séparer ce que Lui-même a uni, il me semble que vous pouvez aussi comprendre que votre jugement personnel ne peut guère suffire pour fonder une conclusion contraire à ce lien.
Votre cousine, vos parents et vos autres proches peuvent en souffrir.
La question n’est pas ici d’accepter un lien conjugal qui persiste comme un simple fait, mais de décider de le respecter ou non.
Bon courage dans la situation difficile qui est la vôtre et que plusieurs ici portent avec vous dans la prière.