par antoine75 » mar. 25 sept. 2018, 13:36
Jeanne a écrit : ↑lun. 24 sept. 2018, 17:39
antoine75 a écrit : ↑jeu. 20 sept. 2018, 10:27
Je pense que vous avez raison. J'ai effectivement des blessures de la vie et me marginaliser de la société en me rendant à Lourdes par exemple pour être comme protégé du monde extérieur en me réfugiant dans "les bras de Marie" n'est pas la bonne solution pour moi. Il faut que j'affronte la vie, que je persévère, en retrouvant un emploi à mi temps en tant que travailleur reconnu handicapé. J'ai ce projet pour octobre. Sinon, je ne saurai jamais si mon handicap psychique vient de moi ou de la société.
Antoine, je me permets : les troubles psychiques sont la rencontre entre une vulnérabilité individuelle et des facteurs environnementaux. Je ne saurais que trop vous conseiller de ne pas vous braquer contre la société ni contre vous-même, la pathologie psy c'est la faute à pas de chance. Je ne connais pas votre diagnostic et ne sait pas si vous consultez un.e psychologue en plus des psychiatres : les psychologues ont souvent une vision plus nuancée des troubles, ils n'ont pas à choisir la molécule la plus efficace et ainsi l'approche n'est pas la même. En général.
Aussi, se protéger du monde extérieur ponctuellement peut avoir de grands bénéfices, c'est à vous de voir. J'espère que tout ira bien pour vous et que la RQTH vous sera accordée
Vous avez raison. Il y a de l'innée et du vécu dans les troubles psychiques. Je me pose aussi la question de l'existence de la magie. Je ne pense pas vraiment que ce soit la faute à pas de chance, les troubles sont dû à des phénomènes causes-conséquences qu'il faut pouvoir creuser par exemple par une psychologue, même s'il n'y a pas les éléments relevant du spirituel.
Sinon, je vois une psychologue en plus du psychiatre. Je peux lui parler de mes interrogations mais il va falloir que je prépare mes séances pour avoir de l'efficacité.
Sinon, je touche déjà l'AAH et je suis RQTH. Et même si je trouve un emploi à mi-temps, je resterai pauvre mais je ne m'en plains pas tant que j'ai le minimum pour vivre.
[quote=Jeanne post_id=387995 time=1537803581 user_id=16879]
[quote=antoine75 post_id=387734 time=1537432068 user_id=9515]
Je pense que vous avez raison. J'ai effectivement des blessures de la vie et me marginaliser de la société en me rendant à Lourdes par exemple pour être comme protégé du monde extérieur en me réfugiant dans "les bras de Marie" n'est pas la bonne solution pour moi. Il faut que j'affronte la vie, que je persévère, en retrouvant un emploi à mi temps en tant que travailleur reconnu handicapé. J'ai ce projet pour octobre. Sinon, je ne saurai jamais si mon handicap psychique vient de moi ou de la société.
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Antoine, je me permets : les troubles psychiques sont la rencontre entre une vulnérabilité individuelle et des facteurs environnementaux. Je ne saurais que trop vous conseiller de ne pas vous braquer contre la société ni contre vous-même, la pathologie psy c'est la faute à pas de chance. Je ne connais pas votre diagnostic et ne sait pas si vous consultez un.e psychologue en plus des psychiatres : les psychologues ont souvent une vision plus nuancée des troubles, ils n'ont pas à choisir la molécule la plus efficace et ainsi l'approche n'est pas la même. En général.
Aussi, se protéger du monde extérieur ponctuellement peut avoir de grands bénéfices, c'est à vous de voir. J'espère que tout ira bien pour vous et que la RQTH vous sera accordée :)
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Vous avez raison. Il y a de l'innée et du vécu dans les troubles psychiques. Je me pose aussi la question de l'existence de la magie. Je ne pense pas vraiment que ce soit la faute à pas de chance, les troubles sont dû à des phénomènes causes-conséquences qu'il faut pouvoir creuser par exemple par une psychologue, même s'il n'y a pas les éléments relevant du spirituel.
Sinon, je vois une psychologue en plus du psychiatre. Je peux lui parler de mes interrogations mais il va falloir que je prépare mes séances pour avoir de l'efficacité.
Sinon, je touche déjà l'AAH et je suis RQTH. Et même si je trouve un emploi à mi-temps, je resterai pauvre mais je ne m'en plains pas tant que j'ai le minimum pour vivre.