Oui c'est vrai, le célibat est mal vu par la société, mais bon c'est pas grave.
Célibataire aussi, je préfère cet état de vie pour l'instant, tout en restant ouvert à une belle histoire.
Je vous propose un point de vue de Jean-Paul II et de la théologie du corps à laquelle il tenait tant, comme saint Paul:
https://www.mariedenazareth.com/encyclo ... l-ii-1988/
https://www.prionseneglise.fr/textes-du ... 2012-09-12
En tous cas, j'ai l'assurance que quelque soit notre état de vie, marié ou pas, nous recevons de Dieu les grâces nécessaires pour notre salut et notre sainteté.
Après 20 ans de célibat non choisi, je découvre depuis quelques temps que le célibat peut être une grâce pour certaines personnes.
Même sans être prêtre ni religieux !
En fait, cette découverte du célibat pour le Royaume comme "don de Dieu", correspond à mon profond désir de suivre le Christ comme Il nous y invite ainsi que de vivre l'Evangile pour de vrai.
Pour un chrétien, c'est pas si étonnant de désirer suivre aussi l'état de vie terrestre du Christ en tant que célibataire pour Dieu et pour le Royaume.
Bon effectivement, Jésus est aussi le Souverain Prêtre de la Nouvelle Alliance, donc son état de vie ne se résume pas au célibat bien-sûr.
Comme Jésus dans sa sainte humanité, nous pouvons aussi recevoir la grâce et le désir d'aimer et servir Dieu d'un coeur sans partage.
Cela n'empêche pas d'aimer son prochain, au contraire, mais plutôt de ne pas compartimenter notre coeur avec des zones réservées, ou quelque chose de ce genre là.
D'ailleurs, dans l'Evangile Jésus rappelle le commandement d'amour traditionnel "d'aimer Dieu de
tout son coeur,
toute son âme et
toute sa force" puis le commandement nouveau de s'aimer les uns les autres Comme Jésus nous a aimé.
Ce commandement demeure donc exigent en réclamant premièrement "tout" notre coeur.
Personnellement, par mon célibat pour le Royaume, j'apprends à vivre d'un coeur plus libre qu'avant où j'étais peut-être plus "mondain" avec une vision mondaine du mariage comme indispensable socialement.
Or comme dit l'Evangile, "la Vérité vous rendra libre", et ce que je vis de plus en plus, en tant que célibataire pour le royaume.
Enfin, de façon pragmatique au quotidien, l'emploi du temps est aussi beaucoup plus disponible pour Dieu et la charité fraternelle.
Bref, loin d'être une honte sociale, le célibat laïc chrétien mériterait une attention pastorale peut-être plus forte, je trouve.
De même pour l'activité missionnaire de l'Eglise... Enfin tant pis, nul n'est indispensable dans ce bas monde.
Oui c'est vrai, le célibat est mal vu par la société, mais bon c'est pas grave.
Célibataire aussi, je préfère cet état de vie pour l'instant, tout en restant ouvert à une belle histoire.
Je vous propose un point de vue de Jean-Paul II et de la théologie du corps à laquelle il tenait tant, comme saint Paul:
https://www.mariedenazareth.com/encyclopedie-mariale/ecriture-sainte/marie-dans-lecriture/chez-luc-marie-mere-de-dieu/lannonciation-a-marie-lc-1-26-38/la-question-de-marie-lc-1-34/le-celibat-pour-le-royaume-selon-saint-jean-paul-ii-1988/
https://www.prionseneglise.fr/textes-du-jour/lecture/2012-09-12
En tous cas, j'ai l'assurance que quelque soit notre état de vie, marié ou pas, nous recevons de Dieu les grâces nécessaires pour notre salut et notre sainteté.
Après 20 ans de célibat non choisi, je découvre depuis quelques temps que le célibat peut être une grâce pour certaines personnes.
Même sans être prêtre ni religieux !
En fait, cette découverte du célibat pour le Royaume comme "don de Dieu", correspond à mon profond désir de suivre le Christ comme Il nous y invite ainsi que de vivre l'Evangile pour de vrai.
Pour un chrétien, c'est pas si étonnant de désirer suivre aussi l'état de vie terrestre du Christ en tant que célibataire pour Dieu et pour le Royaume.
Bon effectivement, Jésus est aussi le Souverain Prêtre de la Nouvelle Alliance, donc son état de vie ne se résume pas au célibat bien-sûr.
Comme Jésus dans sa sainte humanité, nous pouvons aussi recevoir la grâce et le désir d'aimer et servir Dieu d'un coeur sans partage.
Cela n'empêche pas d'aimer son prochain, au contraire, mais plutôt de ne pas compartimenter notre coeur avec des zones réservées, ou quelque chose de ce genre là.
D'ailleurs, dans l'Evangile Jésus rappelle le commandement d'amour traditionnel "d'aimer Dieu de[u] tout[/u] son coeur, [u]toute[/u] son âme et [u]toute[/u] sa force" puis le commandement nouveau de s'aimer les uns les autres Comme Jésus nous a aimé.
Ce commandement demeure donc exigent en réclamant premièrement "tout" notre coeur.
Personnellement, par mon célibat pour le Royaume, j'apprends à vivre d'un coeur plus libre qu'avant où j'étais peut-être plus "mondain" avec une vision mondaine du mariage comme indispensable socialement.
Or comme dit l'Evangile, "la Vérité vous rendra libre", et ce que je vis de plus en plus, en tant que célibataire pour le royaume.
Enfin, de façon pragmatique au quotidien, l'emploi du temps est aussi beaucoup plus disponible pour Dieu et la charité fraternelle.
Bref, loin d'être une honte sociale, le célibat laïc chrétien mériterait une attention pastorale peut-être plus forte, je trouve.
De même pour l'activité missionnaire de l'Eglise... Enfin tant pis, nul n'est indispensable dans ce bas monde.