par Niel62 » dim. 07 janv. 2018, 16:07
Bonjour,
Je suis actuellement en clinique Je viens vous raconter dans les grandes lignes ma vie. J'ai grandi dans une famille Chrétienne, mes arrières, mes grands, et parents l'étaient. J'ai des photos de mon baptême, des photos de communion, je me souviens un peu du catéchisme ainsi que de ma grande communion. La profession de foi je crois. Toute petite, mon papa nous elle aussi sur des plages naturistes, il allait voir sûrement les gens. Plus tard, j'ai compris que mon père était un obsédé sexuel, il allait régulièrement sur des sites pornographiques et j'ai eu la curiosité de regarder ses cassettes. Maman ne savait papa non plus. C'est en grandissant que j'ai commencé à vouloir voir une psychologue. J'ai connu le harcèlement moral à l'école mais ça ne pas empêché de devenir pendant 4 ans championne au CROSS du collège. J'ai eu mon brevet des collèges. Puis j'ai connu mon premier amour au collège, j'étais très amoureuse. Bizarrement, j'ai connu aussi le harcèlement moral au collège, certaines étaient jalouses de moi, je plaisais à un des garçons le plus populaire du collège, nous sommes sortis ensemble pendant 1 an et demie puis j'ai decouvert qu'il discuter avec ma soit disant amie de l'époque. J'ai lu leur conversation sur Messenger, j'avais des doutes. Et en effet, ils s'ecrivaient des je t'aime, tu es ma maîtresse, derrière mon dos. J'ai donc eu un chagrin d'amour, j'ai tenté de me suicidé avec des cachets et je me suis coupé les cheveux. J'ai été hospitalisée, on m'a mis un tuyau dans la gorge, j'entendais les cachets tombaient dans une bassine. Plus jeune, je me souviens que je ne voulais pas toujours faire mes exercices de cathechisme. Je n'ai compris la vie spirituelle, j'étais trop petite. J'ai perdu mon grand père maternel le jour où l'on devait organiser le repas de la communion. Mes parents nous ont organisé des grandes fêtes à nous 3 leurs enfants. Il y avait tout les amis de mes parents, la famille de ma mère, de mon père. Beaucoup d'alcool, on était parfois 200. La mort de mon grand père m'a énormément choqué. Il heulait parfois chez lui vers la fin de ces jours, il avait un cancer du poumon, j'avais 10 ans. J'ai commencé à en vouloir au bon Dieu. Pas tout de suite un peu plus tard, je me suis éloignée de tout ça. Je ne comprenais pas de toute manière la Bible. Quelques années plus tard, je ne sais plus vers quel âge, j'ai fait ma profession de foi, ce que j'appelle ma grande communion. Nous avons fêté celle ci dans une salle communale. J'ai l'impression d'avoir été un enfant objet, mes parents ne m'expliquaient pas grand chose. J'ai aussi mis 5 ans à me remettre de mon premier amour. Et puis j'ai avancé, j'ai grandi, j'ai connu les vacances et je m'amusais avec mes parents ça allait mieux. J'avais 16/17 ans. J'ai retrouvé l'amitié, ma meilleure amie en BTS, j'étais en couple avec un jeune homme super. Il était fidèle mais sa mère était très intrusive dans notre couple. Je travaillais parallèlement à mes études. Puis en mal d'amour de communication dans mon couple j'ai commencé à discuter avec un autre dont je suis tombée amoureuse, mon couple n'allait plus mon copain passait son temps devant la play Station, il ne cherchait pas de travail. J'ai rompu, rendu mon appartement, toute seule, je n'arrivais pas parallèlement, pendant cette période, j'allais voir une assistante sociale à qui j'ai commencé à révélé une partie de mon passé. Elle m'a conseillé de voir une psychologue, j'en ai rencontré une qui m'a dit que j'avais 3 blessures de l'âme. Pendant cette période (mes études), je me suis faite escroquée par des voyous d'Amiens, ils m'ont vendu une voiture trafiquée, j'ai du sortir 600 euros de réparation. J'y étais allée avec mon père, celui-ci criait toujours pour un oui pour un non. Je suis retournée vivre chez mes parents, en effet, et je suis passée à 30 heures au travail, je sortais souvent avec ma meilleure amie en boîte, j'avais retrouvé goût à la vie puis j'ai commencé à faire un surmenage, j'ai dû voir un psychiatre qui m'a diagnostiqué un burn out. Depuis cette période tout s'est enchaîné, prise de cachets, dépression. J'ai connu dans mon travail, des méthodes de pression. Je n'avais plus goût, j'avais peur d'y retourner. J'ai changé de médecin traitant à plusieurs reprises. Et un jour j'ai trouvé un bon, il m'a conseillé cette clinique où je suis depuis jeudi 28 décembre 2017, suite à une crise aiguë. Mais après mon premier passage en clinique, j'en ai refais un autre. Puis j'ai rencontré un garçon nous avons vécu une histoire très forte mais il était bipolaire alcoolique, je suis allée vivre avec lui dans la somme, je faisais toujours de la dépression mais il m'aidait beaucoup, on était très amoureux. Il a fini par être violent un jour envers moi. J'ai quitté son domicile et suis repartie chez mes parents, puis re séjour en psychiatrie suite à son suicide. Les psychiatres m'ont diagnostiqué schizophrène simple, d'autre bipolaire affective. Avec le centre hospitalier, j'ai repris un peu confiance et j'ai fait un dossier MDPH ainsi qu'une demande de mise sous curatelle. Voilà aujourd'hui re crises d'angoisse, de nouveau en couple, mon couple bat de l'aile, mon ami m'a dit clairement qu'il voulait une relation de sexe, je me suis donc réinscrite sur Badoo ou j'ai eu de nouveau contact avec un homme qui s'est avéré mal sain envers moi, j'ai cédé à ses avances, eu des relations avec lui et il voulait me prostituée avec des hommes. Mon ami l'a découvert et a voulu le tuer, j'ai donc été voir la gendarmerie pour expliquer tout cela. Car il voulait s'en prendre à moi aussi il était en colère que je veuille rompre. Il n'avait plus confiance en moi comme je l'ai trompée. Je suis donc en appartement depuis un an je n'arrive plus à vivre avec tout ca. Je suis curatelle renforcée. J'ai souvent peur pour moi, je ne sais plus dans quelle direction aller. J'ai une permission samedi, mon ami voulait me faire l'amour car cela faisait une semaine que nous nous étions pas vus. On se disputent souvent. Il se sent rejeté car des fois je n'ai plus envie. J'ai commencé à refaire des crises d'angoisse je ne me sens plus en sécurité. Mon psychiatre dit qu'il m'a bien appelé lorsque j'ai réclamé mon dossier médical. Or il ne m'a jamais appelé. J'ai l'impression de devenir cinglée.... Crise aiguë jeudi 28 décembre 2017, pompiers à mon domicile, mon psychiatre n'a pas pu me prendre en psychiatrie il n'y avait plus de place soit disant. C'est pourquoi je suis retournée à la première clinique.
Bonjour,
Je suis actuellement en clinique Je viens vous raconter dans les grandes lignes ma vie. J'ai grandi dans une famille Chrétienne, mes arrières, mes grands, et parents l'étaient. J'ai des photos de mon baptême, des photos de communion, je me souviens un peu du catéchisme ainsi que de ma grande communion. La profession de foi je crois. Toute petite, mon papa nous elle aussi sur des plages naturistes, il allait voir sûrement les gens. Plus tard, j'ai compris que mon père était un obsédé sexuel, il allait régulièrement sur des sites pornographiques et j'ai eu la curiosité de regarder ses cassettes. Maman ne savait papa non plus. C'est en grandissant que j'ai commencé à vouloir voir une psychologue. J'ai connu le harcèlement moral à l'école mais ça ne pas empêché de devenir pendant 4 ans championne au CROSS du collège. J'ai eu mon brevet des collèges. Puis j'ai connu mon premier amour au collège, j'étais très amoureuse. Bizarrement, j'ai connu aussi le harcèlement moral au collège, certaines étaient jalouses de moi, je plaisais à un des garçons le plus populaire du collège, nous sommes sortis ensemble pendant 1 an et demie puis j'ai decouvert qu'il discuter avec ma soit disant amie de l'époque. J'ai lu leur conversation sur Messenger, j'avais des doutes. Et en effet, ils s'ecrivaient des je t'aime, tu es ma maîtresse, derrière mon dos. J'ai donc eu un chagrin d'amour, j'ai tenté de me suicidé avec des cachets et je me suis coupé les cheveux. J'ai été hospitalisée, on m'a mis un tuyau dans la gorge, j'entendais les cachets tombaient dans une bassine. Plus jeune, je me souviens que je ne voulais pas toujours faire mes exercices de cathechisme. Je n'ai compris la vie spirituelle, j'étais trop petite. J'ai perdu mon grand père maternel le jour où l'on devait organiser le repas de la communion. Mes parents nous ont organisé des grandes fêtes à nous 3 leurs enfants. Il y avait tout les amis de mes parents, la famille de ma mère, de mon père. Beaucoup d'alcool, on était parfois 200. La mort de mon grand père m'a énormément choqué. Il heulait parfois chez lui vers la fin de ces jours, il avait un cancer du poumon, j'avais 10 ans. J'ai commencé à en vouloir au bon Dieu. Pas tout de suite un peu plus tard, je me suis éloignée de tout ça. Je ne comprenais pas de toute manière la Bible. Quelques années plus tard, je ne sais plus vers quel âge, j'ai fait ma profession de foi, ce que j'appelle ma grande communion. Nous avons fêté celle ci dans une salle communale. J'ai l'impression d'avoir été un enfant objet, mes parents ne m'expliquaient pas grand chose. J'ai aussi mis 5 ans à me remettre de mon premier amour. Et puis j'ai avancé, j'ai grandi, j'ai connu les vacances et je m'amusais avec mes parents ça allait mieux. J'avais 16/17 ans. J'ai retrouvé l'amitié, ma meilleure amie en BTS, j'étais en couple avec un jeune homme super. Il était fidèle mais sa mère était très intrusive dans notre couple. Je travaillais parallèlement à mes études. Puis en mal d'amour de communication dans mon couple j'ai commencé à discuter avec un autre dont je suis tombée amoureuse, mon couple n'allait plus mon copain passait son temps devant la play Station, il ne cherchait pas de travail. J'ai rompu, rendu mon appartement, toute seule, je n'arrivais pas parallèlement, pendant cette période, j'allais voir une assistante sociale à qui j'ai commencé à révélé une partie de mon passé. Elle m'a conseillé de voir une psychologue, j'en ai rencontré une qui m'a dit que j'avais 3 blessures de l'âme. Pendant cette période (mes études), je me suis faite escroquée par des voyous d'Amiens, ils m'ont vendu une voiture trafiquée, j'ai du sortir 600 euros de réparation. J'y étais allée avec mon père, celui-ci criait toujours pour un oui pour un non. Je suis retournée vivre chez mes parents, en effet, et je suis passée à 30 heures au travail, je sortais souvent avec ma meilleure amie en boîte, j'avais retrouvé goût à la vie puis j'ai commencé à faire un surmenage, j'ai dû voir un psychiatre qui m'a diagnostiqué un burn out. Depuis cette période tout s'est enchaîné, prise de cachets, dépression. J'ai connu dans mon travail, des méthodes de pression. Je n'avais plus goût, j'avais peur d'y retourner. J'ai changé de médecin traitant à plusieurs reprises. Et un jour j'ai trouvé un bon, il m'a conseillé cette clinique où je suis depuis jeudi 28 décembre 2017, suite à une crise aiguë. Mais après mon premier passage en clinique, j'en ai refais un autre. Puis j'ai rencontré un garçon nous avons vécu une histoire très forte mais il était bipolaire alcoolique, je suis allée vivre avec lui dans la somme, je faisais toujours de la dépression mais il m'aidait beaucoup, on était très amoureux. Il a fini par être violent un jour envers moi. J'ai quitté son domicile et suis repartie chez mes parents, puis re séjour en psychiatrie suite à son suicide. Les psychiatres m'ont diagnostiqué schizophrène simple, d'autre bipolaire affective. Avec le centre hospitalier, j'ai repris un peu confiance et j'ai fait un dossier MDPH ainsi qu'une demande de mise sous curatelle. Voilà aujourd'hui re crises d'angoisse, de nouveau en couple, mon couple bat de l'aile, mon ami m'a dit clairement qu'il voulait une relation de sexe, je me suis donc réinscrite sur Badoo ou j'ai eu de nouveau contact avec un homme qui s'est avéré mal sain envers moi, j'ai cédé à ses avances, eu des relations avec lui et il voulait me prostituée avec des hommes. Mon ami l'a découvert et a voulu le tuer, j'ai donc été voir la gendarmerie pour expliquer tout cela. Car il voulait s'en prendre à moi aussi il était en colère que je veuille rompre. Il n'avait plus confiance en moi comme je l'ai trompée. Je suis donc en appartement depuis un an je n'arrive plus à vivre avec tout ca. Je suis curatelle renforcée. J'ai souvent peur pour moi, je ne sais plus dans quelle direction aller. J'ai une permission samedi, mon ami voulait me faire l'amour car cela faisait une semaine que nous nous étions pas vus. On se disputent souvent. Il se sent rejeté car des fois je n'ai plus envie. J'ai commencé à refaire des crises d'angoisse je ne me sens plus en sécurité. Mon psychiatre dit qu'il m'a bien appelé lorsque j'ai réclamé mon dossier médical. Or il ne m'a jamais appelé. J'ai l'impression de devenir cinglée.... Crise aiguë jeudi 28 décembre 2017, pompiers à mon domicile, mon psychiatre n'a pas pu me prendre en psychiatrie il n'y avait plus de place soit disant. C'est pourquoi je suis retournée à la première clinique.