par gerardh » sam. 15 févr. 2020, 20:01
Il est écrit en Ephésiens 5:22-24 : « Femmes, soyez soumises à vos propres maris comme au Seigneur ; parce que le mari (ou l’homme) est le chef (ou la tête) de la femme, comme aussi le Christ est le chef de l’assemblée, lui, le sauveur du corps. Mais comme l’assemblée est soumise au Christ, ainsi que les femmes le soient aussi à leurs maris en toutes choses ». Il y a donc pour la femme une relation de subordination (pas d’infériorité, au contraire) par rapport à l’homme son mari, que Dieu, dans Sa sagesse, lui a assigné
Certes, nous sommes tous exhortés, hommes ou femmes, par amour, à être « soumis les uns aux autres dans la crainte de Christ » (Ephésiens 5:21). Par exemple en 1 Corinthiens 11:8-12 déjà cité, nous lisons : « ni la femme n’est sans l’homme, ni l’homme sans la femme, dans le Seigneur ; car comme la femme procède de l’homme, ainsi aussi l’homme est par la femme ; mais toutes choses procèdent de Dieu ». Toutefois, il y a donc aussi des indications particulières de soumission pour les sœurs dans la sphère familiale. Notons qu’il ne s’agit pas pour les croyantes d’une obéissance aveugle, mais de soumission à une autorité supérieure, et divine in fine. Cependant il y a, dans le cadre de la sphère familiale, des limites à la soumission féminine d’une épouse chrétienne. Par exemple si le mari exerce une autorité excessive en exigeant des choses contraires à la volonté de Dieu, elle ne peut ni ne doit le suivre.
En tout cas, à notre époque contemporaine, plus que jamais, la soumission de la femme est estimée comme démodée et peu populaire, étant considérée, au moins dans nos pays occidentaux, « comme un principe périmé, décrié non seulement dans le monde non-croyant mais aussi dans la chrétienté. Nous entendons beaucoup parler des droits de la femme, de l’indépendance qu’elle doit avoir, du fait qu’elle est l’égale de l’homme… ». Certes à l’inverse dans d’autres contrées, ou même par le passé, certains hommes, même des chrétiens, ont pu outrepasser outrageusement leur autorité naturelle sur les femmes en les irritant ou les scandalisant, quand ce n’est pas en les maltraitant. Cela dit, selon nos conducteurs, « si Dieu s’adresse aux femmes, c’est que la soumission n’est pas toujours leur point fort ». « En effet les exhortations divines ont toujours en vue la tendance à manquer que chacun peut avoir : la femme est sujette à manquer dans la soumission ; l’homme est plus prompt à manquer d’amour pour sa femme ». Mais « quelle femme objecterait à être soumise à un mari qui l’aimerait comme Christ a aimé l’Assemblée, et quel mari se lasserait d’aimer une femme qui aurait toujours été soumise comme l’Assemblée devrait l’être à Christ ? » (Ephésiens 5 :24-25). Toujours est-il qu’il existe nombre « de foyers chrétiens où les épouses vont au-delà ou même très au-delà de leurs responsabilités». En ce faisant elles empiètent en tout ou partie sur les prérogatives que Dieu réserve aux hommes, ce qui est une iniquité. Il est à craindre que certaines chrétiennes continuent à être insoumises (et que certes dans le même temps certains hommes chrétiens manquent d’amour à leur égard, ce à quoi ils sont pourtant clairement exhortés par la Parole, comme indiqué précédemment).
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Il est écrit en Ephésiens 5:22-24 : « Femmes, soyez soumises à vos propres maris comme au Seigneur ; parce que le mari (ou l’homme) est le chef (ou la tête) de la femme, comme aussi le Christ est le chef de l’assemblée, lui, le sauveur du corps. Mais comme l’assemblée est soumise au Christ, ainsi que les femmes le soient aussi à leurs maris en toutes choses ». Il y a donc pour la femme une relation de subordination (pas d’infériorité, au contraire) par rapport à l’homme son mari, que Dieu, dans Sa sagesse, lui a assigné
Certes, nous sommes tous exhortés, hommes ou femmes, par amour, à être « soumis les uns aux autres dans la crainte de Christ » (Ephésiens 5:21). Par exemple en 1 Corinthiens 11:8-12 déjà cité, nous lisons : « ni la femme n’est sans l’homme, ni l’homme sans la femme, dans le Seigneur ; car comme la femme procède de l’homme, ainsi aussi l’homme est par la femme ; mais toutes choses procèdent de Dieu ». Toutefois, il y a donc aussi des indications particulières de soumission pour les sœurs dans la sphère familiale. Notons qu’il ne s’agit pas pour les croyantes d’une obéissance aveugle, mais de soumission à une autorité supérieure, et divine in fine. Cependant il y a, dans le cadre de la sphère familiale, des limites à la soumission féminine d’une épouse chrétienne. Par exemple si le mari exerce une autorité excessive en exigeant des choses contraires à la volonté de Dieu, elle ne peut ni ne doit le suivre.
En tout cas, à notre époque contemporaine, plus que jamais, la soumission de la femme est estimée comme démodée et peu populaire, étant considérée, au moins dans nos pays occidentaux, « comme un principe périmé, décrié non seulement dans le monde non-croyant mais aussi dans la chrétienté. Nous entendons beaucoup parler des droits de la femme, de l’indépendance qu’elle doit avoir, du fait qu’elle est l’égale de l’homme… ». Certes à l’inverse dans d’autres contrées, ou même par le passé, certains hommes, même des chrétiens, ont pu outrepasser outrageusement leur autorité naturelle sur les femmes en les irritant ou les scandalisant, quand ce n’est pas en les maltraitant. Cela dit, selon nos conducteurs, « si Dieu s’adresse aux femmes, c’est que la soumission n’est pas toujours leur point fort ». « En effet les exhortations divines ont toujours en vue la tendance à manquer que chacun peut avoir : la femme est sujette à manquer dans la soumission ; l’homme est plus prompt à manquer d’amour pour sa femme ». Mais « quelle femme objecterait à être soumise à un mari qui l’aimerait comme Christ a aimé l’Assemblée, et quel mari se lasserait d’aimer une femme qui aurait toujours été soumise comme l’Assemblée devrait l’être à Christ ? » (Ephésiens 5 :24-25). Toujours est-il qu’il existe nombre « de foyers chrétiens où les épouses vont au-delà ou même très au-delà de leurs responsabilités». En ce faisant elles empiètent en tout ou partie sur les prérogatives que Dieu réserve aux hommes, ce qui est une iniquité. Il est à craindre que certaines chrétiennes continuent à être insoumises (et que certes dans le même temps certains hommes chrétiens manquent d’amour à leur égard, ce à quoi ils sont pourtant clairement exhortés par la Parole, comme indiqué précédemment).
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