par Ombiace » mar. 31 juil. 2018, 16:19
Bonjour Niel,
Lorsque je prie le chapelet, les mardis et vendredis, les mystères douloureux sont médités.
Lorsque avec l'aide du ciel, je résiste aux tentations, je trouve du réconfort à souffrir de la même manière que Lui, car résister aux tentations peut parfois provoquer des assauts douloureux, ressemblant à ceux que Jésus eut à souffrir. Je me trouve alors joyeux de souffrir comme Lui
Lorsque malgré l'aide du ciel, je succombe aux tentations, c' est l'affliction, car cela m'éloigne de Lui. Mais grace aux sacrements, et sachant que Lui est victorieux de cela, je reprends espoir, me replonge dans la prière, et me sens aimé de Lui..de Marie, du Père,etc.., également.
Et puis il y a les autres mystères, qui n'ont rien de douloureux. Les joyeux, médités lundis et samedis, portent bien leurs noms, qui apportèrent de la joie à Marie, Elizabeth,aux bergers, etc..
Ne prenez pas trop à coeur, peut-être, de soulager les souffrances du Seigneur. C'est mission impossible. Honorez plutôt, en action de grace, ses dernières volontés humaines, qui furent que nous soyons sauvés. Id sont, je suppose, les volontés du Père.
Bonjour Niel,
Lorsque je prie le chapelet, les mardis et vendredis, les mystères douloureux sont médités.
Lorsque avec l'aide du ciel, je résiste aux tentations, je trouve du réconfort à souffrir de la même manière que Lui, car résister aux tentations peut parfois provoquer des assauts douloureux, ressemblant à ceux que Jésus eut à souffrir. Je me trouve alors joyeux de souffrir comme Lui
Lorsque malgré l'aide du ciel, je succombe aux tentations, c' est l'affliction, car cela m'éloigne de Lui. Mais grace aux sacrements, et sachant que Lui est victorieux de cela, je reprends espoir, me replonge dans la prière, et me sens aimé de Lui..de Marie, du Père,etc.., également.
Et puis il y a les autres mystères, qui n'ont rien de douloureux. Les joyeux, médités lundis et samedis, portent bien leurs noms, qui apportèrent de la joie à Marie, Elizabeth,aux bergers, etc..
Ne prenez pas trop à coeur, peut-être, de soulager les souffrances du Seigneur. C'est mission impossible. Honorez plutôt, en action de grace, ses dernières volontés humaines, qui furent que nous soyons sauvés. Id sont, je suppose, les volontés du Père.